Partez à la découverte de St Sorlin à travers ces monuments :
- Le Musée de la Vie d'Autrefois vous offre un voyage dans le temps pour découvrir le mode de vie d'autrefois.
- L'Eglise St Saturnin typiquement baroque datant de 1603 vous ouvre ses portes.
- La Fromagerie des Arves est reconnue pour son Beaufort multi-médaillé...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L’histoire de SAINT RÉMY n’est connue qu’à partir du Moyen Age. Cependant la découverte de tuiles romaines atteste d’une occupation humaine bien plus ancienne. Dénommé SAINT RUMIS en 1561, puis ARPINGON sous la révolution, SAINT RÉMY devient SAINT RÉMY DE MAURIENNE en 1962.
Commune à vocation agricole, SAINT RÉMY ne fut pas épargné au cours des siècles par les fléaux tels que la peste (1605)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
On trouve anciennement la dénomination de "Belleville Hurtières" en 1561, puis "Arbarétan" en 1793 (à la Révolution).
Le nom de la Corbière serait tiré de "in valle corvorum", le Val des Corbeaux. Le toponyme de La corbière apparaît dans le testament de Patrice Abbon en 739 qui cite Corvearia, un prieuré dont on ignore le lieu de construction mais qui y est attesté au Moyen Age...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L’église a été construite au XVIe siècle sous le vocable de Saint Pancrace. Elle a été complètement reconstruite en 1900. En 1893, le conseil municipal, dans une délibération, « déplore l’état de délabrement de l’église et sollicite une subvention de l’état pour la réfection du plancher et le recrépissage des murs ». A cette époque, le niveau intérieur de l’édifice se trouve plus bas que celui du sol extérieur...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Dépourvu d’immeuble moderne, le bâti communal compte d’abord des maisons paysannes et des granges transformées pour répondre aux exigences de la vie actuelle. Fontaines, lavoirs, fours à pain et chapelles, tous restaurés, sont insérés dans les différents hameaux et quartiers.
Ce patrimoine rural prend un aspect pittoresque à La Porte, hameau perché aux ruelles étroites, sinueuses et pentues...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Une tour encadrée de résineux sur un fond de montagne, telles sont les armoiries de St Léger, récemment créées en hommage aux nobles Thévenin, propriétaires d'une maison forte située à l'emplacement de l'actuelle mairie.
Cette tour, ruinée par le temps et entièrement détruite en 1885, était le seul bâtiment imposant dans ce fief mauriennais.
Ses pierres ont servi à la construction du groupe scolaire...
(image et extrait du site des Saint Léger de France)
La commune de Montdenis compte près de 500 habitants au début du siècle.
Elle est désenclavée par une route départementale en 1964. Jusqu’alors, l’accès se fait par un sentier muletier et un transport par câble pour les marchandises.
Elle perd son statut de commune en 1965 pour être rattachée à St Julien de Maurienne (qui devient Saint-Julien-Montdenis)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Au VIe siècle, le roi de Bourgogne, Gontran, conquiert toute la région, qui reste sous l’autorité religieuse de l’évêque de Turin. C’est alors qu’une femme, Sainte Thècle, rapporte d’Alexandrie (Égypte) les reliques de Saint Jean-Baptiste trois doigts de la main qui baptisa le Christ.
Les reliques ont fait de la bourgade la capitale de la vallée. Elle va en tirer son nom, Saint-Jean-de-Maurienne, et son blason, une main bénissant...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le minerai extrait à St Georges était transporté et travaillé dans Belledonne et jusque dans les Bauges et en Haute-Savoie. Sa haute teneur en manganèse le rendait plus résistant et est à l’origine probable de la légende qui veut que Durandal, la fameuse épée du neveu de Charlemagne, ait été fabriqué avec le fer de St Georges...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Bien accrochée à flanc de montagne, Saint-André était, avant 1806 une ville étape bien connue sur la route reliant le Piémont (Turin) et la Savoie (Chambéry) par le col du Mont-Cenis.
Auberges, hôtels, relais de poste et hôpital accueillaient gens illustres, pèlerins, colporteurs et indigents. Mais sa situation géographique en faisait aussi un verrou naturel de la vallée de la Maurienne que se disputaient les armées en guerre...
(source wikipedia)
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