Autrefois appelé « Cluze-et-Pâquier », Saint Martin de la Cluze compte 607 habitants et s'étend sur 1 652 hectares à 25km au Sud de Grenoble dans la région du Trièves, en Isère. Traversée par le 45ème parallèle de latitude Nord, dotée d'un climat tempéré, la commune est composée de 22 hameaux étagés des rives du lac de Monteynard-Avignonet (les Sylvains, les Vaux) jusqu'à la vallée de la Gresse (Essargarin)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Situé dans un cadre nature, arboré et montagnard, Uriage et ses alentours offrent un accès facile au calme et à l'évasion le temps d'une promenade ou d'une visite à la ferme. Vous pourrez également découvrir les traces laissées par l'histoire au travers de différents édifices...
(image et extrait du site de l'OT d'Uriage)
Le vocable de St-Martin était déjà attaché à une petite église paroissiale du XI ème siècle anciennement située à l'emplacement du château Fourmy, sur la rue du souvenir. C'est en 1890, à la demande de l'abbé Julien, que le conseil municipal de Saint-Martin-d'Hères envisage la construction d'une nouvelle église et d'un presbytère...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La première mention du village (819) est intéressante : « Villam Balnelonis cum ipso stagno ». Elle nous indique d’abord la présence de l’étang mentionné plus haut, et ensuite la proximité entre l’étang et le village. Grâce en particulier à des fouilles pratiquées en 1873, on peut affirmer sans grand risque d’erreur que le village primitif ne se trouvait pas au même emplacement que le village actuel...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le canal de Beaumont relie la région du Valbonnais à celle du Beaumont. La région du Beaumont située au sud de la Matheysine et entre le Trièves et le Valbonnais est une zone naturelle très mal irriguée et exposée plein sud. Le Valbonnais est quand à lui plus favorisé avec de l’eau en abondance hiver comme été grâce à sa position géographique : dans la vallée du Valjouffrey où coule la Bonne qui recueille toute l’eau des glaciers alpins avoisinnants.
(image et extrait du site officiel)
Le plus ancien sceau que l'on connaisse est celui dont les archives départementales possèdent un exemplaire sur un procès verbal datant du 13 mars 1791. De forme elliptique, on pouvait y voir de chaque côté deux branches de lauriers entourant le pont de Fourvoirie surmonté d'un sapin; au-dessus trois fleurs de lys que surmonte une pomme de pin...
(image et extrait du site officiel de la commune
Saint-Lattier vient de la déformation de Saint-Eleuthère qui signifie "Liberté" en grec.
Saint-Eleuthère était le 13e évêque de Rome qui gouverna l’Église romaine de 175 à 189 de notre ère.
Les premiers seigneurs de Saint-Lattier seraient d’origine Burgonde (Bourgogne).
Au retour des croisades (XIIe siècle), l’autorité des seigneurs s’affirme en terre dauphinoise...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Une abbaye y fut instaurée par le dauphin Humbert II (qui transféra le Dauphiné à la France en 1349) au profit de sa mère, Béatrix de Hongrie, dont la sœur était reine de France. Elle y fut enterrée, mais le couvent étant transféré à Romans, sa dépouille le fut aussi.
Le site de l'abbaye, devenue Château Notre Dame à l'époque néo-gothique, est aujourd'hui un gîte touristique. Au-dessus, le site Château-vieux dont on dit qu'il fut maintes fois transformé, signale la présence évidente d'un ancien castrum sinon d'un oppidum (encore signalé sur la carte de Jean Boin de 1602)...
(source wikipedia)
L’histoire de notre village commence en 1830.
A l’époque les principales ressources de la commune proviennent de l’extraction de la tourbe dans les marais
de l’Herretang pour la fabrication de tuiles et de briques, du tissage du chanvre et de la soie, de la fabrication de gants, de la coupe du bois et de l’agriculture...
(image et extrait du site officiel)
L’histoire commence au Moyen Âge : si on signale une meule romaine à Saint-Jean, les premières mentions écrites du village concernent l’église. L’église "Sanctis Johammis surper Domena" et sa paroisse sont citées dès 1070. A partir de 1260, on la retrouve sous le nom de St-Jean-le-Vieux (Sanctis Johammis Veteris)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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