L'origine du nom de la commune provient de la rivière qui la traverse. La rivière Eyraud est située sur le territoire de la commune qui d'ailleurs s'appelait simplement Eyraud au XVIIe siècle, et le saint patron du village est Saint Pierre, fêté le 29 juin...
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La commune porte le nom de saint Méard, évêque de Noyon du vie siècle. Elle est mentionnée la première fois en 1122, sous le nom latin de « Sancti Medardi Abbatiae », soit Saint-Méard-de-l'Abbaye, son premier nom, qui change ensuite pour Saint-Méard-de-l'Abbatial puis Saint-Méard-de-Gurçon...
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Pages à consulter :
Présentation du village
Carte de la commune
Les fontaines
Le château
L'église
Les écoles
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Les lavoirs
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Sanctus Martinus de Heremus était le premier nom de la paroisse, citée dès le XIIIe siècle.
Francisé en Saint Martin de Lerm, ce vocable vient du latin eremus, qui veut dire désert et ermitage.
Une sentence arbitrale entre Hélie VI Talleyrand, comte de Périgord et le seigneur de Gurson en 1244, indique que Saint Martin était une des cinq paroisses composant la châtellenie de Gurson, dont elle prit le nom peu à peu...
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Église
Cette église romane est inscrite à l'inventaire des monuments historiques.
Elle présente un portail roman.
La nef unique est couverte d'un toit à deux pentes en petites tuiles. Son clocher-mur est édifié sur un arc triomphal du choeur dont la crête horizontale a deux rampants légèrement incurvés ; épaulé par deux contreforts élevés, il est percé de deux baies jumelles plein-cintre...
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Saint Marcel a pris le nom d’un martyr romain, pape de 308 à 309. Ce fut, au Moyen-Âge, le siège d’un archiprêtré qui comprenait quarante et une paroisses, créé par Raymond d’Aspremont, premier évêque de Sarlat.
L’église, de fondation romane, présente un portail gothique surmonté de deux niches aveugles, une nef unique et un chœur voûté d’ogives terminé par un chevet plat...
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Nous ne pensons rien apprendre aux habitants de la commune en disant qu' elle fut formée en 1794 par la réunion des paroisses de Saint Laurent des Vignes et de Saint Sernin de Gabanelle.
Cependant cette précision est fondamentale, en effet, avant la révolution de 1789, tous les actes de la vie civile se déroulaient dans le cadre paroissial. C' est donc en recherchant l' origine des paroisses que nous pouvons connaître celle de la commune...
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Le nom du village est connu par son église au XIIIe siècle, écrit Sanctus Laurentius. Saint Laurent aurait selon la légende refusé de donner les trésors de l’Eglise au cours des persécutions du milieu du IIIe siècle ; il mourut grillé. Sanctus Laurentius est ensuite augmenté de Guilhgorsa, qui se compose du nom d’une personne germanique, Ghislarius, suivi d’un mot d’origine gauloise désignant un terrain et qui a donné l’occitan gòrsa « terrain peu productif »...
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Elle est couverte d'un toit relativement pentu de petites tuiles. Sa façade possède deux hauts contreforts d'angle, obliques, à deux étages talutés, Le talus supérieur venant mourir en ciseaux sur la tranche du clocher-mur et sur sa façade. La partie supérieure, de construction plus récente, se termine en triangle élancé, percé de trois baies plein-cintre de même hauteur...
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Le village, accroché au flanc d'un coteau, charme par ses vieilles demeures patinées par le temps et par son église romane, voutée d'ogives à l'époque, gothique, dont l'avant choeur s'orne d'une belle coupole sur pendentifs. Elle a succédé à un prieuré dont il ne reste qu'une porte ogivale.
Polyculture, vigne, céréales et élevage sont les principales ressources économiques de cette commune, de 581 hectares, qui se place dans une région verdoyante, calme et paisible, qu'agrémentent, ca et là, des bosquets ombragés...
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