Fait partie aujourd'hui de la commune nouvelle Terres de Caux
Les origines du nom « Lavis » sont encore imprécises et peuvent venir de l'ancien français « l'éavi », dérivé de « eau » (du latin « aqua »), qui désigne un endroit humide. Au XVème siècle, les pouillés (anciens registres des actes civils et privés) l'écrivent « l'Advis ». Un pouillé de 1738 le mentionne « La Visse ». DUPLESSIS pensait que le village aurait tiré son nom du mot « Avi » qu'il dit être le nom d'un notable de l'époque...
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Fait partie aujourd'hui de la commune nouvelle Terres de Caux
Installée sur le bord de la voie romaine qui allait de Lillebonne (Juliobona) à Grainville-la-Teinturière, Santa-Margareta, autrefois simple hameau de Fauville, est attestée dès l'époque romaine. Sainte-Marguerite devient paroisse à part entière probablement vers le XIe siècle, période de construction de sa première église, comme semble l'indiquer les contreforts tuffeteux subsistant encore dans la nef après sa reconstruction au XVIIe et XVIIIe siècles. ..
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Fait partie aujourd'hui de la commune nouvelle Terres de Caux
La présence de « tot » dans le nom indique que Bennetot existait déjà à l'époque des invasions normandes. Les traces visibles du passé se trouvent dans le manoir de Vertot, dont la construction date des 16ème et 17èmesiècles. Au 18ème siècle, René D'AUBER DE VERTOT (devenu ensuite l'Abbé DE VERTOT) s'est rendu célèbre en écrivant « une histoire de l'ordre de Malte ». L'église a été construite à la naissance de l'historien. On trouve également, dans le cimetière, une croix sculptée sur ses deux côtés...
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L'église Sainte-Croix, qui date du XIIIème siècle, a été rénovée au XVI et XIXème siècles ; Quant au Puits d'Avril (qui a été également rénové), il a fourni de l'eau aux habitants jusqu'à l'installation de l'eau courante, dans les années cinquante...
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Auzouville sur Fauville dont l'ancienne orthographe était Ozouville et Auberbosc (Bois d'Obert) résulte de la fusion en 1828 de 2 paroisses, ce qui explique que la commune soit située sur 2 pôles : Auzouville le long de la rue de la mairie et Auberbosc le long de la route d'Auberbosc. A ces 2 pôles s'ajoutent de nombreux hameaux. Un document du 18ème siècle décrit ce village comme « une misérable petite paroisse »...
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Les moines du Bec ont possédé la paroisse de Bermonville jusqu'à la Révolution. Le château-fort, avec sa motte féodale, fait place à une gentilhommière au XVIème siècle. Les derniers seigneurs sont les Caillots de Bermonville, Présidents au Parlement de Rouen...
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Fait partie aujourd'hui de la commune nouvelle Terres de Caux
Un dicton cauchois disait : « on y entre comme dans Fauville » La raison en est simple, le bourg est installé sur un plateau pourvu de nombreuses voies de communication. La situation géographique de Fauville étant favorable aux échanges commerciaux, Jean Sans Terre, dès 1203, y établit le premier marché franc....
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C'est dans ce village que Guy de Maupassant a situé sa célèbre nouvelle, Miss Harriet, dédiée à la comtesse Potocka et publiée en 1883.
Le village de Bénouville a été investi successivement par l'armée allemande lors de la Seconde Guerre mondiale, puis par les troupes américaines après le débarquement de Normandie...
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Le patronage de l'église fut donné à l'abbaye de Fécamp mais le seigneur de Bennetot et l'abbé de la Sainte-Trinité de Fécamp, présentaient alternativement à la cure. La seigneurie passa par mariage à la famille Auber d'Aubeuf et de Vertot, au début du xviie siècle. On leur doit l'église. Il y avait encore au xixe siècle, le 30 novembre, une foire importante...
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Au xiiie siècle, le seigneur de la paroisse est Matthieu d'Abetot, chevalier ou écuyer.
L'histoire de la paroisse semble liée à celle de la famille de Bois-Rozé. À l'origine, il existe sans doute un site fortifié et un domaine seigneurial relevant des sires de Tancarville à lépoque ducale, et tenus par les Anglais pendant la guerre de Cent Ans...
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