Lettres d'Adélaïde de Souza à Charles de Flahaut, son fils
(CHAN 565 AP 9)
21 août 1815

Ah, mon ami, combien je pense à toi ! comme tu dois souffrir. Je ne puis te donner aucuns détails, mais ils sont admirables de grandeur d'âme, de religion et de courage. Georgine s'est très bien conduite, tu peux m'en croire, et je crois qu'elle en mourra.
Je t'aime de toute, toute mon âme. Papa t'embrasse. Ma santé se soutient.
Je ne sais pas encore ni ce que ce je ferai, ni ce que je pourrai faire.
Voyage mon cher ami, soigne ta santé , pense à nous qui n'existons que pour toi

retour à la correspondance de Mme de Souza-Flahaut



 

dernière modification : 26 décembre 2019
règles de confidentialité