Lettres d'Adélaïde de Souza à Charles de Flahaut, son fils
(CHAN 565 AP 9)
24 novembre 1815
Rien de nouveau, mon bien-aimé ami, et je ferme ma lettre pour qu'elle parte. Nous sommes ici d'une tristesse affreuse. Ah ! quelle vie !
Mais enfin, l'espoir de te revoir fait tout supporter.
Je t'embrasse de toute mon âme. Papa t'embrasse. Ta tante aussi.
. a en horreur tes chevaux, elle en est aux convulsions.
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