Des vestiges préhistoriques, comprenant notamment des haches et des poignards, attestent l’occupation du territoire à l’âge de bronze.
Une tribu gauloise était peut-être implantée à la Guêperie. Les formes anciennes du nom, Moziacus et Parrochia Mozeii, témoignent de l’existence du site à l’époque gallo-romaine...
(image et extrait du site officiel de la commune)
De villa Moredena au 9ème siècle à Morannes toute une histoire s’est déroulée. De nombreux indices permettent de penser que les communautés humaines qui vivaient à Morannes et aux alentours remontent à la très haute antiquité. Le dolmen de Miré remonte à la préhistoire, le pont de l’époque romaine entre Chemiré et Brissarthe, la découverte en 1849 aux Roches d’une tombe en forme d’auge qui contenait parmi d’autres objets une monnaie frustre de Dioclétien Empereur Romain...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Au Moyen-Age, les terres qui constituent l'actuelle commune, ainsi que les habitants qui y vivaient, dépendaient de l'Abbaye du Ronceray (Béné), de l'Abbaye des Bons Hommes d'Avrillé (Montreuil-Belfroy) et de la seigneurie de Juigné (Juigné s/Maienne) détachée du Plessis-Macé par son premier seigneur, Foulques de Quatrebarbes (1165 env./ 1219). La famille de ce dernier garda la seigneurie durant deux siècles et demi...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La découverte de briques romaines aux environs de Mazé indique que le site est habité dès cette époque au moins. La cité qui correspond à l’étendue d’un diocèse, est divisée dans les premiers temps de l’Empire romain en 14 condita ou « régions » et chaque condita en trois vici ou « cantons ». Chaque vicus renferme un certain nombre de villae. Mazé est donc un chef-lieu de condita ou d’arrondissement durant l’époque gallo-romaine...
(image et extrait du site officiel de la commune)
On signale comme cromlech celtique l’entassement d’une douzaine de grosses pierres près de la métairie de Rocherieux ; mais nul dolmen n’existe sur le territoire, malgré toute indication contraire. Existence inexpliquée d’antiques retranchements aux Blés et aux Fossés (remparts de terre, dénommés Fossés des Romains).
Le fief paraît avoir fait partie au XVIIIe siècle et depuis de longues années du comté de Durtal. On voit résider sur la paroisse, dès les premières années du XVIIe siècle de nombreuses familles de potiers, celles des Taveau, des Roger, des Nouchet, des Chevaliers et des Godin...
(source wikipedia)
Comme dans la plupart des communes de France, un Monument aux "enfants de Lézigné morts pour la France" a été érigé aux lendemains de la Grande Guerre. Si 15 noms, 15 drames y figurent aujourd’hui, c’est un peu plus de 80 hommes âgés de 19 à 47 ans qui seront mobilisés dès le 1er août 1914. Durant les 4 années qui suivent, et à l’occasion des commémorations du Centenaire de 14-18, une série d’évènements se dérouleront dans la commune...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le bourg est cité en 1429 comme «l’hébergement de La Raïé». Il s’agissait d’un domaine ancien, sur la voie de Cré-sur-Loir à Marcé, autour duquel une agglomération s’est formée.
Le premier logis de ce domaine aurait été construit par Etienne Le Réïeur. A sa mort, il en fait don à l’abbaye cistercienne de Chalocé, sur l’actuelle commune de Chaumont. Ce monastère arrente alors le logis des Rairies sous le nom de « La Réïé »...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Les origines de la commune remontent à la préhistoire : à l'époque néolithique y vivait une peuplade venue d'Europe centrale, les Danubiens.
Après les Gaulois, les Romains ont laissé des traces de leur présence (nous connaissons avec précision le tracé de deux voies romaines et l'emplacement de deux « villages » ou fermes gauloises)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
PLESSIS : autrefois un lieu fortifié, plus exactement un enclos entouré de haies naturelles ou artificielles, une PLESSE.
MACE : du mot latin MATTHEUS (MATTHIEU) d'où l'origine de notre nom : le Plessis de Matthieu. Le Plessis était la possession de Matthieu 1er du Plessis, fondateur du prieuré -première cellule religieuse à l'origine de la paroisse, et plus tard la commune...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La mention la plus ancienne sur le Plessis date de 1109
Foulques-Rechin fit don en 1109 aux chanoines de Saint-Maurice d'Angers du domaine qui fût, plus tard, titre de Châtellerie et relevait du château d'Angers.
Il est à croire qu'à l'origine l'église était affectée spécialement à l'Office du Maître-Ecolier Scolaticus-Grammaticus, dont le nom est resté à notre commune...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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