Le village qui se développe sur les flancs du Grand Rocher est dominé par le château médiéval, son église et son clocher, que l'on atteint par des ruelles escarpées ...
(extrait du site officiel)
La formation du village de Laroque des Albères s'est faite en plusieurs étapes. Au IXe siècle, le terroir était sous le contrôle de l'évêque d'Elne, qui reçoit en 834 la confirmation par l'empereur Lothaire de ses possessions : la cella Saint Félix et la cellula Saint Julien, des établissements ruraux quasi-monastiques mais rattachés à l'évêché, la villa Torrente, un habitat rural sans doute de taille encore modeste...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Un promontoire hors d'eau, des terrasses viticoles au nord, une plaine alluviale au sud avec vergers et maraichages et une zone humide bordant l'étang, telle est la configuration de ce vieux bourg roussillonnais dont on veut conserver l'authenticité.
C'est en l'an 899, qu'apparaît dans une charte de Charles le Simple, roi des Francs de 893 à 922, la première mention en latin de Saint Nazaire. Cette charte confirme la possession du lieu à Estève et son épouse Anna, fille d'Alaric, ex-comte d'Empories. Cette église desservait le territoire de Solsa ou Solca, ce qui semble être le premier nom du village primitif...
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Caractéristiques du terroir des Aspres, le galet s’avère être une pierre précieuse pour la vigne : la nuit il lui offre la chaleur dont il s’est lui-même nourri le jour. Ce galet, marqué de la lettre « a », a été choisi par les vignerons comme signe de reconnaissance de l’Appellation Côtes du Roussillon les Aspres : les bouteilles le portent fièrement autour du cou, tel un bijou."Les Aspres"...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
Le territoire de Saint-Hippolyte s’étend entre mer et montagne, au bord de l’Etang de Salses-Leucate. Il est fréquemment inondé jusqu’au XXème siècle. Les hippolytains ont toutefois, à travers les siècles, réussi à dompter les éléments pour en tirer profit. Les ressources principales, dès les origines, étaient les salines, l’élevage de moutons au pré salé, la pêche sur l’étang. D’autres cultures se sont développées, comme dans la majeure partie des villages roussillonnais : la vigne, les cultures céréalières, le bois, et les arbres fruitiers (surtout oliviers)...
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Le nom de Sant Feliu (Saint Félix) provient du titulaire de l’église primitive, laquelle subsistait encore au XVème siècle sous l’appellation de St Félix Vieux, et qui, en 1290 et 1326, fournissait le lieu dit Sant Feliu à Sant Feliu d’Amont.
Les armes de la commune d’argent au sautoir de gueules, qui évoquent la croix de Saint André, patron de la paroisse, sont sculptées et peintes à la base du bras reliquaire des Saints Prosper et Gaudens et de Sainte Agathe...
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Vieux village catalan, Saint-Estève dispose également d’un Patrimoine Culturel et identitaire avec :
l’église paroissiale de pur style roman.
Elle fût bâtie en 1050 selon des plans apportés de Jérusalem par les croisés. De son église originale édifiée à l’époque carolingienne, il ne reste que deux gros piliers cylindriques du Xème siècle...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
En 118 av. J.-C., apparaissent les premiers vestiges de Saint-Cyprien sur le site de la « villa Salix », au milieu des marécages et des saulaies, non loin de Saint-Cyprien qui tient lieu de port annexe à l'antique Illiberis (devenue Helena au IVe siècle sous l'empereur Constantin, puis Elne). Une voie de liaison romaine confirme bien les échanges commerciaux entre ces deux villages. Elne devient au VIe siècle le siège de l'Evéché. En 915 apparaît pour la première fois le nom de Saint-Cyprien, du nom d'un Saint martyr, évêque de Carthage...
(source wikipedia... lire la suite)
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