La chapelle primitive du XIII siècle était succursale de Saint-Jean-Baptiste de Dammartin et desservie par les prieurs-curés. Elle est érigée en paroisse autonome par Guillaume Briçonnet, évêque de Meaux, le 7 avril 1530. Sa réfection date de cette époque. Elle comporte un vaisseau central et deux collatéraux aboutissant à un chevet octogonal, soutenu à l'extérieur par deux arcs-boutants finement sculptés à mi-hauteur...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Après ce qu'il était convenu d'appeler la belle époque, la période comprise entre les deux guerres fut une ère de stagnation peut être due aux difficultés engendrées par quatre ans de conflit intense qui mis à part l'aviation n'a pas eu pour conséquence une évolution significative de ce que l'on nomme actuellement qualité de la vie.
Le village, très rural, ne connaissait guère qu'une activité agricole...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Les habitants du Mesnil-Amelot sont les Mesniloises et Mesnilois.
Les micro-reliefs du territoire du Mesnil-Amelot recèlent de nombreuses traces d'habitats néolithiques et gallo-romains. Au XIe siècle, la dime du Mesnil est partagée selon des règles précises entre l'abbé de Cluny, le prieur de Saint-Martin-des-Champs, le chapitre de Meaux et les chanoines de Sainte-Geneviève de Paris...
(image et extrait du site officiel de la commune)
C'est sous la dénomination d'Alta Domus qu'apparaît le village au XIIIe siècle. La paroisse est créée en 1237. Aux XVIe et XVIIe siècles, elle est appelée La Haute-Maison-en-Brie. La Haute-Maison était autrefois une prévôté. Au XIIIe siècle, Jean et Hugues de Quincy élevèrent une chapelle dans la forêt du Mans. L'évêque de Meaux, Pierre de Cuisy, transforme en 1237 cette chapelle en église paroissiale...
(source wikipedia)
Capitale mondiale de la meulière, La Ferté-sous-Jouarre était réputée dans le monde entier au XIXème siècle grâce à la dureté exceptionnelle de sa pierre meulière qui alimentait les moulins du monde entier. Aujourd'hui encore, on retrouve des pierres à pain fertoises dans toute l'Europe mais aussi en Amérique du Sud... jusqu'en Nouvelle-Zélande ! ...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Les cryptes de Jouarre n'ont subi pratiquement aucune restauration, cependant, elles ont subi quelques modifications.
Jusqu'au 11e siècle, il y avait un plafond de bois qui reposait sur tous les chapiteaux, dans les deux cryptes. Au 17e siècle, les tombeaux sont vidés, pour mettre les restes des corps dans des châsses et on perce des ouvertures pour que les cryptes ne soient plus dans l'obscurité la plus totale...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Ce village a sans doute existé depuis la période mérovingienne, selon une tradition Charles le Simple y aurait eu un château.
Sous l’ancien régime, Isles-les-Villenoy dépendait de la seigneurie du comte de la Motte-Geffard. Son premier instituteur y est signalé au XVIIe.
C’est en 1839, avec la construction d’un pont à péage sur la Marne, que le village prend une certaine importance...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L'existence de ce bourg est très ancienne. C'est en 1044 que l'on trouve la première relation de son existence, lorsque l'évêché de Meaux donna l'église au prieuré de la Celle-sur-Morin, en accord avec le seigneur de l'époque, Gautier Ier. Le château de ce seigneur était situé à Rouilly-le-Bas. Il fut reconstruit au même emplacement en 1854...
(image et extrait du site officiel de la commune)
« Gressy » vient du latin « gratiacum », lieu de grâce, c’est-à-dire, endroit agréable.
Selon certains documents, il est probable que ce lieu ait été habité depuis la préhistoire, puisqu’une « hache » polie ainsi qu’un « coup de poing » ont été récemment trouvés...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le nom du village pourrait provenir soit du nom d’un lieu de plantation, Germiniacum, soit d’un Germinacus qui aurait possédé la terre à l’époque gallo-romaine ou encore d’un Germinu Vicus, ou bien du domaine de Germinius, auquel aurait été accolé le mot l’Evêque, dés le VIIème siècle, par référence aux Evêques Meldois, et pour bien distinguer notre Germigny de Germigny sous Coulomb.
En 1365, on trouve des écrits qui mentionnent indifféremment Germigny sur Marne ou Germigny l’Evêque...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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