Situé sur la route du sel, c'était au Moyen-Âge un village fortifié dominant la vallée de la Loue et faisant face à Châteauneuf (voir Vuillafans). Appartenant successivement aux seigneurs de Salins, Montfaucon et Rye, le château fut vendu comme bien national à la révolution et entièrement détruit par le feu en 1807.
Reconstruit, il est aujourd'hui propriété privée et ne peut être visité. Une fresque sculptée représente tous les métiers...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
Cité pour la lère fois en 1083, le château fut la propriété des Seigneurs de Scey, dits de Montbéliard, puis des Comtes Palatins de Bourgogne. Après la période moyenâgeuse, le château fut détruit par les troupes de Louis XI vers 1477. Acheté et restauré par la famille Granvelle en 1550, le château et ses habitants eurent à affronter les Suédois (1638) et enfin à subir les assauts des Français lors de la 2ème conquête de la Franche-Comté. C'est à cette époque (1674-1678) que le château fut entièrement démantelé...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
La première mention du nom Champlive date du XIVème. Son origine vient du fait que les terres étaient inondées en cas de fortes pluies, donc Champs lavés d'où Champlive. Depuis, un tunnel a été creusé pour évacuer l'eau. Le village est traversé par un ruisseau, Le Gour.
Au sommet de la colline, les ruines du Château de Vaite, construit au XIIIème, surplombent la vallée du Doubs...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
C'est seulement en 1049 qu'il est fait état du village lorsque Hugues Premier, archevêque de Besançon qui en détient la mouvance, en fait don au chapitre de la Madeleine. Les reconnaissances de fiefs y sont ensuite nombreuses.
Territoire essentiellement agricole, les revenus en sont fréquemment amenuisés par les dévastations causées par les crues du Doubs, alors que les coteaux sont exploités en vignes et pâturages, tandis que le mont est couvert de forêt...
(source wikipedia)
Une très belle maison du XVIIème , qui domine le village et que l’on appelle le «château», ne se visite pas. Elle fut construite en 1666 par un notaire nommé Vichot. Son toit à quatre pans, très en pente abrite une charpente «véritable chef-d’œuvre» de couverture. Au rez-de chaussée, se trouvent deux belles pièces voûtées qui servaient autrefois de cuisine...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
Village ancien, déjà signalé dès l'âge du bronze moyen. Sa toponymie actuelle veut dire : Cad=bois et Mène=montagne, pouvant se résumer en Mont Boisé. Sa légende: Léandre, Sire de Cademène, perdit la vie dans un lac que formait la Loue et sur les flots duquel il se hasardait chaque soir, pour aller quérir de la dame de ses pensées une parole de merci...
(image et extrait du site routedescommunes.com)
La fondation de ce village vient de la réunion de deux hameaux aujourd'hui disparus. Molumbe, situé près du Doubs (aujourd'hui Reculot) et Montantin qui se situait entre Fourg et Byans. Un pré nommé Montanty (visible sur les cartes IGN) semble être le dernier vestige, de ce hameau disparu.
Les premières traces de Byans remontent au XIIIe siècle, appelé alors "Byans-lez-Quingey"...
(source wikipedia)
En 1972, une fusion a réuni les 3 villages de Burgille, Chazoy et Cordiron.
Burgille : On notera la présence d'un élégant château. Du 16e et 17e subsiste la base d’une tour d’escalier qui rejoint une salle voûtée, juxtaposé à ce bâtiment ancien. Le château actuel a été construit au 18e, la date de 1767 est gravée sur le garde-corps en fer forgé du balcon...
'extrait du site de la Route des Communes)
Magnifique ancien petit village vigneron, à Buffard, toutes les maisons sont belles ! Blotties dans un coteau boisé, autour de leur église au chœur gothique flamboyant du XVIème, ces maisons ont souvent des porches voûtés...
Emile-Armand Mathey-Doret né de parents suisses en 1853. Il est aquafortiste et graveur au burin, élève de L Mehmannet de Waltner, il figura au Salon des Artistes Français...
(image et extrait du site de la Route des Communes)
Blotti au pied de la quatrième chaîne du Lomont et protégé par la Vierge, les deux entrées du village sont ornées par des statues. Les 'bretignies' ont eu longtemps la réputation d'avoir élevé la mendicité au rang de profession. Ils étaient désignés par le nom de 'tuneux' ou 'tuneurs', terme d'argot signifiant mendiants...
(image et extrait du site de la Route des Communes)
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