Les origines d’AOSTE remontent à quelques années avant Jésus-Christ, lorsqu'elle fut fondée par l’empereur romain Auguste. Carrefour de voies, elle connut à cette époque un fort développement qui s'estompa dans les siècles suivants.
A la fin du XVIIe siècle, il faut placer l’agglomération de Villette d’Anthon à son lieu primitif, c’est-à-dire vers la vieille Eglise, avec son cimetière et quelques maisons groupées autour.
L’histoire religieuse se confond en partie avec celle du prieuré de Chavanoz
Il faut faire remonter l'origine du village au latin « Valle Navis ». Ce nom apparaît pour la première fois en 1050 dans un acte notarié et fait simplement référence à la topographie de la vallée en forme de carène de navire.
Valjouffrey vient de "Vallis Josfredi" au XIe siècle. Josfredi compagnon ou vassal de Gaudemar dernier roi Burgonde, se serait réfugié dans la vallée après la défaite d'Autun en 534. Gaudemar se réfugiant dans la vallée voisine plus au sud qui porte son nom.
Au XIVeme siècle, le territoire actuel de la commune de Trept qui dépend du mandement de Crémieu, est alors divisé en trois hameaux indépendants les uns des autres : en 1339, TREPT compte 50 feux (environ 225 personnes), COZENSAS où l'on recense 63 feux ( environ 283 personnes) et SERRIERES ( pour lequel on ne connait malheureusement pas les chiffres)
De l’an IV à l’an XIII de la république, la commune de SONNAY fait partie du canton de Chanas. Ensuite et encore aujourd’hui, elle est intégrée au canton de ROUSSILLON.
L’étymologie du nom de notre village a plusieurs interprétations
Des médailles gallo-romaines, des tuiles romaines, des pièces de monnaie du moyen âge, autant d'objets anciens retrouvés sur les terres de Pariset reconstituent sa passionnante et mystérieuse histoire remontant à la plus profonde antiquité.
Rattaché au Compté de « Savoye », la paroisse passe au Dauphiné avec le traité de Paris (05 Janvier 1355) qui mis fin aux guerres et partagea les territoires entre le Dauphin et le Compte de Savoye.
En 1458, après les mortalités importantes du XIV et XVe siècles, la Paroisse de Serpaize compte 12 chefs de famille.
L'absence de vestiges archéologiques ne permet pas de déterminer l'époque d'occupation du sol par l'homme, mais le peuplement, ancien, semble remonter, à tout le moins, à la période gallo-romaine.
Saint-Jean est décrit par les habitants vivant ici depuis toujours ou depuis longtemps, comme un ancien village agricole et rural, avec ses nombreuses exploitations familiales et ses paysans cultivateurs et éleveurs.
Les fours à pain, hier et aujourd'hui
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