L'histoire de Sainte-Marie est étroitement liée à celle des moines cisterciens de Gimont, seigneurs de ces terres jusqu'à la Grange du Hour prés de Saint-Martin (1158). A cette époque, le village s'appelait Manville. La dépopulation récente des campagnes imposa progressivement le regroupement de paroisses et de communes.
Sainte-Marie compte aujourd'hui 5 églises...
(image et extrait du site tourisme-gers.com)
La découverte persistante de centaines de fragments de briques romaines authentifiées et de silos à grains atteste de la présence romaine sur le territoire communal. Plus récemment, le château fut le témoin des turbulences locales.
En effet, à partir du XIIème, le territoire est devenu possession anglaise et une garnison est attestée en 1440. Le seigneur de Luppé, contestait cette présence mais avait une fille de 16 ans, prénommée Christine...
(image et extrait du site Coeur de Gascogne)
Sainte-Anne est un lieu habité et christianisé à une haute Antiquité. Au tumulus appelé le Serrot on découvrit des sarcophages en pierre, des armes et des fragments de mosaïques. C'est en ce lieu que l'on situe le siège de la seigneurie de Terride qui disparut brutalement et totalement au XVe siècle pour une cause non élucidée à ce jour.
(source wikipedia)
Conséquence de l’ordonnance royale, on trouve sur ce terroir deux bourgs et deux églises (une dédiée à Saint-Loup, évêque de Troyes, l’autre à Saint-Pierre). Des châteaux ont aussi composé le paysage : au sud-est de l’église de Saint-Loube et à l’emplacement actuel du cimetière d’Amades. Ne restent plus que ceux de Poussignan (restauré) et de Salles...
(image et extrait du site de la CC de Savès)
Saint-Lizier-du-Planté s'appelait encore Planté au début du XVIIIe siècle. Cependant, la commune s'est placée sous le patronage de Lizier de Couserans, canonisé, qui était à la tête du petit évêché de Couserans dans les Pyrénées. (Il est fêté le 27 août.)
(source wikipedia)
La citadelle de St Jean de Nénos était une des places-fortes du Comte d'Astarac.
Située à l’extrémité d'un replat de 500m environ, avec de fortes pentes au Nord et au Sud et une vue très dégagée, sur 1 km à l’est et à l’ouest. Elle occupant l’emplacement du village actuel, du mur du cimetière au-delà de l’Ecole...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La paroisse de Saint-Georges est déjà mentionnée dans un acte du XIIe siècle signé entre les abbayes de Gimont et de Grand Selve...
Plusieurs châteaux (tous propriétés privées) se trouvent sur le territoire de Saint -Georges :
Le Bartas (inscrit aux Monuments Historiques), Laucate, La Gahe, En Harrie, Saint-Pierre, Les Granges...
(image et extraits du site officiel de la commune)
Si la présence d'une pile gallo-romaine, dite de la TurraqueNote 2, sur son territoire témoigne d'une occupation antérieure, Saint-Arailles est un castelnau (village fortifié) fondé au XIIIe siècle. Il possède encore une grande partie des remparts et deux portes, celle de l'ouest qu'on ne peut emprunter qu'à pied ou à cheval, et celle de l'est, couronnée jusqu'au début du XXe siècle par un pigeonnier.
Le village est situé sur un éperon rocheux et a probablement été précédé, à l'époque féodale, par une motte castrale. La toponymie de la commune comprend d'ailleurs un lieu-dit La Motte, en dehors des remparts, juste au-dessus du village actuel...
(source wikipedia)
Patrimoine historique et architectural :
L'ancien oppidum semble attester d'une occupation depuis le néolithique. Plus récemment, le village fut le berceau de l'illustre famille des Roquelaure, descendant des comtes d'Armagnac et dont la figure emblématique fut Antoine de Roquelaure, qui marqua de son empreinte l'histoire des châteaux de roquelaure, du Rieutort et de Lavardens à proximité...
(image et extrait du site Coeur de Gascogne)
Patrimoine historique et architectural :
L'église de Roquefort est de construction récente (fin XVII ème siècle), modifiée à plusieurs reprises au cours du XIX ème siècle.
Une autre église aurait existée au midi du château, à côté du cimetière de l'époque, dont seul reste comme vestige un mur de soutènement côté route départementale, et, proche de l'ancienne porte de ce cimetière, la fontaine miraculeuse de Sainte Radegonde...
(image et extrait du site Coeur de Gascogne)
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