Longny est une ancienne baronnie du Perche et la seule terre titrée de la généralité d'Alençon. Elle s'appelait d'abord Valenfred et reçut son nom de l'un de ses seigneurs, le sire de Longny. À la maison de Longny appartenait Louis, seigneur de Longny, conseiller et chambellan du roi, maréchal de France en 1412. La seigneurie de Longny passa plus tard aux seigneurs de la Frette et au XVIIIe siècle à la famille Gagnat.
Longny-au-Perche fut chef-lieu d'une élection de la généralité d'Orléans créée après 1643...
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Le nom de la commune peut avoir deux origines : d'une part, le nom du petit animal, la genette, vivant dans les forêts, d'autre part, les genest (la plante des genêts) indiqué sur les documents de la baronnie de L'Aigle au XVIème siècle.
Dans cette commune subsistent le tracé et les vestiges des « Fossés le Roy », qui séparaient autrefois la Normandie du Royaume de France...
(image et extrait du site paysdelaigle.com... lire la suite)
A l’extrémité du département, aux confins de la Sarthe et de l’Eure et Loir, Le Theil-sur-Huisne est une petite ville industrielle offrant au voyageur un paysage verdoyant parcouru par l’Huisne, entourée de collines du Perche. Le nom du Theil-sur-Huisne est le plus souvent associé au latin Tilia, signifiant le tilleul, poussant en grand nombre dans cette partie du Perche...
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Voie antique passant par les Trois Croix, le Chemin de Chartres, est aussi dénommé « Chemin ferré » en raison de son empierrement avec les « clines », laitier résultant de la fonte des « grisons », utilisés comme minerai de fer.
Enjambant le Livier, le pont de la Bonde rappelle un vaste étang, propriété au XIIIe siècle des moines de Moutiers, et dont le gué de la Couée évoque la queue (« cauda »)...
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Un camp romain dit Camp de César a été identifié et fouillé en 1861 par Jousset de Bellesme.
En 1872, la commune du Gué-de-la-Chaîne est créée par scission du territoire de Saint-Martin-du-Vieux-Bellême, la Même constituant une limite naturelle entre les deux communes...
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Il existait plusieurs moulins à blé : celui de Fée sur l’Huisne produisant sept quintaux par jour en 1809, de la Beausonnière sur la Rougette produisant trois quintaux par jour en 1809. En raison des gelées, du niveau bas des cours d’eau l’été, du curage des biefs, les moulins fonctionnaient 250 jours par an. Le seigle, l’orge et le sarrasin étaient les matières premières...
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Le latin « perreira » est à l’origine du nom de la commune et signifie « carrière de pierre ». Le bourg est construit sur un promontoire calcaire recouvert de sable où affleurent des pierres de roussard, du grès ferrugineux. Appelés communément « grison », ces blocs ont été utilisés pour la construction de la plupart des maisons, soit en soubassement, pour sa grande résistance mécanique, soit en appareillage, alterné avec du calcaire...
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L'existence de la Chapelle Viel est signalée la première fois au XIIème siècle dans une charte de 1135.
Selon un aveu de 1509, La Chapelle Viel fait partie de la baronnie et Terre de L'Aigle en Pays d'Ouche. En 1588, Sébastien des Acres, Seigneur de la Chapelle Viel épousa Marie d'Aulnay, Baronne de L'Aigle ; Leurs descendants sont devenus, de 1628 à 1791, les Marquis des Acres de L'Aigle, c'est à eux que l'on doit la construction du Château de L'Aigle...
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Le petit bourg de La Chapelle-Souëf et le vieux château des Feugerêts qui n'en est distant que d'un kilomètre, furent bâtis presque au bord d'un ruisseau appelé la Souëf (Suavis) dont les eaux sont tout ensemble ferrugineuses et pétrifiantes, sur l'ancienne grande route sur laquelle poste et diligence faisaient le service entre Mortagne et La Ferté-Bernard, en passant par Bellême et Saint-Germain-de-la-Coudre...
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« Une cathédrale dans les champs »
De très loin les hautes flèches du plus grand édifice religieux du Perche se détachent sur les vertes frondaisons de la forêt de Réno et éveillent la curiosité.
Cet édifice néo-gothique, construit entre 1894 et 1911, consacré et élevé au rang de Basilique mineure en 1928, fut l’œuvre d’un curé de campagne, l’abbé Paul BUGUET. Ce dernier arrive en 1878, à La Chapelle-Montligeon, sa nouvelle paroisse, peuplée alors de bûcherons, de journaliers, voire de quelques commerçants et artisans...
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