L'étymologie de Chaillevois est composée d'un radical très ancien *kal, qui signifie « pierre », « rocher ». Ainsi, l'origine du village remonte aux temps les plus reculés.
En effet, sur la colline située au nord-ouest du village et qui porte le nom de Château-Monceau, des creuttes ou anciennes habitations souterraines existent sous la roche calcaire qui contourne le plateau...
(source wikipedia)
L'histoire de Camelin remonte à l'Antiquité puisqu'il serait probable que le village tienne son nom de Camulos, le dieu de la Guerre chez les Gaulois.
À l'époque gallo-romaine, Camelin est un vicus, c'est-à-dire un petit village d'origine gauloise qui a été romanisé et qui sert de relais entre les deux grandes agglomérations de l'époque, Noyon et Soissons...
(source wikipedia)
Bucy-le-Long est un village de l’ancien Soissonnais. Sa vocation si elle a été longtemps agricole a été aussi et surtout vinicole. Son nom serait tiré du mot latin « boscus » : bois. On trouve déjà trace de notre village en 1137 sur la charte de l’abbaye de Prémontré. Bucy possédait jadis une maladrerie qui fut réunie à l’ Hôtel Dieu de Soissons en 1696. Sa particularité outre sa tour moyenâgeuse est d’avoir deux églises...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Histoire et Patrimoine
La milice de Bruyères à la Bataille de Bouvines
Les Maires de Bruyères depuis 1890
Bruyères pendant la guerre de 1914-1918
La Reconstruction
Le Général de Gaulle à Bruyères
L'exode d'un Bruyérois en 1940
Le Vieux Plan de Bruyères
L'Eglise Notre Dame de Bruyères
Le vieux cimetière
Les Forts de Bruyères
Les anciens moulins de Bruyères
Les Trois Châteaux d'Arsène Houssaye...
(image et extraits du site officiel de la commune)
La commune se situe au milieu du Chemin des Dames. Elle est au centre de la Bataille du Chemin des Dames en 1917 et de la seconde bataille de la Marne en 1918.
En 1940, la commune est un haut lieu de la Bataille de l'Ailette.
(source wikipedia)
Siège d'une importante commanderie des hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Le village souffrit des guerres de Religion au Moyen Âge, et fut sous l'occupation allemande lors de la première et de la deuxième guerre mondiale.
Les chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem paraissent avoir été attirés en Laonnois, comme les Templiers, par le pieux évêque Barthélemi de Joux, que nous avons déjà vu à l'origine de tant de saintes illustres fondations...
(source wikipedia)
Le village fut fondé au XIIe siècle lors des grands défrichages, à l'orée d'une forêt, d'où son nom de Bois-lès-Pargny. Une grande partie de son sol argileux demeura emboisée afin que le seigneur pût y chasser. Ce village a été touché par une épidémie de choléra en 1832 (d'où le cimetière du choléra) : 81 habitants en moururent.
(source wikipedia)
Situé en bordure de l’Aisne, le village a été depuis la préhistoire une zone de peuplement.
Situé aux confins de l’Ile de France, de la Champagne et de la Picardie, le village fut également le théâtre de nombreuses confrontations entre les "envahisseurs" et les peuples de France.
- En 57 av. J.C eut lieu entre la rivière Aisne et la Miette à l’emplacement de la ferme de Mauchamps, la Bataille de l’Aisne qui opposa 300 000 Belges aux 8 légions de César et à ses alliés Rême, environ 30 à 40 000 hommes...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Des fouilles archéologiques sur les rives de l'Aisne ont mis au jour d'importants établissements néolithiques datant d'environ 3000 av. J.-C. et ont révélé une activité agricole qui s'est poursuivie aux époques gauloise et gallo-romaine.
Au Moyen Âge, le bourg fut la possession des bénédictines de l'abbaye d'Origny-Sainte-Benoite. À cette époque, la culture de la vigne occupait une place prépondérante...
(source wikipedia)
Jean Le Cat, grand échanson de Charles VII de France et seigneur de Beaumont-en-Beine, est le fondateur de la dynastie de la famille d'Hervilly.
Durant l'offensive du printemps 1918 (« bataille de Picardie » ou « bataille de l'empereur ») lorsque le front avance vers Paris, les canons géants (Pariser Kanonen) qui pilonnaient la capitale depuis Crépy-en-Laonnois...
(source wikipedia)
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