Rappel du contexte : Jusqu’au milieu du XXème siècle, le rocher de Saint Victor, au centre géographique de la commune, était tout naturellement le cœur de la vie locale, dans une configuration assez unique : 90% des habitants vivaient dans des hameaux. Sur le rocher se trouvaient réunis l'église, le presbytère, la mairie et l'école. Rappelons que la commune comportait 500 habitants à la fin du XIXème siècle...
(image et extrait du blog officiel de la commune)
Gerbert d'Aurillac serait né entre 945 et 950 à Belliac, un hameau situé aujourd'hui dans la commune. Cette localisation, qui appartient à une tradition locale, n'a cependant pas été confirmée par les travaux de Pierre Riché sur la biographie de Gerbert d'Aurillac (il se limite à confirmer que Gerbert est Aquitain).
En 1874, Velzic est érigée en commune.
(source wikipedia)
Le bourg de la commune de Saint-Santin-de-Maurs présente la particularité d'être juxtaposé au bourg éponyme de Saint-Santin, situé dans le département voisin de l'Aveyron. Le village est ainsi administrativement coupé en deux. La division est ancienne, les deux communes sont issues de deux provinces : Auvergne et Rouergue. La carte de Cassini (XVIIIe siècle) montre déjà deux communes dont Saint-Santin de Montmurat, en Rouergue, aujourd'hui département de l'Aveyron, et Saint-Santin de Maurs dans le Cantal...
(source wikipedia)
L'histoire de la commune de SAINT-PAUL-DES-LANDES est intimement liée à celle de la route qui la traverse, voie d'accès principale depuis des siècles d'AURILLAC vers TULLE et PARIS.
L'actuelle Route Départementale 120, jadis appelée Chemin Royal, a en effet vu au fil des siècles bon nombre de voyageurs, de marchands, d'hommes de troupe, de mendiants, passer à SAINT-PAUL-DES-LANDES où un relais de poste y est créé dès 1643...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La commune est ainsi officiellement désignée depuis le 3 août 1844, où par ordonnance royale promulguée en son palais de Neuilly, le roi Louis-Philippe décréta que les communes de Saint-Mamet et de La Salvetat étaient réunies et n’en formeraient désormais plus qu’une, désignée sous le nom de Saint-Mamet-La Salvetat.
On pourrait voir dans cet acte une sorte de répétition de l’histoire...
(image et extrait du site officiel de la commune)
1378 : Une chapelle à Saint-Jacques dépendant de la paroisse de Thiézac, est mentionnée sur un chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, la Via Arvernha.
15 mars 1789 : convocation de la communauté des habitants sous le porche de l'église. Saint-Jacques a alors 130 feux et un prêtre qui avait « sur les bras plus de 700 communiants ».
28 août 1808 : décret d'érection de la paroisse, la succursale de Thiézac devient une église indépendante...
(source wikipedia)
A l’inverse de la situation de l’hôpital-léproserie, il n’y a aucune tradition orale concernant le prieuré de St-Illide, personne ne se souvient de son existence ; en revanche beaucoup de sources écrites alors qu’il n’y en a actuellement aucune sur l’hôpital.
QU’EST-CE QU’UN PRIEURE ?
C’est généralement un établissement religieux créé par une abbaye plus importante sur un domaine foncier qui lui a été donné. Il est desservi par des moines de cette abbaye qui en gèrent le temporel sur place et envoient les revenus à leur abbaye. ..
(image et extrait du site)
Comme la plupart des localités d’Auvergne, Saint-Gérons a été habitée bien à l’avant l’époque préhistorique. La preuve, on recense sur son territoire plusieurs traces de présence néolithique d’une part et de l'âge de bronze d’autre part.
Des menhirs datant aux environs de l’an 3500 à 2000 av. J.-C se dressent également fièrement dans plusieurs lieux de Saint-Gérons tout en conservant remarquablement leur beauté impressionnante...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La seigneurie de Saint-Étienne appartenait au XIIIe siècle à Astorg VI d'Aurillac, fils d'Astorg V et de Marie de Rodez, seigneur de Conrot, viguier d'Arpajon pour l'abbé d'Aurillac.
Jacques de Giou, baron de Giou en 1633, gentilhomme de la Chambre du roi Louis XIII et de sa Fauconnerie, est seigneur de Saint-Étienne...
(source wikipedia)
L’église de St-Cernin est une rude construction en lave, à nef unique, agrémentée d’un porche méridional et d’un clocher à peigne. Son intérêt majeur tient dans une série de modillons où les motifs à copeaux alternent avec des détails du bestiaire...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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