Correspondance de Théodore Jouffroy
Théodore Simon Jouffroy "Je dois à de chères amitiés l'honneur inattendu d'avoir entre les mains une partie importante de la correspondance de Jouffroy. Ce sont les lettres qu'après son retour à l'Ecole normale, comme maître répétiteur, il a écrites à ses anciçens camarades qui enseignaient alors en province, et surtout à ses deux amis de coeur, M. Dubois, de la Loire-Inférieure, et M. Damiron. Ces lettres sont au nombre de soixante environ, et quelques-une sont des volumes. Commencée avec Damiron, au lendemain même de la séparation (30 août 1816) la correspondance se poursuit activement jusqu'en décembre 1820, date à laquelle Damiron vient d'être rappelé à Paris, et où les deux amis se trouvent de nouveau réunis. Avec Dubois, elle débute un peu plus tard (9 janvier 1819) , elle le suit à Limoges, à Besançon, à Rennes, et se prolonge, même après son retour à Paris, jusqu'en 1827. Une douzaine de lettres ont été, pendant la même période, adressées à des amis divers ; et, au tout, il faut en ajouter une dizaine, écrites d'Italie, du mois de décembre 1835 au mois d'avril 1836, pendant cet hiver où, déjà profondément atteint par la maladie, Jouffroy était allé demander au climat de Pise et de Rome le rétablissement de sa santé..." télécharger le document (numérisation Gallica) |