L'histoire d'Hardricourt est liée depuis l'origine à celle de Meulan. Les premiers défrichages sont attribués aux moines du prieuré Saint-Nicaise de Meulan.
En 1419, près du village de Mézy-sur-Seine, eut lieu une entrevue entre les émissaires français et le roi Henri V d'Angleterre qui demandait la main de Catherine, fille du roi Charles VI de France, avec en dot l'Aquitaine et la Normandie...
(source wikipedia)
Du village gaulois à la commune « rurbaine » Guitrancourt est, comme l’on dit aujourd’hui, un village « rurbain », mais des agriculteurs de la commune cultivent les champs alentours (plantes fourragères, colza, tournesol).
Au début, Guitrancourt était un village gaulois, qui fut envahi par les Romains, puis par les Barbares. De ce passé gaulois, il nous reste un témoignage : « la Pierre droite »...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Site habité dès le Néolithique. On y a retrouvé notamment une sépulture mégalithique, détruite au XIXe siècle, et un four à chaux de cette époque a été mis au jour.
Des traces de la présence des Carnutes, habitants de l'époque gauloise, ont été retrouvées (massues en pierre).
Au XIIe siècle, le village appartenait, en partie, au seigneur Henri de Guerville...
(source wikipedia)
L'origine du nom de Gressey, c'est le mot latin « gresiacum » (grès), en rapport avec d’importants gisements de grès sur la commune.
Il n’existe sur la commune aucune trace d’occupation gauloise ou romaine à l’exception d’un menhir, détruit en 1823, situé au lieu-dit des Pâtures, connu sous le nom de « pierre du Mont-Bergeon ».
Au milieu du XIIIe siècle, le territoire de Gressey est partagé entre deux seigneurs, les Gressey et les Brunel...
(image et extrait du site officiel de la commune)
En 1178, pour la première fois, il est fait mention de ce village lors d’une dotation de Simon d’Anet au bénéfice de l’abbaye.
D’après l’abbé Gautier, le célèbre monastère avait été, en premier lieu, établi à Curé ou Curet, hameau assez proche de Grandchamp.
Vers 1800, un grand nombre d’ossements ont été trouvés sur l’emplacement du premier cimetière, au pourtour de l’ancienne église de ce hameau...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Des traces d'habitat préhistorique ont été trouvés dans la commune (polissoir du néolithique).
La seigneurie de Goussonville fut la propriété des comtes de Hallot depuis le XVe siècle jusqu'en 1786, année où elle fut rachetée par le comte de Séran. Celui-ci, dépossédé de ses biens pendant la Révolution, les recouvra à la Restauration et devint par la suite maire de Goussonville...
(source wikipedia)
Les atouts hydrographiques de Gommecourt et Clachaloze expliquent l’établissement permanent d’hommes du Néolithique sur ce territoire. La famille Mornay succède en 1571 aux Bus à la tête de ce fief. Le comte de la Roche-Guyon s’en rend acquéreur en 1615. La terre passe ensuite dans la famille du Plessis puis dans celle de la Rochefoucault...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Des quantités de silex, des époques chelléenne et moustérienne ont été trouvées à l’extrémité du territoire de Freneuse, sur la limite de celui de Rolleboise.
Dans une partie du bourg on a découvert des sépultures. Un camp romain a existé sur le monticule de Galicet.
Selon la tradition, la plaine de Freneuse, en 946, aurait été le théâtre d’une bataille gagnée par Louis IV d’Outremer contre Richard Ier, duc de Normandie...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le nom de FOLLAINVILLE remonterait au 13e siècle. Sur les registres de la paroisse, on remarque que l’orthographe de ce nom s’est plusieurs fois modifiée : FOLINVILLE (du latin FOLIN VILLA), FOLLINVILLE, FOLAINVILLE et enfin FOLLAINVILLE.
Première signification possible :
La particule FOLIN pourrait provenir du latin FOLIUM qui veut dire FEUILLE ; VILLE vient du latin VILLA qui signifie DOMAINE. Ainsi, FOLLAINVILLE voudrait dire DOMAINE DES FEUILLES...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Flins-sur-Seine, c'était hier... La formation de ce village pourrait remonter à l'époque Gallo-Romaine. Pendant les années 945 le village fût dévasté par un horrible fléau appelé: "le fléau sacré, la maladie des ardents, le mal d'enfer. Un registre conservé aux archives de la paroisse de Flins rapporte que plusieurs de ces malades vinrent à une petite fontaine "qui fluait d'un fourré proche de l'endroit sur lequel est édifiée maintenant notre église...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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