C’est un petit village de la Meuse, le dernier avant de passer dans les Ardennes.
Plutôt joli, avec la rivière, les bois, quelques vieilles demeures, Pouilly mérite un détour.
Lorrain, puis français, il fut au milieu de toutes les invasions, guerres et occupations.
Dans le sillage de Stenay, il subit tous les désagréments que sa proximité engendrait.
Ses « seigneurs » participèrent aux guerres lorraines et françaises, croisades, y compris celles qui les opposaient à des branches de leurs familles, installées dans les Ardennes à Cornay, au cours des guerres de religion.
Fuyant la révolution le baron de Pouilly s’exila. Un de ses fils fit souche en Autriche-Hongrie et par un mariage heureux, fut apparenté à toutes les familles nobles de l’Europe.
Mais cette étude de Pouilly recherche plus la vie des gens humbles, ceux qui ont créé l’histoire, la « petite » si riche et qui a forgé la grande.
Les cultivateurs, manouvriers, sabotiers, vignerons etc. Les petites gens dont nous descendons serons donc mes héros.
Quelques dizaines d’années de recherches, et le risque de voir tout cela perdu, m’ont amené à les faire partager sur ce site.
Les habitants de Woël s'appellent les Couleurs d'eau, ce nom a été trouvé car au XIIIe siècle, les villageois devaient puiser l'eau qui traversait l'argile et la filtrer pour la boire.
L'église classée de Woël date quant à elle du XIIe siècle. Elle a pour particularité d'être fortifiée avec une tour-porche communément appelée " hourd "....
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La commune de Wiseppe a conservé peu d’éléments historiques visibles. On connaît bien un lieu-dit La Borde (mais est-ce une trace d’ancienne léproserie ?). Par contre, la belle ferme de Boulain, sur la Wiseppe, aujourd’hui abandonnée, fut jadis fortifiée. A la fin du XIXe siècle et au début du siècle suivant, ses propriétaires trustaient tous les prix aux concours agricoles de la région...
(image et extrait du site cc-paysdestenay-valdunois.fr... lire la suite)
Wavrille doit ses origines au défrichement des marais et des friches par les moines (comme pour Damvillers). Son étymologie provient d’un mot gaulois vobero ou vabero, qui désignait un petit ruisseau plus ou moins caché, l’endroit où de l’eau sourd de terre (étymologie que l'on retrouve dans des lieux-dits pour désigner une source, un ruisseau, mais aussi un bois, une prairie ou une terre humide, Wavrille quoi ... le village porte bien son nom). Vobero a également servi à donner le nom à la Woëvre...
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Villers-devant-Dun est situé sur les hauteurs à une altitude de 340 mètres. Cette situation faisait autrefois de la commune un véritable observatoire des régions avoisinantes. C'est certainement pourquoi un puissant château-fort y a été édifié au Moyen-Age. De cette forteresse incendiée en août 1914, il ne reste aujourd'hui qu'une trace, une tour carré à meurtrières située dans une ferme. S'il existe encore la rue du Pont-Levis, celui-ci n'existe plus depuis longtemps....
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(image wikipedia)
Villécloye, comme la plupart des localités du canton, emprunte ses origines à la période gallo-romaine. A la différence près, que Villécloye est composé de deux noms: Villé et Cloye. Cloye plus ancien disparaît au profit de Villé, mais conserve l'appellation de Cloye pour devenir Villécloye...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
La première trace écrite du village remonte à 1096. Il s'agit d'une bulle d'Urbain II qui mentionne le village de Vernilum Magnum4.
Avant 1790, Verneuil faisait partie du Luxembourg français, dans la prévôté bailliagère de Montmédy. Il était rattaché au diocèse de Trèves (archid. de Longuyon et doy. de Juvigny).
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La bataille faisait encore rage, qu’elle était déjà connue de la planète entière et entrée dans l’histoire. Elle allait marquer durablement la mémoire des hommes et, en premier lieu bien sûr, la mémoire de ceux qui y avaient participé. « Plus jamais ça », formule lapidaire mais explicite, maintes fois entendu dans la bouche de ceux qui avaient connu la réalité du « ça » : « l’enfer de Verdun »...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
Des fouilles archéologiques ont révélé les traces d’un camp fortifié gallo-romain avec un puits et un temple romain à Velosnes, sur la côte de la Ramonette qui surplombe le village...
Cette côte, à l’image de certaines « cuestas » belges, s’est formée à l’aire bajocienne, il y a 170 millions d’années. Le site naturel protégé de Velosnes est géré par le Conservatoire des Sites Lorrains...
(image et extrait du site tourisme-montmedy.fr... lire la suite)
Pages à consulter :
Avant 1914
Le conflit
La destruction du village en 1916
La reconstruction
Les monuments...
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