La légende de la veuve raconte l'histoire d'un jeune soldat allemand: Hans Schuller, qui se faisait soigner ses blessures dans l'hôpital allemand de Sugny. Il serait mort de ses blessures le 05 février 1916. Aujourd'hui, lorsqu'on se rend dans ces ruines, nous pouvons entendre les pleurs de sa femme veuve se lamenter et errer dans les bois. (Source: Histoire et légendes des Ardennes de Patrick Meunier, chap.12, p.251 éd. Michel Lafont)
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Un prieuré dépendant de l'abbaye Saint-Remi de Reims est attesté à Senuc depuis le XIe siècle. On y honorait un saint local, Oriculus (Saint Oricle) qui, d'après Flodoard, aurait été massacré par les Huns au Ve siècle, avec ses sœurs Oricula et Basilica. Le saint, décapité céphalophore, lava sa tête à une fontaine qui devint un lieu de pèlerinage - et qu'on identifie aujourd'hui au lavoir du village...
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Le village n’a pas toujours été ce qu’il est aujourd’hui. La terre crayeuse offrait autrefois de bien maigres récoltes. Ce sol pauvre, où furent plantés de nombreux résineux sous le Second Empire, donnait en pâture aux troupeaux et moutons herbe rare et « pouille ». C’est de là que vient le qualificatif « pouilleux », bien mal compris puisque la pouille est l’autre nom du serpolet (espèce de thym sauvage)...
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Pauvres, comme toutes les communes du pays d'Ardenne, appartenait, jusqu'au Ve siècle à la Gaule romaine. Jules César est le premier à faire mention de l'Ardenne dans les Commentaires sur la Guerre des Gaules. Tacite parle de la région d'« Arduennasis ». Les Celtes appelaient « Arduem » l'immense forêt couvrant le Nord de la Gaule. Pauvres aurait appartenu au « Pagus Rémensis »...
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Le nom du village apparait au début du XIVe siècle et semble avoir appartenu aux seigneurs de Vandy. L'ancienne église, qui n'existe plus, fut consacrée en 1539 et placée sous la protection de saint Thibault. Les deux communes furent réunies après 1790 et rattachées au canton de Tourteron. Deux activités dominent au XIXe siècle : l'exploitation de carrière de pierre calcaire jaune, avec lesquelles sont bâties les maisons du village et la culture de la vigne : 100 hectares étaient exploités en 1870...
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Le village de Montgon existe probablement depuis l'époque gauloise. Gon voudrait dire Dieu en celte. Il aurait été trouvé sur la commune une tombe d'un chef celtique. Les Romains construisirent la voie de Reims à Trèves et qui subsiste encore, partiellement recouverte par une voie communale, près du village de Voncq. Montgon fut donc probablement un village animé par le passage des voyageurs, des marchandises et des troupes militaires pendant tout l'Empire...
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Au lieu-dit Saint-Léger, sur la partie ouest du territoire de la commune, un cimetière franc a été trouvé en 1913, avec des squelettes accroupis, des débris de poteries et différents objets, montrant une occupation ancienne de ce site dominé par la butte de Bourcq.
Une charte de 1119 de l'archevêque de Reims Raoul Le Vert citait une église à Mars avec comme dépendances des chapelles à Bourcq...
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On ne connaît pas grand chose de l'histoire de cette terre au haut Moyen Âge. Il est probable que la vallée de l'Aire et les terres de Marcq ne commencent à être réellement défrichées qu'au Xe siècle, en même temps qu’est crée l’abbaye de Senuc.
Vers 1239, le sire de Cornay, donne à foy et hommage sa terre de Marcq à sa parente Élisabeth de Villiers...
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Des fouilles mirent au jour des traces d'habitation du VIe siècle sur la commune, les objets se trouvent au musée Saint-Remi de Reims qui montrent les traces d'un vicus. En 1013, Arnould évêque de Reims citait le village qui fut ensuite possession des comtes de Grandpré à partir du XIIIe siècle et octroyait aux villageois l'autorisation d'élire des échevins...
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Le 1er septembre 1914, le village fut traversé par une partie de la 22e Division d’Infanterie qui battait en retraite comme le reste de l’Armée française. Cette division avait déjà combattu à Maissin (Belgique) (à 25 km au nord-est de Bouillon) le 22 août 1914 puis à Chaumont-Saint-Quentin, village voisin de Thelonne dans le massif de La Marfée, le 27 août. Après avoir transité par Attigny et Pauvres, la moitié de la division...
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