La rue de Bonne à Grenoble
Son histoire …
Elle fut tracée par François de Bonne, duc de Lesdiguières, et la première construction de maison date de 1602, maison du sieur Jean Carles.
A la fin du XVIème siècle, la porte de Bonne fut édifiée lors de la construction de la nouvelle enceinte de Grenoble.
Elle fut détruite en 1889.
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Une plaque commémore cet événement :
Parcourons la rue de Bonne…
Elle relie la place Victor Hugo à la rue Raoul Blanchard
Une inscription est visible au-dessus de la porte.
Au numéro 7, nous découvrons un porche ancien, surmonté d’une colombe et une inscription :
– La « Maison neuve » du père de Stendhal. « Chérubin Beyle, le père de Stendhal, fait construire cette maison particulièrement cossue pour Grenoble, dans laquelle la famille emménage à partir de 1805. Il y engloutira ce qui lui reste de sa fortune, réduisant à néant les espoirs d’héritage de son fils. »
– Une plaque commémorant l’occupation de cette maison : « De 1941 à 1944, André Jullien (1917-1998), Briançon dans la Résistance, utilisa son habitation familiale dans cet immeuble, comme centre de ses multiples activités clandestines : Renseignements, journaux et tracts, faux papiers, accueil de proscrits, juifs et résistants, actions de commandos. Certains chefs de la Résistance fréquentèrent ce lieu. Briançon fut nommé à la tête du service de Renseignement de l’A.S. Grenoble-Oisans »
– 24, Place Grenette – Maison construite par Chérubin Beyle, père de Stendhal