Egalement appelée, Notre-Dame-des-Sept-Douleurs et de St Eloy datant du XVIIème siècle.
Elle a été rebâtie de 1877 à 1879 selon les plans de l'architecte brestois Ernest Le Guerrannic et fut consacrée le 26 août 1879.
Elle comprend une nef de quatre travées avec bas-côtés, plus celle du clocher encastré, un transept et un choeur d'une travée droite avec abside à cinq pans...
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La légende raconte que, vers 1350 les Commanéens auraient commencé à bâtir leur église, sur le plateau de Quillidiec. Mais, un sortilège détruisait la nuit le travail effectué durant le jour. Y voyant un signe du ciel, les paroissiens décidèrent d'atteler deux bœufs à un chariot dans lequel, on chargea les pierres de fondation. Liberté fut laissée aux bœufs quant à la direction à prendre...
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Le menhir (en breton "pierre dressée") de Kergallec, qui se trouve au milieu d'un champ, a une hauteur de 3,60 mètres et une longueur de 1,40 mètre. Une légende veut que tous les 99 ans, les korrigans, lors d'une nuit de pleine lune, sortent de dessous le menhir et laissent leur trésor à portée de main...
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Le nom de Carantec provient de saint Carantec (ou Carantocus) qui dirigeait un monastère dans le Pays de Galles et dont saint Ténénan aurait été un disciple. C'est ce dernier qui, par dévotion pour son ancien maître, aurait construit en ce lieu une église qu'il lui aurait dédiée.
La vie de "saint Carantec" a été retracée dans un conte qui s'appuie sur les sources hagiographiques disponibles par Anne Dumas...
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La première implantation humaine sur le territoire est attestée par les tumuli de la croix de Saint-Ener qui remontent à l’âge de bronze. Les époques gauloise et gallo-romaine n’ont pas laissé de vestiges apparents. La chapelle de Saint-Ener est fondée vers l’an mille. Au Moyen Age, les terres sont l’apanage de la maison de Bretagne...
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Bodilis faisait partie de l'ancien évêché de Léon. C'était une trêve de Plougar et elle fut érigée en paroisse au concordat (accord signé en 1801 entre Napoléon et le pape Pie VII, régularisant les rapports entre l'Eglise et l'Etat, et dont les décrets d'application datant d'avril 1802, créent le département du Finistère)...
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Après la révolution de 1789 instaurant notamment la séparation de l’Église et de l’État, Trégourez devenait une commune faisant partie du canton de Coray Leuhan Trégourez, intégrée au district de Carhaix. Le Finistère était à cette époque composé de 80 cantons.
Depuis, de nombreuses évolutions ont eu lieu. Aujourd’hui, Trégourez fait partie du canton de Briec, de l’arrondissement de Châteaulin où se situe la sous-préfecture, notre lieu privilégié de contact avec l’administration de l’Etat...
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En 1902, le maire de Trégarvan écrit au préfet : « La population républicaine de la petite commune de Trégarvan est unanime à protester contre la mesure prise par M. le président du Conseil au sujet de l'interdiction de la langue bretonne dans les églises (...). Cette mesure ne peut être appliquée à la commune de Trégarvan, et dans tous les cas, la population est froissée par cette mesure »...
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TELGRUC au long passé : de la préhistoire aux destructions de 1944 en passant par les cuves de salaisons gallo-romaine
Telgruc, ancien -Talo Krouko- près de l'éminence, fut érigé en paroisse apparement au Xe siècle et existait déjà comme bourgade avant l'occupation romaine. Vers le milieu du XIXe siècle eon y comptait que sept ménages : un notaire, un bureau de tabac, la cure, deux auberges, un forgeron et un cultivateur. Telgruc commença en entrer dans l'histoire (plus exactement dans la préhistoire) il y a plusieurs millénaires...
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L’étymologie de Spézet trouverait son origine dans le nom « Spethtud » qui en vieux breton signifie « l’endroit où se trouvent les groseilliers ». Ce nom « Spethtud » est référencé pour la première fois dans un document du XIIIème siècle (en 1216).
L’histoire de Spézet est très riche mais il demeure encore beaucoup de parts d’ombre, notamment au niveau de sa proto histoire. Quelques vestiges témoignent d’une occupation très ancienne de Spézet : plusieurs dolmens, un tumulus de l’âge de bronze, une voie gallo-romaine ainsi que des traces de villas gallo-romaines, des camps fortifiés ou des oppidums gaulois...
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