La paroisse de La Marne est mentionnée dès 1062, dans un acte de l'abbaye de Redon sous le nom de « Sanctoe Marioe de Marnis ». On lit qu'à cette date l'évêque de Nantes donne aux moines de l'abbaye de Redon « deux églises au pays de Retz, au-delà de la Loire, Sainte-Marie de Frossay et Sainte-Marie de La Marne »...
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Le site de la Limouzinière est, bien sûr, peuplé avant même la venue des premiers évangélisateurs, à l’aube du Moyen-âge. L’avènement de la féodalité voit la mainmise des seigneurs de la Bénate sur notre territoire qu’ils concèdent en fief aux seigneurs du Chaffault, véritables fondateurs de la paroisse, autour de l’église qu’ils fondent sous l’autorité des moines Philibertins...
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Au XVIe siècle, la commune s'appelait Montauban de Bretagne. Au cours des siècles suivants, elle prit successivement le nom de Saint-Jean de la Haye, puis Notre-Dame de la Haye, avant de trouver en 1672 sa dénomination actuelle : La Haye-Fouassière.
Ce nom est composé du mot "Haye" qui désigne en vieux français "les bois" et du mot "Fouassière" qui vient de "fouace" (ou "fouasse"), gâteau typique à la pâte serrée, en forme d'étoile à six cornes qui était à l'époque la spécialité locale...
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Il est impossible de définir avec précision et certitude l’étymologie du nom de la CHEVROLIERE, mais nous pensons que celui-ci provient de la déformation du nom de la CHAROLLIERE et du mot « Capriolaria » nom d’un village possédant des élevages de chèvres.
D’après une carte de la Bretagne, de la fin du 17ème siècle, (conservée au musée d’art Breton du château de Nantes)...
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La Chapelle-sur-Erdre a gardé les traces de son passé. Entre "Folies Nantaises" (Manoir de la Desnerie, Château de la Gascherie) le long de l'Erdre, belle bâtisses et empreintes romaines, la ville préserve ses belles pierres, et permet aux amoureux du patrimoine d'en profiter. Le petit patrimoine (puits, calvaires, fours à pain) est aussi très présent, témoignage de l'histoire rurale de la commune...
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À la Révolution, cette paroisse fut touchée par les guerres de Vendée.
En 1793, les Républicains campent dans la commune. En 1794, les colonnes infernales détruisent presque toutes les maisons du bourg.
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En 1885, l'historien Léon Maître, l'explique ainsi dans les "Bulletins d'archéologie de la Loire Inférieure" :
Le Cartulaire de Redon désigne cette paroisse sous le nom de Grandis Campus qui devrait se traduire par Grand camp et non par Grandchamp, pour deux raisons :
l'aspect du territoire le contredit
on rencontre des vestiges importants de talus élevés et des tranchées profondes...
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Pendant l'Antiquité, Gorges se situe dans le pays des Pictons dans l'Aquitaine seconde.
Gorges faisait partie des Marches de Bretagne et de la seigneurie de Clisson. Son origine remonte à l’Âge de la pierre et l’implantation gauloise est prouvée. De même, on trouve des vestiges de la présence romaine.
Au Moyen Âge, un premier château féodal en bois et en pierre avait été construit à l’emplacement du manoir de La Motte...
(source wikipedia)
Les Chapelles de Gétigné
La Chapelle De Toutes Joies
Une première légende raconte qu'en 1336, Olivier IV de Clisson apprend à cet endroit, retour de batailles, la naissance de son fils, Olivier V, le futur Connétable. Il se serait alors écrié : "Joie dans le château, joie dans la ville, joie au dehors, toutes joies réunies ! "
A l'endroit même, il aurait fait édifier une chapelle dédiée à Notre Dame de Toutes Joies...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Les dates clés :
Ve siècle : première évocation de Geneston, l'évêque Brice fait construire une maladrerie et une leproserie.
XIIe siècle : un monastère puis une abbaye sont successivement fondés par des religieux envoyés par Bernard, évêque de Nantes, sous l'invocation de Sainte Marie-Madeleine. L'abbaye sera détruite lors des Guerres de Vendée, la porte se trouvant derrière l'église est la seule trace de l'édifice...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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