Lettres d'Adélaïde de Souza à Charles de Flahaut, son fils Ah, mon ami, combien je pense à toi ! comme tu dois souffrir. Je ne puis te donner aucuns détails, mais ils sont admirables de grandeur d'âme, de religion et de courage. Georgine s'est très bien conduite, tu peux m'en croire, et je crois qu'elle en mourra. |