Au XIe siècle, le château de Thoire se situait sur le territoire actuel de la commune. Celui-ci dominait la vallée de l'Ain et appartenait à la famille du même nom. Le portail qui subsistait au XVIIe siècle à aujourd'hui disparu.
Au cours de la première moitié du XIIIe siècle, les sires de Thoire édifièrent un château à Matafelon, afin de fortifier leur frontière avec le Revermont passé dans la mouvance des comtes de Savoie. Celui-ci fut cependant rapidement donné pour partie en fief (2/3) à une famille de chevaliers qui avait ou qui prit dès lors le nom de maison de Matafelon...
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Toponymie : on trouve 4 communes dans l'Ain avec ce nom typique du Jura débordant également sur la Saône-et-Loire ; la Côte d'Or et le Doubs. L'Abergement-Clémenciat ; Le Petit-Abergement ; L'Abergement-de-Varey. Il semble désigner des concessions agricoles à des colons du XIe siècle au XVe siècle. À noter un quasi homonyme Abergement-le-Grand dans le Jura.
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Paroisse mentionnée dès le XIIIe siècle. Une famille de Lantenay possédait au XIIIe siècle une maison forte aujourd'hui complètement disparue. En 1324, Louis de Lantenay y est encore mentionné sous la suzeraineté de la famille de Rougemont qui avaient remplacé a ce titre la famille de Thoire et Villars...
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Jujurieux, village aux 13 châteaux, vous réserve un voyage dans le temps, de la préhistoire, au Moyen Âge et à la Renaissance, des Soieries Bonnet, au château des Echelles avec ses fresques Renaissance classées MonumentHistorique..
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A l'époque gauloise, vers 90-80 av. J.C., IZERNORE était une bourgade commerçante déjà assez active, et peut-être un petit centre culturel du pays des Séquanes. Le nom de la commune daterait de cette époque : Isarnoduron ou Isarnodurum signifierait 'La Forteresse d'Isarnos'. Sous l'occupation romaine, le village prit de l'ampleur et reçut un équipement urbain très varié : au moins deux temples, dont l'un existe encore et l'autre était situé à l'emplacement de l'église actuelle, des thermes, un réseau d'adduction d'eau et d'égouts, un quartier commerçant, etc..
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Village mentionné dès le XIIe siècle. Il apparait en 1164. La seigneurie appartenait aux sires de Coligny puis aux Thoire-et-Villars. Berthier de Rougemont en fait l'acquisition en 1301. Une maison forte existât dans l'est du village. Elle fût incendié par son propriétaire le 24 août 1789 (Le baron apprenant l'abolition des privilèges, perdit la raison et brula la maison forte)...
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A l’origine, deux bourgs principaux :
Injoux, ainsi que le hameau de Chaix, dans la mouvance du prieuré de Nantua. Canton de Billiat.
Craz, antique paroisse liée à l’abbaye de St Claude, voie d’accès au Valromey. Génissiat n’était alors qu’un simple hameau, tout comme Bériaz et Lingiaz.
En 1827, le hameau de Génissiat quitte la commune de Craz, pour Injoux !...
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Peu de sources attestent d'une présence gallo-romaine sur le territoire même d'Hotonnes, néanmoins de nombreux édifices gallo-romains ont été découverts dans la proche région d'Hotonnes ; à titre d'exemple l'aqueduc romain de Vieu datant probablement de la seconde moitié du IIe siècle est situé à environ 10 km d'Hotonnes, à « vol d'oiseau »...
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En 930, les terres d'Échallon sont données par Albitius, comte de Genève à l'abbaye de Nantua.
En 1159, le prieur de Nantua établit les limites entre la paroisse d'Échallon et les terres de l'abbaye de Saint-Claude (Jura).
En 1230, les querelles entre Étienne Ier, sire de Thoire et le prieur de Nantua Humbert de Mornay, entraînent prises, pillages et incendies dans les paroisses d'Échallon et Nantua...
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L'ouvrage de référence écrit par André Buisson ne recense aucune découverte d'importance à Charix.
Un document de 1145 dans lequel Eugène III confirme l'appartenance de certains biens au prieuré de Nantua, évoque le village. En effet, celui-ci reste propriété des prieurs de Nantua jusqu'en 1608. Toutefois, le village avait acquis une certaine autonomie (par exemple, les habitants avaient le droit de défricher depuis 1382)...
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