Savères possède un superbe patrimoine architectural :
L’église Saint-Barthélemy ; il semblerait qu’elle date du XIIe siècle mais elle fut rénovée en 1856, elle est ornée d’un très beau clocher-mur de brique et galet.
Le château dont la construction remonte au XIVe siècle. Cependant il fut remanié plusieurs fois avec notamment la construction d’une tour au début du XXe siècle. L’aile nord fut détruite par un incendie en 1924...
(image et extraite du site de la CC de Savès)
L'abbaye de Conques en Rouergue acquiert son importance et sa prospérité grâce à un moine de ce modeste prieuré qui, en 937, s'empare à Agen d'une grande partie des restes de Sainte-Foy , martyre chrétienne âgée de 12 ans à peine, morte en 303, parce qu'elle refusa de se sacrifier aux dieux du paganisme. Les reliques de Sainte Foy d'Agen étaient très vénérées en Aquitaine...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Au début de notre ère, les Romains réutilisèrent une très ancienne voie placée sur l’axe Toulouse-Dax pour relier Toulouse (Tolosa) à Saint Bertrand de Comminges (Lugdunum Convenarum). C’est l’actuelle Voie Romaine. Les voyageurs se désaltéraient à “la Hount”, source jamais tarie qui servit à alimenter le lavoir municipal jusqu’à une époque récente...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le château de Saint-Élix-le-Château a été édifié entre 1540 et 1548 à la demande de Pierre Potier de la Terrasse, secrétaire et notaire de François Ier, Capitoul, maître des requêtes et président du Parlement de Toulouse. Il reflète la réussite de son propriétaire. C'est Laurent Clary architecte toulousain à qui l'on doit entre autres le Donjon du Capitole, actuel office de tourisme de Toulouse, qui en traça les plans. (voir les baux à besognes.)...
(source wikipedia)
Il y eu probablement un camp romain (castrum), au lieu-dit le Castéras (promontoire au bout de la route de Saint-Lys, avant le virage en descente). Des fouilles ont permis de découvrir des squelettes, laissant penser qu'une bataille a eu lieu. Une pièce à l'effigie de l'empereur romain Néron a aussi été retrouvée sur les lieux. La disposition du site est identique à celle que l'on retrouve dans des camps romains avérés (Muret et Ox)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Un cartulaire de l'abbaye de Gimont décrit la région de Saiguède avant la fondation.
Elle appartenait alors au terroir Saint Julien d'Eaubelle qui s’étendait alors du Touch et de la Saudrune jusqu'au moulin de Seyguède et à Sainte-Foy.
P.Delaux et F.liberos décrivent ce terroir en ces termes: "des terres incultes couvertes de ronces et de bruyères...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le nom vient de « savon », saponis en latin, plusieurs hypothèses, parmi les plus vraisemblables : origine latine de Saponis Aria : lieu planté d’herbe à savon ou plus directement du nom même de cette herbe,
la « saponaire » et en occitan : «sabonnièra ».
Le village est très ancien, on aurait découvert, au-dessus d’une sépulture datant de 1000 ans avant JC, un « tumuli » (saillie ou éminence formé par l’accumulation de terre ou de pierre), qui étaient dans ce cas, des haches de pierres...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Réhabilité en 1989, le centre socioculturel François Mitterrand reste "le château" pour de nombreux Roquettois. A l’occasion des travaux de réhabilitation, quelques recherches ont été faites sur les origines de ce bâtiment, ce qui nous a permis de remonter un peu le cours du temps et d’avoir un aperçu du passé lointain de notre commune...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Selon la « légende », l’origine du nom de Roques viendrait d’un « roc » (rocher) qui aurait détourné le gros du courant du fleuve lors de l’inondation de 1875.
En réalité, le village existe depuis avant le 14 siècle. On retrouve sa trace dans l’inventaire datant de 1336 de la Chatellenie de Muret, où Roques figure avec les villages de Muret, St Amans, Labastide-Clermont, la Métairie de Roquettes, Labastidette et Rieumes, auxquels viendront s’ajouter Saubens et Frouzins au milieu du 15 siècle...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Cette visite retrace l’évolution de la cité médiévale, ses coutumes et la tradition du tir au Papogay, l’histoire de son Evêché et de la judicature royale.
Joyau de la cathédrale, le trésor épiscopal renferme les pièces majeures de l’Evêché : bustes reliquaires, objets de culte, ornements sacerdotaux et chasubles en soie.
L’ensemble est présenté dans des meubles anciens datés du XIVème au XVIIIème siècle...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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