Urepel est une commune relativement jeune car elle existe officiellement depuis 1862. L’église a été construite par ses habitants en 1848. Urepel était jusqu’en 1862 un quartier des Aldudes. Elle possède des limites communes avec Banca, Les Aldudes côté français et Eugui et les vallées de Erro et Baztan côté Navarrais et le Pays de Quint...
(image et extrait du site de l'OT Saint Jean Pied de Port... lire la suite)
On retrouve les premières traces d’Urcuit dans des écrits datant du XIe siècle, sous le nom de Auricocta. L’histoire d’Urcuit est liée, comme beaucoup de ses communes voisines, à la proximité de l’Adour et à l’eau en général.
Bien que ne possédant pas de port, de nombreux chantiers navals ont pris place au village, et toute une activité liée à la pêche (esturgeon, saumon, pibales, anguilles) s’y est développée...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
Le village d’Uhart–Cize , situé à la périphérie de St Jean Pied de Port est situé sur l'une des plus anciennes routes d'Europe. Son étymologie en basque « Ur arte » signifie entre les eaux car elle se situe entre la Nive d'Arnéguy et le Laurhibar. Uhart-Cize, traversé initialement par un chemin de transhumance dès la protohistoire (les tumulus d'Arbose et l'enceinte de Gaztelumendi en témoignent) est devenu ensuite voie romaine de Bordeaux à Astorga (Galice) en passant par Urkulu...
(image et extrait du site de l'OT Saint-Jean Pied de Port... lire la suite)
Saint Michel était au 11ème et 12ème siècle l'une des principales étapes sur le Chemin de Saint Jacques de Compostelle, sur le Camino Francès qui menait de Saint Jean Le Vieux au Col d'Ibaneta et de Roncevaux, par la route des crêtes, l'ancienne voie romaine. Aujourd'hui ses deux églises prieurés-hôpitaux ont disparu, mais, Saint Michel est toujours traversé par des milliers de randonneurs ou pèlerins en route vers Roncevaux par le GR65 ou ancienne route Napoléon au départ de Saint Jean Pied de Port...
(image et extrait du site de l'OT Saint Jean Pied de Port)
Bien que commune rurale, St Martin d’Arrossa a toujours eu une particularité du fait de l’industrialisation qui, au siècle dernier, avait une place importante avec l’exploitation des mines, usine de lavage de laine, d’extraction de tanin…
Aujourd’hui, l’agriculture a toujours sa place à St Martin d’Arrossa mais l’industrialisation a laissé la sienne aux activités tertiaires...
(image et extrait du site de l'OT Saint Jean Pied de Port)
Le village peut s'enorgueillir de très belles maisons basques dont certaines existaient déjà en 1435 lors de l'anoblissement de 24 d'entre elles autour de l'ancien château "Palacio", siège de la cour de Navarre, hélas incendié et en ruines depuis le milieu du XIX ème siècle. Lors de l'invasion de l'Espagne par les troupes napoléoniennes, le Maréchal Soult séjourna quelques jours au château de Saint Martin. En 1867, on signale le passage de l'empereur Napoléon III...
(image et extrait du site officiel de la commune)
C'est un petit village paisible de l'Oztibarre, situé au pied du col d'Osquich, entre Larceveau et Mauléon. St Just Ibarre est connu pour la beauté de ses paysages, son fameux cidre et un enfant du village devenu célèbre…
Michel Garicoits est né dans ce village. Certains disent qu'il était le « dernier Saint » du Pays Basque...
(image et extrait du site de la CC Iholdi-Otzibarre)
Pages à découvrir :
- Nos armoiries communales
- Histoire de Saint Jean le Vieux :
- "Petite" histoire de la commune : Extraits des "Chroniques de l'Oiselon" (1995-2011) de Lucien Pérouse
- Saint Jean Le Vieux 1939-1945 : Témoignage de Marie Fournier, habitante de la Commune, recueilli à l'occasion du 70e anniveraire de la libération...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Imaginez-vous à Saint-Jean-de-Luz aux XVIIème et XVIIIème siècles : il y a de fortes chances que vous y croisiez quantité de corsaires. Aujourd’hui, certaines rues portent encore leurs noms.
Nid de vipères ! : C’est ainsi que la ville était surnommée dès le XVIIème siècle par les anglais qui craignaient les redoutables pêcheurs basques reconvertis en corsaires. En effet, leur réputation était grande et ces derniers étaient si doués que les prises étaient abondantes...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le nom « Bigur » ou « Bayguer » apparaît pour la première fois au Xe siècle (« charte d'Arsius », évêque de Bayonne, en 980). À cette époque, il ne désigne pas encore la commune de Saint-Étienne-de-Baïgorry à proprement parler, mais une vallée entière, soit un ensemble politico-administratif, tel qu'on en trouve dans toutes les Pyrénées...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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