MANSUS VINCINI, c’est-à-dire la manse d’un certain vicinus ou voisin (la manse étant une unité d’exploitation agricole du haut moyen âge, comprenant la maison d’habitation et son jardin, ainsi que les champs répartis dans les diverses soles du terroir).
Pays très ancien - Vieilles granges, vieux murs en "bauge" qui pourraient dater du XVIe siècle et construits par des maçons Bretons qui avaient l’habitude d’incorporer des os dans leurs constructions...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Méréglise a été renommée Reusse en l'an 2. Elle inspira à Marcel Proust le village de Méséglise dans À la recherche du temps perdu.
Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution, dont Méréglise...
(source wikipedia)
Maisons est cité au début du IXe siècle (déjà avec l'orthographe Maisons), comme relevant du "Comté d'Etampes" et appartenant au douaire d'une certaine Gisle (Gisla), veuve d'un certain Roin (Rothing). Elle en fit don à l'abbaye de Gembloux que venait de fonder son petit-fils saint Guibert, donation entérinée en 946 par une charte d'Otton Ier du Saint-Empire...
(source wikipedia)
A l’époque Gallo-romaine, un grand nombre de villages de Beauce portent un nom qui se termine par Ville ou Villiers. C’est au Vème siècle, à la suite des guerriers de Clovis, que des Germains arrivent d’Allemagne et s’approprient les terres de chaque village. Alors se constituent des domaines, qui continuent de s’appeler Villa ou Villieri, mais qui prennent le nom des nouveaux occupants...
(image et extrait du site officiel de la commune)
On trouve pour la première fois le nom de Mestenon dans un document du XIème siècle. Une étude étymologique de ce nom permet de déterminer l’origine féodale de la terre de Maintenon. Celui-ci est en effet issu de la contraction et de la phonétique d’une expression latine, messum tenemum, appartenant au langage féodal. Le terme messum désignait la manse, c’est-à-dire la demeure rurale avec une quantité de terrains, l’autre terme, tenemum, s’appliquait à une propriété féodale...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Au coeur du village se dresse l'église Saint-Didier de Magny qui cache timidement son clocher derrière son imposante voûte. Elle arbore fièrement, mais curieusement, un drapeau tricolore... Pourtant, à chaque remaniement de la toiture, ce drapeau est "religieusement" restauré et remis en place !...
Une particularité unique dans la région...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Au Moyen Âge, la ville portait le nom de Lucens. Un peu plus tard, elle devint Lucentum et ce n'est qu'au XVIIIe siècle que le nom de Luisant lui fut définitivement donné.
Vers 1800, Luisant devient réellement une commune avec le rattachement des hameaux de la Cavée et de Vauparfonds. En 1830, on dénombrait 700 habitants à Luisant...
(source wikipedia)
Le nom de Lucé est dérivé du nom latin Lucius.
1791 : la commune de Lucé est réunie à celle de Mainvilliers par le décret de l'Assemblée nationale du 27 avril 1791.
Ainsi, les plans du cadastre napoléonien de Mainvilliers, établis en 1809, comporte une section Q « dite du Hameau de Lucé », mentionnant notamment l'église de cette paroisse et les hameaux du Petit et du Grand Lucé...
(source wikipedia)
Les Chenard, originaires de Beauce, dont l'origine remonterait à Goislin Chenard, sont qualifiés seigneur de Louville, en 1101. En 1481, Louis XI concède à Jean d'Allonville, son chambellan, la haute, moyenne et basse justice à la terre de Louville. Celle-ci reste dans la famille jusqu'au XVIIIe siècle. Charles Auguste d'Allonville fait reconstruire le château sur le modèle de l'hôtel d'Humières à Paris, il y meurt en 1731...
(source wikiepdia)
La première page d’histoire connue de Lèves date de 911, lors la bataille de Rollon pendant laquelle le chef Viking a été repoussé par les forces autochtones. 6000 hommes seraient tombés durant cette bataille.
Durant le Moyen-âge, Lèves n’était qu’une petite bourgade, avec plusieurs petits hameaux, dépendant de la paroisse Saint-Maurice de Chartres...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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