Son origine remonte à l’époque médiévale, sa naissance est liée directement à la forteresse jugée imprenable d’où le nom « Lion Redoutable » (Mau/léon). Quant à Licharre, le mot signifie en langue basque « frêne » rappelant ainsi la présence de forêts de frênes.
Licharre fut le siège de la juridiction de Soule depuis le Moyen Age, « Lo noguer de Litxarre ». La fusion entre Mauléon et Licharre eut lieu en 1841.
On redécouvre aujourd’hui un patrimoine architectural riche et varié témoin d’un passé prestigieux...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
Patrimoine
Ancienne station thermale réputée pour ses eaux cuivreuses, efficaces dans le traitement de certaines dermatoses et des affections des muqueuses
Église Saint-Étienne et son retable
Cimetière avec mausolée
Tombes des républicains espagnols...
(image et extrait du site hautbearn.fr... lire la suite)
L’histoire de Lucq nait avec celle de l’abbaye bénédictine Saint-Vincent construite sur son territoire, « Villam de Luco », vers 970-980, par le comte de Gascogne Guillaume-Sanche.
Le monastère est alors le centre d’un semis de domaines ruraux, ou « villas », bientôt organisés en paroisses et ancêtres des actuelles communes de Poey, Verdets, Saucède, Ogenne, Lay… dont l’abbé de Lucq est le seigneur...
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Louvie-Soubiron était réputé pour son marbre très blanc exporté pour certaines constructions des monuments de Paris et que l’on peut retrouver ici et là sur les façades des demeures et églises ossaloises. Un circuit pédestre et patrimonial (le circuit des carrières) lui est consacré...
(image et extrait du site valleedossau-tourisme.com... lire la suite)
Le nom du village est d'origine très ancienne. Du latin Silva (la forêt) il a évolué en "La Seuva" en occitan dont la graphie francisée est Lasseube.
Le bois, la forêt dont sont issus un peuple de brigands restent le symbole fort de notre descendance qui au fil des ans s'est civilisée au-delà de toute espérance...
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Le village doit son nom à la présence ancienne de loups (louvie). C’est un des villages les plus peuplés de la vallée (1000 habitants). On y trouve des maisons anciennes des XVIIe et XVIIIe siècles. L’église Saint-Martin (XVIe) possède un ensemble de belles sculptures sur les chapiteaux et clés de voûte. la chaire est en bois doré et sculpté. Le buffet d’orgues est du XVIIIe siècle et inscrit aux MH...
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Le village est mentionné dès le Xème siècle sous le nom de Ladux, puis Ledeuixs sous le XIIIe siècle, Ladeuix en 1323, Laduxs en 1344, Laduxium en 1374, Laduixs en 1385, Leduxs en 1420, Ledeuich en 1538, Leduch en 1779 et fin XVIIIe Leduis.
Au Moyen Âge, c’était un village d’une certaine importance pour l’époque. Le dénombrement général de 1385, sous Gaston-Phoebus, atteste la présence de 43 maisons. Il n’y avait alors aucun artisan...
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Lasseube fut touchée par la vague nationale d’émigration, « Le 31 août 1885, le Journal Officiel précise que ce n'est ni la pauvreté, ni la densité de population qui est en cause dans l'émigration, mais essentiellement les agents recruteurs et... la contagion de l'exemple. »17(annexe LVIII). Dans le Sud Ouest « les agents ou sous-agents d'émigration quadrillent littéralement le paysage, un sous-agent par canton, ou presque ! »...
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En 1385, Laruns comptait 114 feux et Geteu 5. Elles dépendaient du bailliage d'Ossau.
Paul Raymond note que la commune comptait une abbaye laïque vassale de la vicomté de Béarn.
En 1650, les jurats de Laruns décident de construire la Caze de Brousset dans le vallon du même nom pour mieux contrôler le passage en Espagne mais qui est aussi un refuge isolé, appelée "auberge" ou "cabaret" selon les époques, dans le haut de la vallée pour les voyageurs traversant les Pyrénées...
(source wikipedia... lire la suite)
Les maisons du bourg forment comme un coquillage installé à flanc de montagne. Tour à tour secrètes ou rayonnantes, tour à tour habitées par le chant des hirondelles ou le murmure de l’eau, les ruelles s’enchevêtrent autour des quatre fontaines, des lavoirs et des placettes propices à la rencontre. Les maisons souletines aux encadrements de pierre ou de bois affichent souvent leur date de construction sur le linteau de l’entrée. Les toits d’ardoise à pente prononcée et coyaux rappellent que, durant l’hiver, la neige n’est pas loin…
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