Le Baptistère
Cet édifice, bâti au VIe siècle (peut-être sur les ruines d’un temple romain), a été remanié aux XI, XII et XIIIe siècles. Il fut ensuite restauré au XIXe siècle sous l’impulsion de Prosper Mérimée, inspecteur des Monuments Historiques.
Du VI au Xe siècle, les évêques de Carpentras auraient fui les invasions barbares pour se réfugier sur le rocher de Venasque. Le groupe épiscopal est formé d’une église-cathédrale où se trouvait le siège de l’évêque, la cathèdre et un baptistère dédié à Saint Jean-Baptiste.
A cette époque, l’évêque célèbre le baptême deux fois par an, veilles de Pâques et de Pentecôte.
(le mot « baptême » vient du verbe grec « baptizô » signifiant « plonger, immerger ».)
Son plan est en forme de croix grecque, l’espace central voûté d’arêtes, s’ouvre sur quatre absides englobées dans des massifs quadrangulaires. Le décor d’arcatures aveugles repose sur des colonnes de réemploi. Dans le sol se trouve l’emplacement, dans un mortier très ancien, de la cuve baptismale d’origine qui est octogonale.
Au même niveau que le sol du baptistère, il existe 1 petite église-crypte enfouie sous le chœur de l’église datant de la fin du IVe siècle, preuve qu’une communauté chrétienne s’est constituée très tôt.
Le baptistère est relié à l’église Notre Dame de Venasque par un couloir vouté en plein cintre.
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
(image : collection Mairie)
Dominé par la tour carrée de l'église et de son campanile en fer forgé, la silhouette pyramidale de Sablet, dans le soleil couchant, ruisselle du flamboiement de ses toits, ocre sur le fond minéral, vaguement bleuté des dentelles de Montmirail.
Construit sur une butte sableuse qui lui a donné son nom, Sablet superpose ses ruelles étroites, couvertes par des soustets en trois cercles concentriques que relient des calades abruptes et des escaliers aux marches inégales. Du haut du clocher, par delà les berges de l'Ouvèze et les vignes de la plaine du "Plan de Dieu", le regard embrasse les monts de l'Ardèche et des Cévennes dont les violets profonds s'éclaboussent de pourpre et d'or...
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Dans les Monts de Vaucluse sur le plateau d’Albion, découvrez ce village alliant modernité et préservation d’un patrimoine bâti ancien. Pour l’œil averti, de nombreuses richesses et des témoignages de la vie passée sont à découvrir dans le cœur du village. Au détour des rues, vous pourrez observer lavoir, cadrans solaires, gargouilles, statue de la Vierge, maisons aux frontons de portes ornés de dates anciennes…
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La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 859 (Saltus). Le terme latin saltus désigne une région boisée et montagneuse, sauvage et non-cultivée6.
Blason des Agoult, comtes de Sault, au château de Lourmarin.
La seigneurie de Sault appartenait aux d'Agoult, une des quatre grandes familles de Provence (Villeneuve, d'Agoult, et Castellane)...
(source wikipedia... lire la suite)
Au temps de la présence romaine et au début de la chrétienté, notre village se nommait CALVIAS. A une époque qu'il est difficile de préciser il est devenu MALEMORT (un texte du Xlle siècle mentionne pour la 1 ère fois la "paroisse de Malemortis"), puis il s'est appelé MALEMORT LES FONTAINES, et enfin, MALEMORT DU COMTAT – en provençal "Malomort doù coumtat" (pour le différencier de Mallemort en Provence, dans les Bouches du Rhône)...
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Le site de la commune fut occupé durant la période acheuléenne comme en témoignent les bifaces trouvés sur le site des Sablons (- 100 000 ans). Au VIe siècle avant notre ère, ses habitants commercèrent avec les phocéens de Massalia ainsi qu’en témoignent poteries et céramiques découvertes sur les stations de la Grange-Neuve et de Brissac...
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Petit village du Comtat Venaissin, la première communauté remonterait à quelques 6000 ans avant JC, attestée par des traces néolithiques retrouvées entre Saint Didier et les collines alentours du Beaucet et de Venasque.
Puis l’époque gallo-romaine au IIème siècle avant JC laisse sa trace sous forme d’une villa. Après JC, le christianisme s’implante et apparaissent les premiers évêques de Carpentras puis de Venasque...
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Le village situé au pied du plateau du Courens, doit son nom aux nombreuses grottes (ou baumes) creusées dans la colline.
Devant le cours Jean Jaurès, la grande église paroissiale du XVIe siècle, transformée au XIXe siècle, est accolé à un porche qui mène à la rue de la République...
(image et extrait du site provenceweb.fr... lire la suite)
Le 23 juin 1148, des moines cisterciens venant de Mazan dans l'Ardèche, commencèrent à s'installer à Gordes et fondèrent l'abbaye de Sénanque. Quelques-uns vinrent sur place pour assécher les marais qui entouraient, au quartier de Meyras, le prieuré clunisien de Notre-Dame-des-Anges.
Ce fief des comtes de Toulouse, marquis de Provence, fut inféodé en 1240 par Raymond VII de Toulouse à Barral des Baux, inféodation confirmée par Innocent IV, en 1246...
(source wikipedia... lire la suite)
Les premiers Malaucéniens connus à ce jour sont des hommes du Neandertal qui vécurent au quartier de la Baume voici quelque 40.000 ou 50.000 ans (paléolithique moyen : moustérien ).
Mais c'est à la fin du néolithique et au chalcolithique (3.000 - 1.500 av. J.-C.) que le territoire de Malaucène devient un lieu de vie important : en effet le silex des combes de Veaux, détaché de la roche à l'aide de maillets en quartzite, est alors l'objet d'une exploitation intense...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
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