D'après la légende le village de MORANCE aurait été crée par une colonie Sarrasine qui au début du VIIIe siècle pour échapper à Charles Martel, se réfugie dans les bois.
L'Église de Morancé dont le cœur remonte au VIIIe siècle pourrait avoir été bâtie par ces Sarrasins, qui en auraient fait leur première mosquée.Dédiée à Notre Dame, cette église fût jusqu'en 1379 celle du prieuré des dames Bénédictines qui relevaient de Saint Pierre à Lyon...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Existant dès les 10ième siècle, le Château de Montmelas est d’abord une garnison appartenant aux Sires de Beaujeu.
C’est en 1566 que Jehan Arod l’achète, devenant alors Marquis de Montmelas. Il en fera sa demeure et celle de ses descendants qui l’habitent encore aujourd’hui...
(image et extrait du site)
La région de Monsols fut certainement peuplée depuis la plus haute antiquité, mais les premiers témoignages ne datent que de l’époque gallo-romaine : deux sarcophages, en pierre, ont d’ailleurs été retrouvés, dont l’un est visible au musée de BEAUJEU.
Le viaduc du Chatelard, construit en 1910-1911 pour le passage de la ligne ferroviaire allant de VILLEFRANCHE à CLUNY qui n’aura duré que 25 ans, est maintenant un lieu de promenade avec ses 22 mètres de hauteur, et ses 11 arches de 12 m d’ouverture...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Pages à consulter :
- Un peu d’histoire sur le village de Moiré
- Croix des chemins et croix de mission
- Historique de la population de Moiré entre 1793 et 2014
- Cartes postales anciennes
- L'église de Moiré
- La chapelle de Moiré
(image et extrait du site officiel de la commune)
Les maisons du bourg ont été construites entre 1820 et 1823.
L'église a été construite en 1819 et son presbytère en 1823.
Naissance de Meaux la Montagne : La commune a été créée sous le règne de Louis Philippe le 19 juillet 1844 par détachement de Cublize, Saint-Bonnet-le-Troncy, Grandris et Saint-Vincent-de-Reins.
Son nom est alors Meaux...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Présentation du télégraphe de Marcy
Sur la colline de Montézain, culminant à 397 m d’altitude, se dresse une tour carrée haute de 7 m construite enpierres dorées. Cette tour abrite un système ingénieux, imaginé par Claude CHAPPE à la fin du XVIIIème siècle :le Télégraphie Optique.
Pour fonctionner, cette invention nécessita la mise en place d’un réseau de stations, tours ou édifices hauts, quicommuniquaient entre elles. Grâce à un mécanisme et à des bras articulés installés en leur sommet...
(image et extrait du site officiel de la commune)
A une vingtaine de kilomètres au nord de Lyon et une dizaine de kilomètres au sud de Villefranche-sur-Saône, posé à flanc de coteau, orienté au Levant, Lucenay est le village atypique du Beaujolais des pierres dorées car ses maisons anciennes sont construites avec de la pierre blanche. Celle-ci a été extraite des nombreuses carrières lucenoises de manière discontinue de l’époque Gallo-romaine à la première guerre mondiale...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Lozanne, située à l’entrée du Beaujolais des Pierres Dorées et de la Vallée d’Azergues a été traversée ou habitée par l’homme depuis la Préhistoire.
Dans les environs du Pont de Dorieux, au XIXème siècle, ont été découverts près d’une source les vestiges d’une « station » préhistorique ou étaient taillés armes et outils...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Historique pèlerinage Notre Dame de la Roche
- Le sanctuaire est situé à 750 m d’altitude sur la commune des Sauvages, au dessus deTarare.
- Bénédiction solennelle de la Statue le 29 Septembre 1861 par Mgr de Charbonnel, délégué du Cardinal Archevêque de Lyon. Cette statue fut sculptée par M.Fabisch (la Vierge de Fourvière et la Madone de Chazay) et financée par M.Louis Perret (habitant Les Sauvages)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L’origine du nom « Les Ardillats » viendrait du latin « arderer » (brûler) en référence aux feux follets , « ardi » en patois, qui se manifestaient autrefois dans le cours marécageux de la vallée de l’Ardières. A l’époque gauloise, l’Ardières servait de frontière entre les Ségusiens (Forez) et les Eduens (Morvan)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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