Eglise Saint-Laurian
La porte d’entrée sculptée, qui a résisté à l’effondrement du clocher en 1879, date de la fin du XVe siècle. La partie la plus ancienne de l’édifice est constituée par l’abside à trois pans construite sous François Ier à la même époque que le vitrail situé à droite du chœur rappelant la vie de Saint- Laurian...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
Pages à consulter :
Sainte-Lizaigne vu par Georges Cherrier
Les Bigophones
Le moulin a papier
L’usine de Reblay
La gare de Sainte-Lizaigne
L’église romane
La Théols
L’église Notre Dame de Lourdes
L’USSL Union Sportive de Sainte-Lizaigne
Le Marquisat De Castelnau
Approche Généalogique
Sainte-Lizaigne en chiffres
Instituteurs et écoliers au fil du temps
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La commune tire sa réputation de son homonymie avec la Saint-Valentin, « fête des amoureux », chaque 14 février. Depuis 1967, la municipalité a obtenu que le courrier posté au bureau de poste local reçoive une oblitération spéciale comme deux cœurs enlacés dessinés par Jean-Louis Boncoeur, de 1967 à 1979 qui est remplacée par une flamme postale illustrée avec « les amoureux » de Raymond Peynet depuis 1980. En 1985, la poste crée un timbre dessiné par Raymond Peynet...
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Citée dès 1247 sous le nom de VILLA SANCTI CHRISTOPHORI IN BARDELLA, la paroisse de Saint Christophe en Bazelle dépendait de l'Archevêché de Bourges.
L'église dédiée à Saint-Christophe date du XIIème siècle. Elle comprend une nef unique avec voûte en berceau, un transept et croisées voutées d'ogives, des colonnes à chapiteaux du XIIIème siècle et un chevet plat. Elle abrite des stalles en bois avec panneau sculpté du XVème siècle provenant de l'abbaye cistercienne de Barzelle (sur la commune voisine de Poulaines)...
(image et extrait du site de la CC Chabris Pays de Bazelle... lire la suite)
En 637, le roi Dagobert (629 - 639) aurait donné ses domaines reuillois à l'abbaye de Saint-Denis-en-France. Il existe un document en ce sens, qui se réfèrerait bien à Reuilly dans l'Indre, et non à un des autres lieux dans la moitié nord de la France qui portent le nom de Reuilly, car ce manuscrit associe Reuilly (Ruilliacum) à d'autres lieux du Berry. L'authenticité de ce document a été mise en doute pour des raisons de style et de date10, mais Reuilly aurait bien été rattaché à l'abbaye de Saint-Denis à la fin du xe siècle1...
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L'association des "Amis de Neuvy-Pailloux et de ses Environs" a été créée à la suite des fouilles archéologiques entreprises dans l'église romane de Neuvy-Pailloux en 1986-87, en prélude à la restauration de cet édifice.
A travers ses bulletins trimestriels, entièrement conçus, rédigés et édités par ses membres, l'association a pour but de valoriser le patrimoine de Neuvy-Pailloux et des villages environnants...
(image et extrait du site... lire la suite)
En 1917, est édifiée par l'armée britanniques, une usine de montage de chars de combats à Neuvy-Pailloux. C'est en 1924 que l'armée française transforme cette usine en parc d’artillerie lourde sur voie ferrée. En 1947, est créé un entrepôt de réserve générale du matériel automobile (ERGM/Au) chargé de l'entretien des camions GMC de l'armée française...
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Un document généalogique sur la famille de Lizeray détenu en mairie, indique qu'un seigneur s’appelant Raoul de Lizeray issu de la branche cadette des princes de Déols et Châteauroux aurait fondé l’église Saint-Martin en 1147, église dépendante de l’abbaye d’Issoudun. Les armes de Lizeray comportent deux liserons et une épée suspendue au-dessus du croissant musulman, ce qui semble indiquer que les seigneurs de Lizeray ont participé aux croisades...
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L’EGLISE ST MARTIN : Elle date du XIIème siècle et est dédiée à St Martin apôtre des Gaules. Elle était au centre d’un prieuré qui dépendait de l’abbaye d’Issoudun.
Le porc-épic qui figurait au blason des Comtes de Blois apparaît sur l’un des vitraux et ce même emblème est repris sur le tympan en haut du portail...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
La fréquentation du territoire de la commune à l’époque préhistorique est attestée par les découvertes d’éclats de silex du Néolithique en différents lieux de la commune.
À la fin du ve siècle, saint Phalier se retire comme ermite à proximité de Chabris. Il y meurt vers 525...
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