Le Pays tire son nom d'un ancien fief " le Saulce " (déformation de Sauge ou de saule), en bordure de la route romaine, d'où Mont-Saulce, Montsauche. Le Maire qui en 1896, donna des armes à la commune, nous dit l'abbé Charrault, crut faire revivre une légende d'après laquelle une tribu Gauloise réfugiée à Champ-Gazon, aurait été surprise et anéantie par les romains à Palmaromanorum, Palmaroux...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Depuis des temps immémoriaux, dans les régions vallonnées, les "lignes de partage des eaux" ou "lignes de crêtes" étaient privilégiées comme voies de communications, par les Eduens, les Romains et les médiévaux car elles permettaient une surveillance des environs et ne croisaient aucune rivière ou ruisseau qui aurait nécessité la construction de ponts...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L’histoire de notre commune remonte à des temps anciens qu’il m’a paru intéressant de faire connaître et partager par tous : habitants habituels et vacanciers.
Le SURCANNOIS est le « vecteur » naturel de cette diffusion, dans la mesure où nous lui avons donné progressivement une mission d’information culturelle...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Montigny est issu du latin Mons ignitus, « la montagne du feu » car sa situation élevée permettait d’y allumer autrefois des feux qui servaient de signaux.
Situé sur la rive gauche du lac de Pannecière, Montigny-en-Morvan vous propose de découvrir des sites remarquables par leur architecture : la mairie, l’Eglise Saint-Léger, la Chapelle Saint Bernard, le Château de Chassy, etc...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Trois hameaux et de nombreux « lieux-dits » se regroupent autour de la fierté de Montaron : son église romane du 12ème siècle : Notre Dame de l’Assomption.
Classée aux monuments historiques, ornée de peintures murales du 14ème siècle, l’ensemble a été totalement restauré...
(image et extrait du site officiel de la CC Sud Morvan)
Millay à la préhistoire :
Gravures pédiformes de la Pierre de St Maurice à Millay
En 1801
876 habitants
MILLAY DEPUIS 1900
1562 habitants
En 1900, quand le XXème siècle commence, la commune de Millay n'a ni eau courante, ni égouts, ni électricité, ni téléphone, ni bureau de poste. Il y avait une ligne de chemin de fer et 31 commerçants dans le bourg...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Aménagé dans la Tour des Barons, vestige du Moyen-âge, le musée de la vie locale, ouvert en période estivale, permet de découvrir, dans 6 salles, les ateliers du sabotier et du tailleur, les outils d'autrefois, les travaux d'aiguille, la salle d'école d'autrefois; il permet aussi de participer à la recherche d'objets insolites.
A la sortie Est de la ville se trouve l'ancienne maison forte des seigneurs de Montarmin, datant du XIVème ou XVème siècle...
(image et extrait du site officiel)
Anciennement Rupes Militis (Rocher des militaires ou la Roche du soldat), la commune fut nommée Laroche en 1793 (brièvement Rocher-Montagne pendant la Terreur), puis La-Roche-Millay en 1801 avant devenir définitivement Larochemillay. Ce fut longtemps un pont stratégique entre le mont Touleur et le mont Beuvray...
(source wikipedia)
Des siècles durant, sa principale activité économique fut liée à l’abattage et au flottage du bois. Jeté à l’eau juste en dessous des sources de l’Yonne, au Mont Préneley, le bois, flottant à bûches perdues, puis mis en train à Clamecy, gagnait Paris en deux ans.
Grâce à cette véritable industrie, le Haut Morvan a fourni une énergie renouvelable à la Capitale de 1459 à 1927 soit pendant presque un demi-millénaire...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La commune s'appelait Joen au XIVe siècle, Jocus, c'est-à-dire Jeu. Selon l'abbé Baudiau, ce surnom viendrait de la position de cette commune près des sources de la rivière de la Cure qui sort d'un bois d'Anost.
La paroisse était autrefois du diocèse d'Autun et de l'archiprêtré d'Anost, elle était en 1865, l'une des cinq composant le doyenné d'Ouroux-en-Morvan...
(source wikipedia)
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