Le passé historique de Luc-en-Diois (Drôme)

Un nouveau site référencé sur Annuaire Histoire :

Le passé historique de Luc-en-Diois (Drôme)
http://www.luc-en-diois.fr/pages/6.php

La fontaine de Luc en Diois

Les traces d’occupation humaine les plus anciennes dans la vallée de la Drôme remontent au Moustérien, lorsque des néandertaliens du Paléolithique moyen venaient surveiller les migrations d’animaux depuis les plateaux surplombant le cours de la rivière (site de Maumuye à Saint-Roman) il y a plus de 35.000 ans.
Il faut ensuite attendre la fin des glaciations pour retrouver des traces humaines ; c’est durant la période Néolithique que la vallée commence à être vraiment exploitée. Les découvertes de Charens, dans le Haut-Diois, montrent que cette région est en relation avec l’importante culture alpine durant l’âge du Bronze…

(photo et extrait du site de la commune … lire la suite)

Ouvrages sur Luc en Diois

Historique de Montoison (Drôme)

Un nouveau site référencé sur Annuaire Histoire :

Historique de Montoison (Drôme)
http://www.montoison.com/fr/historique-du-village_r_28.html

Il y a 5000 ans les paysages qui nous sont familiers étaient déjà en place. Les habitants devaient être peu nombreux, ils ne connaissaient ni le fer ni le bronze, simplement le bois avec quoi ils faisaient des constructions et des outils pour tourner la terre. C’était le début de l’agriculture. Plus tard, ils firent de l’élevage, en particulier ovins et chèvres.

Cinq siècles avant notre ère, les grecs font du commerce en empruntant le Rhône qui possédait différents ports sur son cours en particulier « L’Oppidum de LEBRO » (Livron) qui desservait la région de Montoison. Les Romains intervinrent militairement contre les Grecs. Ils créèrent une place forte « VALENTIA » (Valence) et de nombreuses voies de circulation, dont l’une en direction des alpes. Une station routière, « CEREBELLIACA », se trouvait sur le parcours à 17 kilomètres de Valence. C’est sûrement l’origine de MONTOISON…

(photo et extrait du site de la commune … lire la suite)

Ouvrages sur la Drôme

ILLUSTRATION : la guerre 1914 – 1918

Un nouveau site référencé sur Annuaire Histoire :

ILLUSTRATION : la guerre 1914 – 1918
http://illustration1914.com

Chaque revue peut être cliquée sur une frise du temps, et se lit comme un livre, en tournant les pages.

Ouvrages sur la Guerre de 14-18

Histoire et patrimoine de Peille (Alpes maritimes)

Un nouveau site référencé sur Annuaire Histoire :

Histoire et patrimoine de Peille (Alpes maritimes)
http://www.peille.fr/index.php/histoire-patrimoine/histoire-du-village-de-peille

D’origine Celto-ligure, au XIVe siècle fut créé le baillage de Peille, qui comprenait 18 communes. Par la reddition de 1388, Peille passe à la maison de Savoie, relève des états Sardes en 1720, et retourne en France en 1792. De 1814 à 1860, retour au royaume de Piemont et Sardaigne, qui la rend à la France en 1860…

(photo et texte du site de l’OT de Peille … lire la suite)

 

 

Découvrir les chapelles et églises de Peille
Le Musée du terroir

Ouvrages sur les Alpes-Maritimes

Histoire et patrimoine de Bourbriac (Côtes d’Armor)

Un nouveau site référencé sur Annuaire Histoire :

Histoire et patrimoine de Bourbriac (Côtes d’Armor)
http://www.bourbriac.fr/pages/Patrimoine-Histoire

Le territoire de Bourbriac contient des vestiges des époques pré et protohistoriques.

Archéologie, petite hacheLe néolithique est représenté par le menhir de Menez-Krec’h-an-Arc’hant à Kerivoa, par le dolmen de Roc’hello, aujourd’hui détruit et par de nombreux objets tels que haches, pointes de flèches…

Le TumulusLa période la plus riche est sans conteste l’Age du Bronze : il demeure sur la commune les vestiges de plusieurs tumulus, dont le mieux conservé est celui de Tanouédou, et le caveau de Kerivoa (classés à l’inventaire des monuments historiques).

Dans ce même village a été découvert en 1932 le « trésor de Kerivoa » composé de trois lunules en or de type irlandais ainsi que de torques et d’un bandeau en or. Ces objets sont aujourd’hui conservés au musée de Saint-Germain-en-Laye….

(texte et photos du site de la commune … lire la suite)

Découvrir le patrimoine de Bourbriac :
– Le tumulus de Tanouédou
– Le caveau de Kerivoa
– L’église Saint Briac

Ouvrages sur les Côtes d’Armor

Histoire et patrimoine de Jumilhac le Grand (Dordogne)

Pierre Ortéga est l’historien de Jumilhac.
En 1999, il a publié « Jumilhac au fil du temps ».
Cet ouvrage est malheureusement épuisé ; cependant, grâce à l’ aimable autorisation de Pierre Ortéga, voici quelques éléments de l’histoire de Jumilhac et de la Communauté de Communes de Jumilhac.

(Les photos sont de Pierre Ortéga, à l’exception de celle du triens de Jumilhac qui vient du Cabinet des Médailles de la Bibliothèque Nationale.)

 

Vue générale du village

JUMILHAC LE GRAND  et son Histoire

La commune  de Jumilhac est l’une des plus vaste de la Dordogne, 6667 ha, juste après celle de La Roche-Chalais. Elle s’est installée le long de l’Isle, rivière qui prend sa source dans les étangs de Nexon (Haute-Vienne) traverse le département du nord-est au sud-ouest et va se jeter dans la Dordogne à Libourne (Gironde). Deux autres cours d’eau arrosent Jumilhac : le Périgord, qui vient aussi de Haute-Vienne et le Ruchalais né au nord de la commune.

Le nom de la commune remonte à l’Antiquité. Au VIe siècle, il apparaît dans un échange de lettres entre l’évêque de Limoges, Rorice 1er  et celui de Périgueux, Chronope II. A l’origine, il se décomposait en « Gemelius » du nom d’un propriétaire terrien gallo-romain et le suffixe « acum » qui désigne un établissement agricole d’une certaine importance

Triens de Jumilhac

On trouve des traces d’habitat néolithique sur le territoire de la commune, et des traces de l’exploitation  d’un filon de quartz aurifère entre le IVe et le Ier siècle avant J. C aux Fouilloux, un lieu-dit, proche du Chalard (Haute-Vienne). Dans les années 1990, des fouilles ont mis au jour d’importants vestiges de cette exploitation. Par ailleurs, le Cabinet des Médailles de Paris conserve quelques pièces d’or, des triens, (tiers de sou), datant du règne des petits fils du roi mérovingien Dagobert (Clotaire III, Childéric II, Thierry III), pièces frappées au lieu du Gravier, sur l’Isle

Eglise paroissiale de Saint-Pierre-es-Liens

Au XIesiècle, construction de l’église paroissiale dédiée à Saint Pierre-es-Liens (église qui a fait suite à un premier édifice situé non loin en contrebas de l’actuelle église et qui était dédiée à Saint Martin). L’église actuelle est un fort beau bâtiment, en grande partie roman, les transepts nord et sud, la nef et la façade, un chœur gothique a remplacé le chœur roman dont on n’a aucune trace. Un très beau clocher octogonal limousin se dresse à la croisée du transept, jouant finement entre lumière et ombre.

Le clocher limousin

Fin du XIIe siècle, s’installera  un prieuré de l’ordre limousin de Grandmont, il subsistera jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Une importante partie des bâtiments peut se voir, près du pont de La Faye. L’ordre de Grandmont fondé au XIe siècle en Limousin par Saint Etienne de Muret fut l’un des ordres les plus rigoureux qui ait été institué.

Le pont de la Croix Bancaud

Tout en bas de l’actuel château se trouve un pont qui relie la rive droite de l’Isle à la rive gauche, le pont de la Croix Bancaud. Jusqu’au XVIe siècle existaient deux châteaux surveillaient le gué, l’un rive droite, connu comme le « château rompu » au Puy Reysseix, l’autre rive gauche, l’actuel château.   Des Teyssières aux Chapelle de Jumilhac, du XIIIe  au XVIIIe, un certain nombre de familles seigneuriales se sont succédé au château, à la tête d’un important domaine foncier, exerçant tous les droits et devoirs des seigneurs, particulièrement la justice.

Fin du XVIe siècle Antoine Chapelle devient par mariage et par acquisition seigneur « par entier » de Jumilhac et anobli par Henri IV pour services rendus à la couronne en 1597. En 1655, la terre de Jumilhac est érigée en marquisat, François Chapelle devient le premier marquis de la famille.

Sous l’Ancien Régime et jusqu’au début du XIXe siècle, une part importante de l’économie locale a reposé sur au moins cinq forges, quatre sur l’Isle, le Teindeix, Vialette, le Gravier et le Cros bas et une sur le Périgord, les Feignères. Elles ont terminé leur activité entre 1860 et 1880. En plus de ces forges, il y avait un certain nombre de moulins, au moins une dizaine.

A la Révolution, on ne note pas de vraie agitation à Jumilhac, seuls les biens religieux sont déclarés biens nationaux, le prieuré de La Faye et le presbytère. Le dernier seigneur marquis de Jumilhac Antoine Pierre Joseph, formé à l’art militaire dans les armées royales, reprend du service dans les armées du Ier Empire, il est nommé général à Leipzig, décoré de la Légion d’Honneur à Moscou des mains du prince Murat et finira sa carrière comme lieutenant-général sous le règne de Charles X.

Le château

Après le départ des Chapelle de Jumilhac, le château et la terre passent de familles en familles. En 1827, terre et château sont acquis par Elizabeth Ouvrard, fille de l’un des plus importants munitionnaires de Napoléon 1er. La nouvelle châtelaine est l’épouse du comte de Rochechouart, descendant de l’une des plus illustres familles du Limousin et de France. Louis Victor Léon de Rochechouart a été maire de Jumilhac entre 1855 et 1858. Après le départ  de la famille de Rochechouart, ce sont les Etienne Say, enrichis dans la fabrication du sucre de betterave, qui rachètent le château et la terre de Jumilhac ; ils le quitteront dans les années 1910.

Le château, vu de l’Isle

Le château, fut laissé plus ou moins à l’abandon.  C’est en 1927 que la famille Chapelle de Jumilhac le rachètera et reviendra sur ses terres ancestrales

La municipalité, quant à elle, s’est organisée à partir de 1789 et pas moins de 26 maires se sont succédé depuis pour participer au développement de la commune, en fonction des circonstances, des bouleversements sociaux et politiques, mais aussi économiques.

Un des principaux soucis des édiles municipales fut l’instruction particulièrement celle des enfants, fort nombreux. La tache n’était pas simple : pas d’école, pauvreté des familles, il fallut résoudre ce double problème et sous l’impulsion de Pierre Delsuc, instituteur, la municipalité prit deux décisions, la gratuité de l’enseignement, en 1867, et la construction d’une maison d’école toujours debout aujourd’hui. Par la suite se créeront deux écoles de hameaux à Seveix et Puygers.

Autre difficulté : dans la seconde moitié du XIXe siècle, l’une des principales activités économiques de la commune (comme du canton et de tout le nord de la Dordogne) a disparu purement et simplement : il s’agit des cinq forges qui ont fourni, des siècles durant, du travail aux hommes de la commune, travail certes saisonnier mais qui apportait un complément de ressources à celles fournies par l’agriculture, un homme, deux métiers. Après 1880, les forges ont cessé leurs activités, sauf celle des Feynières, transformée en scierie ;  quelques moulins subsistent, dont celui de La Vergne, lui aussi devenu scierie, et le Moulin de La Salle, en bas du château, qui deviendra en 1908 une usine électrique et fournira le courant des premières ampoules électriques du bourg. Elle est toujours en activité aujourd’hui.

Dans le même temps, les différentes municipalités de Jumilhac se sont préoccupées de désenclaver la commune et son canton et dès les années 1850, la question d’une ligne de chemin de fer reliant Jumilhac à un réseau national s’est posée. Après des luttes acharnées, on inaugura la ligne de Thiviers à Saint Yrieix en 1912 ; il était tard et la ligne ne fonctionnera pas beaucoup plus de vingt ans.

Jumilhac le Grand le 6 août 2013

Pierre Ortega

Tels sont quelques unes des étapes de l’histoire de la commune

***********************************

Quelques monuments

Le château, pièce maîtresse de Jumilhac à la fois pour son histoire et son architecture, l’un des plus beaux du Périgord, et des plus originaux par ses spectaculaires toitures : 13e/17e siècles, classé monument historique

L’église paroissiale Saint-Pierre-es-liens des 11e/14e siècles pour l’architecture et complétée à l’intérieur par une riche décoration, en particulier une grande peinture murale du 17e siècle sur le thème de la « Croix de Passion »

Le pont de la Croix Bancaud avec ses deux arches et ses becs avant et amont permet de se rendre à l’usine électrique, anciennement moulin de La Salle. L’usine  est mise en mouvement par la chute artificielle du barrage sur l’Isle. Depuis ce site, le visiteur peut avoir un beau point de vue sur le château, sur les rochers d’escalade et sur le vaste étang avec son échelle à poissons. L’ancienne maison du meunier est toujours en place.

Le Pont du Chalard fait la limite de la Haute-Vienne et de la Dordogne, du XIII/XIVe siècle, classé monument historique. Il est à trois arches, dont une plus ancienne que les deux autres

Le lavoir, en quittant Jumilhac pour se rendre à La Coquille. Pas très ancien mais bien conservé, il était jadis alimenté par le ruisseau La Vache, qui prend sa source non loin de là, à La Tour

Voici d’autres photos de Jumilhac :

L’intérieur de l’Eglise

Peinture murale du XVIIè

La rue des Comédies

 

La grande allée

 

 

 

 

 

 

 

La fontaine Saint-Georges

La station du train

 

 

 

 

 

La rue du milieu

 

 

 

 

 

Ovrages sur Jumilhac le Grand

Histoire et patrimoine d’Arcey (Doubs)

Un nouveau site référencé sur Annuaire Histoire :

Histoire et patrimoine d’Arcey (Doubs)
http://www.arcey.fr/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=7&Itemid=20

Des ruines identifiées comme romaines auraient été mises à jour aux lieux-dits « sur perusse » et « les maisières », à 1,5 km du village et sur plus de 4 ha L’utilisation des voies d’Arcey aux salines de Saulnot et d’Arcey à Présentevillers serait attestée dés l’époque gallo-romaine.

 En 1865, trois sarcophages découverts au lieu-dit « Champ de Lance » laissaient présumer la présence d’un habitat burgonde…

(photo et extrait du site de la commune … lire la suite)

Découvrir le patrimoine d’Arcey

Ouvrages sur le Doubs

Histoire et patrimoine de Saint Geniès (Dordogne)

Un nouveau site référencé sur Annuaire Histoire :

Histoire et patrimoine de Saint Geniès (Dordogne)
http://www.saintgenies.com/

Saint-Geniès, situé à mi-chemin entre Sarlat et Montignac-lascaux tire son nom de Saint Genès, martyr d’Arles aux IIIe-IVe siècles.
Son église d’origine romane, Notre Dame de l’Assomption, fut construite au XIIe siècle puis classée monument historique en 1943.
Le château actuel est constitué de deux maisons parallèles du XIIIè siècle, à l’origine séparées par la première rue pavée de Saint-Genies. La réunion des deux bâtiments au XVIe siècle et la construction des deux tours (la tour carrée avec l’escalier à vis et la tour ovale), lui ont donné son aspect d’aujourd’hui.

(photo et extrait du site de la commune … lire la suite dans la rubrique : Découvrir / Le village)

Ouvrages sur la Dordogne

Il y a 70 ans Stalingrad: un tournant dans la guerre

Envie de découvrir ce qu’a été la bataille de Stalingrad durant la Seconde Guerre mondiale?

Envie d’en savoir plus?

Evènement majeur du XXème siècle et de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, la bataille de Stalingrad qui s’est déroulée de l’automne 1942 au début de l’année 1943, a marqué durablement les esprits. 1943 consacre non seulement l’unification de la Résistance en France sous l’égide de Jean Moulin et la naissance du Conseil National de la Résistance. Mais, il s’agit aussi avec la bataille de Stalingrad de la première grande défaite allemande depuis 1939, marquant ainsi la fin du mythe de l’invincibilité allemande.

Le musée de la Résistance en Morvan vous invite à découvrir son exposition temporaire jusqu’au 11 novembre 2013

 » Il y a 70 ans Stalingrad: un tournant dans la guerre »


 

Ouvrages sur Stalingrad

Pour un Musée Robespierre à Arras

Par le rôle éminent qu’il a joué pendant la Révolution Française où se fondait le devenir de la France dans un monde moderne, Robespierre est unanimement reconnu comme un personnage considérable de notre histoire. Bien au-delà de nos frontières, le nom d’Arras est associé à celui de son plus illustre citoyen et il est surprenant qu’aucun véritable lieu de mémoire ne lui soit consacré dans sa ville natale. Acquise en 1990 par la municipalité pour en faire un musée Robespierre, la maison qu’habita celui qui gouverna la France Révolutionnaire entre 1793 et 1794, fut remarquablement rénovée par les compagnons du Tour de France. Cette demeure est aujourd’hui affectée au musée du compagnonnage .
Les soussignés demandent instamment que la ville d’Arras restitue à la Maison Robespierre sa légitime vocation afin qu’elle devienne un musée qui aide les Arrageois et les innombrables visiteurs du monde entier à mieux connaître l’histoire de la Révolution Française et de celui qui en fut, quelque opinion qu’on puisse en avoir, l’homme clé…

(image et extrait du site … lire la suite)

Un projet à soutenir

Ouvrages sur Robespierre