Du latin Salicetum qui signifie « saule », Saulcet apparaît très tardivement dans les sources avec la fondation d’un couvent de bénédictines en 1651 à Verneuil. Partagé au Moyen Âge entre deux gouvernements, Auvergne et Bourbonnais, la paroisse compte, en 1569, 194 feux selon les estimations de Nicolay...
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Bien qu'une origine romaine ne soit pas exclue - des vestiges ayant été mis à jour - Saint-Pourçain-sur-Sioule apparaît avant tout comme une ville de fondation médiévale typique où l'histoire se lit dans les formes.
C'est autour d'un petit monastère, fondé au Vème siècle, que se développe, à l'époque mérovingienne, la ville qui prend le nom d'un ancien esclave auteur de miracles devenu ensuite l'abbé des lieux : Pourçain...
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Le site accueillit une communauté religieuse aux XIe et XIIe siècles. À l’origine, la paroisse se nommait Sainte-Placide et dépendait du diocèse de Bourges. C’est en 1403 qu’elle devient Saint-Plaisir.
Pendant la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le village prit le nom de La Bieudre.
Le seul monument du passé est l’église datant de la fin du 12ème siècle...
(image et extrait du site officiel de la commune et wikipedia)
Au VIIe siècle, un évêque irlandais nommé Ménulphus de retour de Rome s’arrête dans le village de Mailly sur Rose. Il y mène une vie d’abnégation et réalise miracles et guérisons. Il aurait pris sous sa protection un simple d’esprit qui était le souffre-douleur des gens du village. Ce dernier n’arrivant pas à prononcer correctement le nom de "Menulphe" le prononçait de manière simplifiée "Menoux", d’où ce deuxième nom attribué à Menulphe...
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La commune résulte de la fusion de deux communes antérieures (issues chacune d'une paroisse de l'Ancien Régime), Saint-Léopardin et Augy, par ordonnance du roi Louis Philippe en date du 18 juin 1843. Ladite commune de Saint-Léopardin porta, pendant la Révolution française, le nom de Vivier...
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Dès la période gallo-romaine, une occupation humaine semble établie sur le territoire communal. Des tuiles à rebords et poteries sont découvertes aux Carterons, et un mur gallo-romain est mis au jour dans le bourg. L'existence d'énormes blocs de pierre témoigne de l'existence d'un lieu de culte en l'honneur de Cybèle, culte officiel de Rome en 234 avant JC. Une vingtaine de sarcophages, datés des débuts du christianisme en Gaule, sont aussi exhumés (une partie d'entre eux sont exposés à Néris-les-Bains)...
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Connue sous le nom de Sancti Giranni de Vallius en 1280, Sainct Juliain de Vaux en 1409, paroisse de Sancto Juliano in Vallibus en 1240, la commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Mont-Libre.
(source wikipedia)
Le village actuel de SAINT-ENNEMOND, situé en Sologne Bourbonnaise, à 220 mètres d'altitude, d'une superficie de 3800 hectares et comptant 652 habitants au dernier recensement (en 2013), fut habité depuis des temps très anciens. On y trouve de nombreux vestiges préhistoriques aux Jean du Mets, aux Roussets, aux Rubis etc, vestiges que l'on peut voir au musée de Moulins.
Une grande forêt, " Lecenne ", recouvrait tout le territoire situé entre les fleuves Loire et Allier, habité par les Gaulois Eduens. Les Romains y tracèrent une route d'Yzeure à Decize, en suivant le cours de l'Abron...
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Les origines de ces deux paroisses sont très anciennes comme en témoignent les découvertes faites à l’occasion de la construction de l’église actuelle, objets en or, buste en grès, tegulae et meules à bras en arkose attestent d’une présence gallo-romaine, puis médiévale. La première mention de Bessais remonte à l’an de grâce 1152, par le biais d’une bulle papale qui confie à Pierre, prieur de Souvigny, le patronage de « l’ecclesiam de Betiaco ». ..
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Rocles, aussi loin que l'on peut remonter dans les archives ou sur le terrain, ne possède pas de passé historique, ni de traces de faits marquants. Au hasard des labours, on retrouve bien des haches polies dans différentes roches (grès, schistes, silex...), même aux abords du village, mais ce sont les seules traces de la préhistoire...
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