Situé en plein centre du département de la Meuse, à 25 minutes de Bar-le-Duc et de Verdun. Le château de Thillombois a été construit à la fin du Moyen Age. Entouré d'un merveilleux parc à l'anglaise de 43 hectares, il a vu sa chapelle classée monument historique en 1995...
(image et extrait du site de la CC Entre Aire et Meuse... lire la suite)
Le plus ancien seigneur connu est Pierre de Taillancourt (1175), sa famille possédait une maison forte aujourd’hui disparue.
En 1673, la seigneurie appartenait, en partie, aux Sommievre, de Montbras. Jadis diocèse de Toul, bailliage de Chaumont, prévôté de Vaucouleurs et de la Champagne (donc de France).
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À l'époque gallo-romaine, Sorcy est une petite agglomération (vicus) avec un sanctuaire. Un oppidum y contrôlait la voie romaine joignant Reims à Toul1. Une abbaye, l'abbaye de Saint-Martin-sur-Meuse, existait déjà au IXe siècle
La commune a porté différents noms
Sorcy
Sorcy sur Meuse
Sorcy-Saint-Martin après la réunion des deux bourgs...
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Sepvigny (in Saviniaco), nommée également Savigny sur les cartes de Cassini, figure parmi les biens donnés, vers 627, à Teutfride, évêque de Toul, par Dagobert Ier, roi d'Austrasie. En 1051, le pape Léon IX, dans la bulle de confirmation de l'abbaye de Poussay, énumère la moitié de l'église de Sepvigny...
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Cette localité fut donnée à l'église de Toul par Ricuin de Commercy en 1108.
Le village de Saulx est connu sous le nom de Saulx en Barrois en 1793 (il est alors inclus dans le canton de Saint-Aubin, district de Commercy), puis Saulx-en-Barrois en 1801 (canton de Void, arrondissement de Commercy)...
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Sampigny était le chef-lieu d'une seigneurie érigée en comté, le 13 juillet 1712, par le duc de Lorraine, Léopold Ier, en faveur de Louis-Ignace de Rehé. Elle comprenait Grimaucourt-près-Sampigny, Ménil-aux-Bois, Vadonville, Pont-sur-Meuse et la forge sous Commercy...
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Selon la légende et sans que la raison de leur courroux soit connue, sept fées maléfiques avaient pris la décision de détruire le village de Godonécourt, l’actuelle Saint-Mihiel. Pour parvenir à leurs fins, elles prirent chacune un gros bloc de pierre qu’elles alignèrent de façon à bloquer la Meuse. Les eaux montantes menacèrent d’inonder le village qui ne dut son salut que grâce à l’intervention de l’archange Saint Michel...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
D'abord annexe de la paroisse d'Ugny-sur-Meuse, était desservie pour cause de l'éloignement, par le curé de Montigny-lès-Vaucouleurs. L'église actuelle, dédiée à saint Amand, construite en 1713 à une centaine de mètres de la première qui se situait près du pont de la Haute Meuse, fut consacrée par Mgr Claude Drouas de Boussey, évêque de Toul, en 1755. Des réparations importantes eurent lieu en 1819. Le portail et le clocher furent reconstruits en 1841...
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Le territoire de Saint-Joire est occupé dès le Néolithique.
Situé à proximité de Nasium ville gallo-romaine d'importance (10 à 15 000 habitants au IIe siècle.) figurant sur la table de Peutinger, on note le passage sur la commune de la voie romaine de Nasium au sanctuaire de Grand (dans les Vosges).
En 1586 Saint-Joire dépend de la prévôté d'Andelot...
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La voie romaine reliant Nasium (Naix-aux-Forges) à Toul suivait la vallée de la Barboure, via Boviolles, Marson, Reffroy puis passait au sud de Bovée-sur-Barboure, au nord de Broussey-en-Blois et Sauvoy et se dirigeait vers Saint-Germain-sur-Meuse (Travia) où elle franchissait la Meuse sur un pont de pierre dont on voyait encore les ruines à côté du pont moderne au XIXe siècle...
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