Une vaste forêt occupait l’emplacement où s’est ensuite implanté Écully. La découverte d’un silo rempli de cendres et d’ossements humains, la mise à jour de haches en pierre polie, de débris de poteries grossières, permettent d’affirmer qu’il y a eu, sinon habitation prolongée, du moins passage d’êtres humains sur ce territoire à l’époque préhistorique...
(image et extrait du site officiel de la commune)
On imagine que l’origine du nom de notre commune fait référence aux pieux qui soutiennent les ceps de vigne, mais l’appellation pourrait aussi provenir d’une déformation du mot « échelle » ou scala en latin, du fait de la situation escarpée du village car pour y accéder, il fallait monter, monter… !
(image et extrait du site officiel de la commune)
Duerne était autrefois traversé par une voie romaine reliant Lyon à Bordeaux.
Sous le règne de l’empereur romain Claude, grand bâtisseur public, un aqueduc alimentant Lugdunum (Lyon) fut construit, en utilisant les eaux de la source des Courtines sur la commune d’Aveize 10.
Dès l’an 970, l’église Saint-Jean-Baptiste de Duerne est citée dans un ancien titre. Elle dépendait de l’obéance de Mornant...
(source wikipedia)
La féodalité se répand : l'abbaye de Savigny, le Sire de Beaujeu, l'archevêque de Lyon et le Comte de Forez se partagent le territoire. Durant ce siècle, les sires de Beaujeu possèdent une enclave dans les territoires de l'archevêque de Lyon qu'ils défendent avec les châteaux de Lissieu, Chazay, Belmont et l'Arbresle. L'influence des «Beaujeu» va croissant jusqu'à la fin du XIIè...
(image et extrait du site officiel de la commune)
A la fin du Xème siècle, le développement de la féodalité se précise et les fortifications médiévales se multiplient, comme en témoigne la motte féodale du Moléron (XIème siècle), au sommet de laquelle se dressait une tour en bois qui permettait de surveiller en direction des Dombes et des Monts-d'Or. Cette motte, privée de sa tour, aujourd'hui disparue, est située à proximité du canal de Jonage...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le nom de Dardilly apparaît pour la première fois dans l’histoire à la fin du Xe siècle. Entre 970 et 1023, le cartulaire d’Ainay mentionne huit donations de vignes et de terres sises à Dardilly en faveur de cette abbaye lyonnaise.
Mais ce nom est peut-être beaucoup plus ancien. Une tradition locale, inspirée de l’étymologie, prétend qu’un certain Dardiliacus...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L’histoire de Curis-au-Mont-d’Or, dont l’étymologie demeure controversée, débute par la découverte d’os de mammouths exhumés de la Gorge d’Enfer. «Ce sont les plus vieux Curissois connus» (-14 000 ans), écrit G.Pérouse, enfant et historien du pays. Des silex du Paléolithique et des hachettes de pierre polie témoignent d’une occupation préhistorique du fertile plateau des Avoraux...
(image et extrait du site officiel de la commune)
LES AQUEDUCS
LA BLANCHISSERIE
L'AVENUE PIERRE AUGUSTE ROIRET
LA VIEILLE EGLISE
LA RUE CENTRALE
LA RUE JOSEPH MOULIN
LES RABATTES
LA RUE JEAN-CLAUDE MARTIN
LA VOIE ROMAINE
A partir du Xème siècle, on relève dans les cartulaires et autres archives le nom de Coson, Cosonis puis plus près de nous, Cozon.
D’après les dernières recherches étymologiques, ce nom signifierait « rivière de région montagneuse » et ne viendrait pas du nom de l’ile de Cos...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Corbas est à l’origine un village rural très ancien : des fouilles réalisées à l’occasion de la construction du Boulevard Urbain Sud ont ainsi permis de mettre à jour les preuves d’une occupation de son site à l’époque Gallo-Romaine.
Le village apparaît ensuite, dans un document datant de 937, sous le nom de « Villa Corbatis »...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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