Bien avant que la Francilienne ne vienne croiser la Nationale 4 à proximité de notre Commune, La Queue-en-Brie s’est toujours trouvée sur l’axe de circulation naturel et historique vers le site de Paris
C’est pourquoi le territoire de la Commune fut occupé et exploité de manière quasiment ininterrompue depuis l’époque paléolithique...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L'existence de Valenton remonte au 6e siècle, lorsque s'y installe une communauté rurale qui dépend de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Au 13e siècle, elle est connue comme étant le siège de deux seigneuries. Au cours des 18e et 19e siècles, de grandes propriétés comportant des "châteaux" sont édifiées. Les différents parcs qui existent aujourd'hui (parc de la Libération ou Jacques-Duclos) sont d'ailleurs issus de ces anciens domaines. La viticulture est alors l'activité essentielle...
(image et extrait du site officiel de la commune;.. lire la suite)
Le nom de Bry, Brie ou Bri vient du celtique "Briw" signifiant pont ou passage traversant un cours d’eau. La ville est mentionnée pour la première fois sous son nom actuel au travers d’une charte de Charles le Chauve datant de 861.
Le site de l’actuelle ville est habité depuis le Néolithique...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Les traces de l’histoire de Bonneuil remontent aux premiers siècles de notre ère, comme le suggère le suffixe euil dérivant du terme gaulois signifiant "lieu". A l’origine existait probablement une villa gallo-romaine du nom de Bonoilum, Bonogilum ou Bonogelum, incluse dans le « fisc » impérial romain, sur la route de Paris à Sens...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Plus de la moitié des 894 hectares de la commune est couverte par les parcs boisés des châteaux de Grosbois et du Piple, et par la forêt Notre-Dame. Boissy, dont le nom viendrait du latin Buxus, buis, a été érigé en paroisse, sous le vocable de Saint-Léger, vers le VIIIe siècle.
La seigneurie de Boissy-Saint-Léger, dont dépend le Piple, appartient à l’abbaye de Saint-Maur, et la terre de Grosbois à celle de Saint-Victor de Paris...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Du Moyen-Âge jusqu’au 18ème siècle : le Pont de Joinville
La commune faisait partie des terres appartenant à l’Abbaye de Saint-Pierre-des-Fossés, qui avait accueilli le 13 novembre 868, les reliques de Saint-Maur et était donc devenue l’abbaye de Saint-Maur-des-Fossés. En 1205 l’archevêque Eude de Sully dote l’abbaye d’un pont sur la Marne dénommé « Pons Olini », « Pont Olin », c’est-à-dire « Pont au lin »...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Chennevières-sur-Marne est située à 104 mètres d'altitude sur un plateau dominant la rive gauche de la Marne et prolongeant la plaine de la Brie.
A l'ère tertiaire, les couches géologiques remplissaient la dépression de Sucy-Bonneuil jusqu'à une hauteur de 100 mètres (c'est le travail d'érosion réalisé par les eaux qui a désagrégé le plateau de Brie et donné à la falaise de Chennevières sa morphologie actuelle)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Bien que son origine remonte aux temps préhistoriques, notre localité ne commence à être reconnue officiellement qu'au XIIe siècle. Elle devient lieu de chasses royales sous Louis XV. Au début du XXe siècle, l'urbanisation du parc de la Faisanderie donne à notre commune son visage actuel...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Chevilly-Larue a pris le nom des deux anciens villages situés dans la commune. Chevilly, en latin « Civiliacum », devrait son nom à la « villa » (domaine agricole) d’un Gallo-Romain nommé vraisemblablement Civilis. Le hameau de « La ruelle », puis « La Rue », enfin « Larue », tire son nom de la voie de « Lay » (L’Haÿ) à Fresnes le long de laquelle il a été fondé à la fin de la Guerre de Cent ans...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Plessis : branchage entrecroisés protégeant un domaine
Trévise: ville d'Italie (Vénétie). En reconnaissance au maréchal Mortier qui fut nommé duc de Trévise par Napoléon 1er, suite à la campagne d'Italie.
A l’origine, le hameau est constitué de deux domaines séparés : Le Plessis Saint-Antoine à l’est (que l’on connait depuis 1218 sous l’appellation de « plessetum male terre ») et le Plessis- Lalande à l’ouest ( il est fait mention d’un « hostel » dès 1269)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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