Le cadre de vie est admirable, incitant à la rêverie, poussant à la sérénité. C’est sur un méandre de la Saône que les premiers Pagnotains ont installé leurs pénates, séduits sans doute, par les ressources qu’offraient le fleuve (on répugne à parler de rivière) et les terres de ses rives. Un barrage, dans les années 1970, a transformé la Saône en « délaissé » dans la traversée de la commune. On s’active aujourd’hui à lui rendre vie et activités…
(image et extrait du site officiel de la commune)
Partagée entre la côte qui culmine à 600 mètres et la plaine qui s'étend jusqu'à la forêt de Cîteaux, Nuits-Saint-Georges doit sa renommée au prestige de ses vins, de son crémant et de sa production de fruits rouges. Située entre Beaune et Dijon, cette charmante petite ville bourguignonne possède également un patrimoine architectural riche et diversifié. Inscrite dans ses monuments, l'histoire de la ville se dévoile au fil des rues...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Nolay fût construit sur l'emplacement d'un site gallo-romain. Le bourg est cité pour la 1ère fois en 885. Après les invasions barbares, la ville s'était dotée d'un château, situé à l'emplacement de l'actuelle place Carnot et qui au XVème, abrite les Ducs d'Aumont. Il n'en reste pratiquement rien aujourd'hui, les derniers maigres morceaux de tours et de remparts se cachant dans des propriétés privées...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Village complètement détruit en 1636 lors de l'invasion impériale de la Bourgogne par l'armée de Matthias Gallas et qui échoua à s'emparer de la petite ville forte de Saint-Jean de Losne. Le village dépendit jusqu'en 1792 de la paroisse de Brazey-en-Plaine, tout en ayant sa propre église. Celle-ci, brûlée en 1636, tarda longtemps à être rebâtie et fut consacrée en 1742.
(source wikipedia)
Le village remonterait à l'époque de la construction des cathédrales : l'utilisation du bois nécessita l'emploi de nombreux bûcherons et charbonniers qui habitèrent leurs lieux de travail.
Mons Médius se transforma en Montmoyen en 1398 puis Montmahein et enfin Montmain.
C'est au XVI° siècle que Charles et Jeahan de Tenare construisirent le dernier château qui fut démoli en 1865...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La seigneurie de Monthelie et son vignoble sont des dépendances de l’abbaye de Cluny durant cinq siècles (Xe au XVe siècle) à la suite du don fait en 1078 par le duc Hugues Ier de Bourgogne.
En 1722 l'apothicaire beaunois François Fromageot acquiert la seigneurie de Monthelie et la donne en dot à sa fille Jeanne qui épouse le seigneur François Brunet d’Antheuil en 1723 ...
(source wikipedia)
Mont Saint Jean fut une seigneurie importante de Bourgogne et la résidence d'une puissante famille sous les ducs de Bourgogne de la race Capétienne.
Le château était déjà important en l'an 924, puisque Flodoard, dans sa chronique, en fait deux fois mention dans des événements parfaitement circonstanciés et qui ne laissent place à aucun doute. Il apparaît sous le titre de CASTELLUM MONTIS SANCTIS JOHANNIS...
(image et extrait du site)
Le village est situé sur le grand chemin de Beaune à Autun à la croisée de celui d'Arnay-le-Duc à Nolay. Un hôtelier y prospère (Toussaint de La Grange en 1544). Au XVIe siècle, Molinot est la propriété de la famille d'Aumont par ailleurs détentrice des seigneuries de Nolay et de Couches...
(source wikipedia)
La Chapelle Contaut
La cloche de la chapelle Contaut (la plus petite) fut apportée dans le clocher de l’Eglise en 1790 et la plus grosse date de 1825. Dans d’anciennes notes d’un M. Bougenot, il est fait remarquer que la croix en bois était recouverte d’ardoise en lamelles.
Sur la chapelle Contaut, on peut dire que Mongin II Contaut (fils unique de Mongin Contaut) fut inhumé le samedi 18 juillet 1534. La chapelle est sous le vocable de la conception de Notre-Dame et de Saint-Jérôme...
(source wikipedia)
Le château de La Borde était résidence des premiers ducs capétiens de Bourgogne. La baronnie fut érigée en marquisat en août 1645 pour Denis Brûlart, président au parlement de Dijon, titre confirmé en octobre 1786 pour Jean-Joseph de Laborde, banquier de la Cour.
(source wikipedia)
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