La vie du village s’ordonne autour de son Eglise du 17ème « Notre Dame de l’Assomption » classée à l’inventaire des monuments historiques remarquable par son dôme typique de la renaissance italienne, et à l’intérieur par quatre tableaux du 17èm ainsi qu’un superbe retable en bois doré provenant de la proche abbaye de Montrieux .
Son patrimoine bâti exceptionnellement conservé abrite de véritables trésors d’authenticité...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L'existence de plusieurs exploitations rurales romaines est attestée à Villecroze entre le 1er et le 5ème siècles après JC.
Au Moyen-Age, l'Ordre des Templiers détient une Commanderie et une exploitation agricole au lieu-dit du Ruou. Ce domaine passe ensuite aux mains de l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.
Les moines de Saint-Victor de Marseille, présents dès le 11ème siècle, fondent un prieuré près du village...
(image et extrait du site officiel de la commune)
On estime que le Sud de la France commence à se peupler il y a un million d’années. À Vidauban, les premiers signes de présence humaine sont attribués à l’Homo erectus, après la découverte de pierres taillées qui lui ont été attribuées.
Le témoignage indiscutable de la présence de nos ancêtres est toutefois celui du dolmen de Jas de Parète, daté du milieu du 3ème millénaire avant notre ère. À cette époque, l’homme subvient déjà à ses besoins par l’agriculture et l’élevage...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Village très ancien, bâti autrefois en deçà de la Nartuby, sur la colline Saint-Victor, il était appelé en ce temps là « Infré ». Il se nomma ensuite « Trans », signifiant « au-delà » en latin, lorsque les habitants s’installèrent sur le site actuel, passant de l’autre côté de la rivière.
Pendant longtemps, outre les filatures de soie, les plantations d’oliviers ont fait la richesse de Trans, permettant le développement d’un important commerce d’huile d’olives...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Trois enceintes de remparts sont encore visibles : la plus ancienne abrite le vieux château médiéval et les premières maisons, la deuxième avec ses portes du XIVe et XVe siècle s’étend jusqu’à la Grand Rue et la Place des Ormeaux, la troisième enceinte du XVIIe englobe le château communal et la chapelle Sainte Trinité, elle est constituée au nord par les maisons, au sud par les terrasses et les jardins...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Taradeau, anciennement Taradel est issu de la racine TaR qui dans la langue indo-européenne signifie « rocher perché » Il y a bien à Taradeau un rocher qui domine le village. Une explication plus rationnelle fait dériver ce nom du latin Neprun alaternus, l’alaterne est un arbrisseau aux baies noires qui pousse dans la commune et que l’on appelle en provençal le Taradèu (Phonétiquement Taradéou)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Les habitants de cette contrée était des nomades voyageant selon les saisons. Au VIème siècle avant J-C, de nombreuses tribus s'étaient constituées mais furent soumises par les légions romaines. Jusqu'à la fin du Vème siècle de notre ère, la sédentarisation et la paix romaine assuraient une parfaite sécurité aux habitants...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le nom de SEILLANS eut-il pour origine la déesse Séléné la lune ou bien celui de Sélénus, chevalier romain qui s’y serait établi dans les temps lointains ? L’une ou l’autre hypothèse paraît soutenable et il importe peu. Les Romains, c’est certain, vinrent en ces lieux. Ils tracèrent des routes, les moines du Moyen Age fondèrent leurs couvents, les Maures, eux se fortifièrent...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Patrimoine à découvrir :
De nombreuses fontaines remarquables :
ex. : la fontaine de la place de la révolution, celle de la rue Font du murier... ;
L'église romane Saint-Pierre du XIIIème siècle ;
La chapelle Saint-Jacques (Chapelle Bon Secours) ;
La Chapelle Croix-de-Solliès du XVIIème siècle ;
Le pont roman de la Muie ...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Sainte-Maxime, comme tous les villages de Provence, cultive et commémore, tout au long de l’année, ses fêtes d’antan... qui étaient souvent liées au cycle des saisons et à l’activité des champs (la télévision, bien sûr, n’existait pas ni l’Internet).
Aussi, ces fêtes étaient l’occasion pour le village de se retrouver, de festoyer et d’oublier les vicissitudes du quotidien ...
(image et extrait du site de l'OT)
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