Histoire et patrimoine de Saint-Arroman (Gers)
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Le toponyme de Saint-Arroman a évolué au cours de l’histoire. À la Révolution, le village est connu sous le nom “Égalité-Sousson » avant de reprendre celui qu’on lui connaît aujourd’hui en 1822 lorsqu’il fût associé aux communes de Clarens, Lembège et Gaujac.
Saint-Arroman se trouve sur le site d’un ancien château-fort et de son église castrale…
(image et extrait du site cc-valdegers.fr… lire la suite)
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Le premier seigneur de Saint-Arroman, Jordan I, né à la fin de la croisade de 1095, probablement en 1103, et décédé en 1157, a été le fondateur de la seigneurie, dont les terres auparavant appartenaient au Comte d’Astarac. Il y a donc eu la Motte Castrale, puis Arnaud VI de Sancto Romano/Saint-Arroman sera le bâtisseur du Château en Pierre et de l’Eglise Sainte-Marie à partir de 1265. Il signe cette charte conservée à Toulouse de sa main après l’avoir écrite : »Arnaldo Scripsit ». La Mairie actuelle est construite sur les ruines de cette forteresse dont on aperçoit encore un soubassement.
Le Patronyme /Toponyme de Saint-Arroman, provient très probablement de Palma la mère de Jordan I, venant de Toscane. Son patronyme devait être San Romano ( in Garfagnana ). Nous le prouverons dès la sortie de l’ouvrage concernant cette richissime lignée.