En 1319, le sire de Jully, Jean de Joinville obtenait de Philippe V le Long la création de deux foires. Une à la Saint Georges et l'autre à la Saint Louis ; Jean donnait aussi un marché chaque vendredi. En 1666, l'intendant de Bourgogne Bouchu constatait la culture de l'orge, de l'avoine et de la vigne ; un commerce de canevas et de toile avec la présence de tisserands au village...
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Connu en 877, le plus ancien seigneur connu du village est Hugue et sa femme Wilde. Ils avaient fait un don de serfs à l'abbaye de Montiéramey en 927. La seigneurie est passée à l'abbaye de Montier-la-Celle en 1232. Elle gardait cette seigneurie jusqu'à la disparition de l'abbaye, ces biens passant à l'évêque de Troyes...
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Le village existait au XIIe siècle et probablement au IXe siècle. Son nom provient probablement d'une forêt.
En 877, Charles le Chauve, sur la demande du duc de Boson, fit don à l'abbaye de Saint-Pierre et Saint-Frobert (qui devint Montier-la-Celle), de la forêt de Drosilon, ou de Javernant, près de Jeugny...
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En 1172, Herbisse était aux comtes de Champagne, et relevait de la châtellenie de Rosnay.
À partir de 1222 le village devient un chef-lieu de bailliage sous les Comtes de Champagnes.
Au XIVe siècle, l'une des maisons du village appartient à Pierre de Tiercelieue, bailli de Chaumont.
Napoléon I loge au presbytère le 27 février 1814 pour prendre l'arrière de Gebhard Leberecht von Blücher...
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Relevant du comté de Champagne, la seigneurie-châtellenie de Gyé (ou Gié) appartient aux seigneurs de Chappes. Béatrice de Chappes épouse vers 1270 Jean de Til-Châtel seigneur de Coublanc : mais ils ont de gros problèmes d'argent et doivent céder de nombreux biens : ainsi Gyé est engagé (1277, 1278, 1293) puis vendu (vers 1296-99) au duc Robert II de Bourgogne...
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La première mention du village ne remonte qu'à la donation de André de Rosson, chevalier du Temple qui fait don en 1220 de ce qu'il possède à Aillefol et Rosson à sa nouvelle confrérie. Sa fille Agnès confirmait cette donation à la commanderie de Bonlieu.
En 1231, sur l'ancienne paroisse d'Aillefol, est fondée la commanderie de l'Hôpiteau par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem sur des terres vendues par le comte de Brienne Gautier IV...
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Bien que Fontette ne soit pas mentionné parmi les lieux habités à l'époque gallo-romaine, on ne saurait douter que l'origine de ce village ne remonte au moins jusqu'à cette époque ; car sa position sur des voies secondaires le Chemin-Lorrain d'Essoyes à Bar-sur-Aube et celle venant de Langres et se dirigeant au NO...
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La commune de Fays La Chapelle est le plus petit village du département.
La Chapelle "Notre-Dame de Fays La Chapelle" est un édifice en pans de bois, construit en 1828. Elle est unique dans le département de par sa façade en pierres et briques surmontée d'un campanile édifié en 1854. L'intérieur est composé d'une nef en trois travées, d'un choeur terminé par un mur plat en trompe l'oeil et de niches: Saint Joseph à gauche et Sainte Anne et la Vierge à droite...
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Au finage de Saint-Liébault passait l'ancienne voie romaine de Troyes à Sens. Une nécropole gauloise se trouvait à La Côte d'Ervaux, constituée d'une enceinte circulaire où furent trouvés, en 1994, cinq sépultures et une tombe à char..
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Au milieu du XVIIème siècle, la fabrication du papier constituait une activité relativement importante qui cessa à la fin du XVIIIème siècle plusieurs moulins étaient installés sur l’Ource.
Un incendie ravagea Essoyes le 12 mars 1763. Seules les quelques maisons construites en pierre furent épargnées...
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