MISSILLAC vient, semble-t-il, du latin "Missillius" et du suffixe latin "acum" (propriété). Il s'agirait, à l'origine, d'une simple petite exploitation agricole détenue par Missilius ou Mirsillius, Officier des légions romaines ou noble gallo-romain qui dut avoir déjà son domicile à la Brestesche, puisque cette désignation vient du latin Breteschia signifiant "ouvrage de petite défense"...
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La possibilité d’exploiter le sel, denrée très recherchée, produit dans la saline du Rostu, explique l’occupation du site au moins dès l’époque romaine.
L’évangélisation qui suit donne à Mesquer son premier lieu de culte : le prieuré de Merquel est fondé par les moines de Saint-Gildas-de-Rhuys au VIIe siècle La chapelle du prieuré de Merquel fut dédiée à notre Dame et à Saint-Gildas...
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Les restes d’une voie romaine (encore visibles en direction de Canais) laissent présager que Malville a été habité très tôt. A l’instar de Cordemais, il a dû y avoir un camp romain. La fondation de la Paroisse est très ancienne puisque le livre, publié en 1892 par M. de Kersauzon, sur l’état séculaire du Clergé du Diocèse de Nantes, révèle le nom de Guillaume Rousseau, recteur à Malville entre 1224 et 1226...
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La commune des Moutiers bénéficie d'un patrimoine exceptionnel, protégé au titre des monuments historiques : deux édifices, la chapelle de Prigny et la lanterne des morts ainsi que de œuvres classées d'envergure, notamment le grand retable de l'église Saint-Pierre et les retables de la chapelle de Prigny...
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L’église de Lavau est placée sous le vocable à Saint Martin de Vertou, abbé qui évangélisa à la fin du 6e siècle les populations du Sud de la Loire. Son nom latin Ecclesia Sancti Martini de Vallea probablement établi l’étymologie du nom de la commune : valle _laval ou leval _lavau. De sa construction, on sait peu de choses sinon qu’elle fut édifiée à l’initiative de l’abbaye de Blanche-Couronne au 13e siècle. On trouve trace de son existence dans un écrit de 1287...
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A partir du 19ème siècle, La Turballe connaît un constant développement. En 1827, la réalisation d’un chemin de grande communication de La Turballe vers Guérande fait évoluer le bourg et permet les travaux d’un véritable port de 1855 à 1875.
En 1827, François Deffes fonde à Pen-Bron la première usine de conserves de sardines sur le lieu même de la pêche.
A cette époque, la pêche se pratique à bord de chaloupes sardinières. De 35 chaloupes en 1823, le port verra jusqu’à 120 chaloupes en 1877. Simultanément, la population s’accroît...
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Vers 1665, les cartes marines établies à l'initiative de Colbert lui donnent le nom de Pointe de Chevesché.
Les habitants de la paroisse de Notre Dame de la Plaine subirent les invasions normandes au VIème siècle, l'ancien prieuré du lieu-dit "La Croix de St Etienne" fut détruit à cette époque...
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Au Xe siècle, la Bretagne était envahie par un ennemi : les Normands. Leur chef, du nom de Bernard, prit possession d'une roche granitique située à l'embouchure de la Vilaine. C'est ainsi que naquit La Roche-Bernard.
Un notable breton revint d'Angleterre pour chasser les Normands. Le seigneur de La Roche-Bernard reconnut la suzeraineté de celui-ci et obtint, entre autres, le territoire de la Grande Brière...
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Cet ancien village des Moutiers, devenu une commune en 1863, était un village de pêcheurs et de charpentiers de marine. Au début du siècle, la commune devient très vite l’une des stations balnéaires les plus fréquentées de la côte. La Bernerie doit alors sa renommée à sa source ferrugineuse puis les buveurs d’eau se transformèrent en baigneurs...
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À l'origine, la "Bôle" était un lieu-dit sur le littoral, au droit d'Escoublac. Ce nom désigne, en breton guérandais, un rivage marécageux, lequel est recouvert lors des grandes marées.
En 1879, le premier train de chemin-de-fer, Saint-Nazaire-Le Croisic, s’arrête là, au milieu des dunes plantées de pins...
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