Jusqu'au XIIIe siècle, la commune portait le nom de Saint-Romain-Descandelles ou Saint-Romain-des-Candelles car il y eut longtemps sur le territoire de la commune une fabrique et un dépôt de chandelles.
Jusqu'à la Révolution française, Saint-Romain-en-Gier, alors nommée Sautemouche-en-Gier, dépendait d'Echalas, village limitrophe. Le village connut une certaine prospérité au XVIIIe siècle lors du passage des muletiers transportant le charbon vers Givors...
(source wikipedia)
Dans l'antiquité Saint-Romain-en-Gal, située sur la rive droite du Rhône, était un vaste quartier résidentiel et commercial de Vienne (Vienna), alors une des principales villes de la Gaule romaine.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Romain-les-Roches.
Dès le XIXe siècle, on y découvre un nombre considérable de mosaïques. Cependant il faut attendre 1967 pour que des fouilles archéologiques révèlent toute l’ampleur et la richesse de ce quartier...
(source wikipedia)
Bien avant les Romains, nos ancêtres de la Préhistoire n’ont pu ignorer les atouts évidents du lieu… N’existe-t-il pas meilleur abri et sentinelle que la profonde grotte de la Luée, cachée dans les replis de la falaise, au-dessus d’une source ?
A.Falsan nous rapporte la découverte de ce site en 1866, ainsi que des débris de silex et de foyers. Il mentionne aussi trois haches en jadeite et serpentine (trouvées à Tupoly et Chanelette), outils de pionniers du Néolithique, partis à la conquête de terres nouvelles...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Héritage d'un passé médiéval, le Château de Saint-Priest demeura au fil des siècles le témoin discret de l'histoire des San-Priots. Bâti au XIV° siècle, il sera peu occupé par la famille des Guignard qui en restera propriétaire jusqu'à ce que la Ville en fasse l'acquisition le 11 juin 1938, sur décision du maire de l'époque, Théophile Argence.
Et ce n'est qu'en 1995 que le maire Bruno Polga, soucieux de ne pas laisser l'édifice dépérir, décida au nom de la Ville de renouer avec son histoire et d'en faire le fleuron du patrimoine local...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Ancienne cité minière. Exploitées au Moyen Âge par Jacques Cœur puis par les frères Perret en 1840 et enfin par Saint-Gobain, les mines de Saint-Pierre-la-Palud ont fermé en 1972. Au début du XXe siècle, on y produisait 70 % de la pyrite française (soufre). L’ensemble des anciens bâtiments industriels est dominé encore aujourd’hui par le puits métallique Perret. Le musée de la Mine présente l’extraction minière dans les monts du Lyonnais...
(source wikipedia)
Une opportunité de remonter dans le temps et de s'imprégner de l'ingéniosité des bâtisseurs les plus audacieux. De l'empire romain à l'art roman, des échoppes moyenâgeuses aux fermes des champs, laissez-vous séduire par la multiplicité de ces joyaux d'architecture. On vous présente là quelques pistes de découvertes, Chaque année, la Commune de St Maurice vous invite à rencontrer ses richesses...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L'église est venue s'installer très tôt dans notre village, sans doute sur des emplacements d'habitations antiques, dès le Vème siècle où de célèbres prêtres officient. En 1150, une abbaye lyonnaise fonde le prieuré de Poulieu, et rassemble les paroisses aux alentours sous l'autorité d'un prieur qui engrange la dîme. On y pratique surtout l'élevage dans l'immense forêt de Planaise, sur le site actuel de l'aéroport. Ce fut sans doute l'un des prieurés de l'abbaye d'Ainay les plus rentables économiquement...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le drapeau est brodé sur deux faces. La banderole porte la même inscription sur les deux faces : « Garde Nationale de Saint Laurent de Chamousset »
Sur la face présentée, le cercle comprend : un livre ouvert avec la mention « Nouvelle constitution ».
Derrière ce livre se croisent deux sceptres, un portant une fleur de lys, l’autre une main ( sceptre des rois de France). A l’extrémité supérieure du cercle, l’œil divin darde ses rayons. Plus bas dans le cercle, est placée une deuxième fleur de lys et la date « 1790 »...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La plus ancienne mention connue de Saint-Jean-de-Touslas date de l’an 990. (Cartulaire d’Ainay-Charte 160). « Touslas » provient du mot celtique «tous», transformé par la suite en « Attolas », pour prendre enfin sa forme actuelle.
Avant la Révolution, Saint Jean dépendait de la paroisse de Dargoire rattachée à l’archiprêtré de Mornant sous la domination du seigneur de Riverie...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Saint-Germain-au-Mont-d’Or, notre commune située sur la rive droite de la Saône, a été fortement marquée par l’activité agricole et arboricole, par la présence d’anciennes carrières, ainsi que par l’implantation de la gare et du réseau ferroviaire.
Au pied du Mont d’Or, le village historique est établi autour des vestiges du château médiéval et son donjon. Ruelles étroites faites pour le piéton et le cheval, belles propriétés ornées de grands arbres, maisons rurales ou de carriers donnent à notre commune un charme certain...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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