Sous l'ère des ducs de Bourgogne, Dannemarie n'est qu'un petit hameau d'une douzaine de maisons groupées autour d'un prieuré. Les terres étaient rattachées aux seigneurs de Montferrant, Torpes ou Corcondray, dont les finages se rejoignaient près du moulin de Bénusse.
En 1477, la Franche-Comté, et avec elle Dannemarie passe dans la maison des Habsbourg. L'obligation de cuire son pain au four banal disparait dans un acte du 13 décembre 1692, permettant aux habitants de Dannemarie de construire, chacun, un four...
(source wikipedia)
En 967, le village se nommait "Cussiacus", en 1033 "Cusciacus", puis en 1049 "Villa Cussiacum" et c'est en 1269 qu'il prit le nom de "Cussey", avant de changer pour "Cuisens" en 1275 et prit peu à peu le nom de "Cussey sur l'Ognon" qui est aujourd'hui son nom actuel. L'étymologie de ce nom proviendrais du mot celtique "Cus" qui voudrait dire rocher. Après plusieurs transformations, le nom "Ognon" provenant de la rivière de l'Ognon s'est ajouté...
(source wikipedia)
Le patrimoine de la commune est exceptionnellement riche. Le four banal est le seul du Canton. Il fait suite à une fontaine lavoir de 1848, qui forme avec la place de l’église une très belle perspective. Le parvis de l’église est la place du village.
C’était aussi un ancien cimetière dont il reste les délimitations par des bornes cylindriques bien conservées qui forment une zone arrondie précise. Une plantation de tilleuls en fait une des places les plus typiques du Canton...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
Cubry commence par une légende : «au bois de Montblanchin, vivait une Vouivre qui en était la propriétaire. Un Seigneur fit le vœu à Saint Georges que s’il réussissait à tuer la Vouivre il édifierait un château. Le vaillant Seigneur tua la Vouivre et le château de Bournel vit le jour ».
L’église de Cubry est du 19ème, avec son clocher en bulbe de tuiles colorées, renfermant une remarquable peinture murale...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
L’histoire de Crouzet est étroitement liée à l’existence de l’Abbaye de Migette, dont l’origine serait la venue d’une recluse, au 11ème siècle, à la recherche du silence et de la méditation, bientôt rejointe par quelques femmes pieuses pour former la première communauté de la région. Du 12ème siècle à la Révolution, les habitants de Crouzet étaient tous mainmortables et justiciables de la basse justice des dames de Migette...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
C'est d'une famille suzeraine (les Wurtemberg) et de la seigneurie de Passavant que dépendront jusqu'à la Révolution Courtetain-et-Salans, ces deux villages maintenant réunis mais souvent séparés dans l'histoire. Les vassaux qui tinrent le fief pour les Wurtemberg furent les familles de Leugney et d'Orsans. Deux commanderies y avaient aussi des terres et des sujets, celle des frères Saint-Jean de Jérusalem de La Villedieu et celle de Dammartin-les-Templier...
(source wikipedia)
«L'homme de Courchapon» est certes moins célèbre que son collègue de «Cromagnon» mais la présence de notre lointain ancêtre éclaire d'un jour précieux l'histoire de notre ancienne comté, grâce aux nombreux vestiges présentés au musée d’atchéologie de Besançon. La «grotte de la Roche» atteste de la présence des hommes au néolithique...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
Il reste un donjon carré du XIVème ou XVème, dont la chapelle a été transformée en logements. La clé de voûte porte l'écusson de Côtebrune. Une statue de la Vierge, à l’entrée du village, date du XVIIIème et deux fontaines dite «du bas» et l’autre dite «du haut» de 1850, sont alimentées par une source naturelle...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
L'abbaye de Corcelles est une ancienne abbaye cistercienne, fille de Notre-Dame de Tart. Fondée au milieu du XIIe siècle, elle a subsisté jusqu'en 1609. Il n'en reste aujourd'hui que la partie sud, c'est-à-dire surtout l'ancienne chapelle, qui se trouve dans la commune de Corcelles-Ferrières dans le Doubs.
Le terme de Corcelles, qu'on retrouve dans de nombreux toponymes en France, est proche de celui du mot français cour et provient du latin tardif curtis...
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Après une grande victoire entre Doubs et Drugeon, Charles le Chauve offrit à l'un de ses plus braves guerriers le clairon d'argent de son aïeul Charlemagne : «Sonne de ce clairon aussi fort que tu pourras : toutes les terres qui t'entendront seront tiennes». Ainsi le jeune héros devint-il le premier seigneur de Cléron. Sans doute s'agit-il là d'une légende, comme Cléron sait en abriter quelques-unes...
(image et extrait du site de la Route des Communes)
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