L’érudit poitevin Benjamin Fillon, auteur notamment de L’Art de la terre chez les Poitevins, suivi d’une étude sur l’ancienneté de la fabrication du verre en Poitou (1864), est né à Grues.
L’îlot calcaire ( le païe) est occupé depuis longtemps ; deux prieurés furent créés au haut-moyen-âge : Saint-Nicolas (site de l'actuelle église reconstruite au XIXe siècle) et Saint-Hilaire....
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Sainte Radegonde des Noyers, commune rurale du Sud Vendée, est à l’origine une simple île calcaire parmi d’autres, émergeant de ce golfe baptisé golfe des Pictons au XIXè siècle.
Ancienne seigneurie elle appartient au XIIIè siècle à Thibaud Alexandre, écuyer seigneur de Ste Radegonde en 1288...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
De nombreuses pages sur l'histoire, les monuments et les personnalités locales de cette commune.
(image du site officiel de la commune... lire la suite)
Sigournais, commune du bas bocage vendéen, est de celles qui par leur authenticité, leur histoire et leur paysage, séduisent le visiteur et confortent l'habitant.
Abordé par l'ouest, c'est son château qui émerge de l'horizon et annonce Sigournais. Arrivé sur la place de Lépinay, l'église, plus que millénaire. Plus bas, un des trois lavoirs puis les jardins. Au coeur du bourg, le Grand Logis et bien sûr le Château...
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Dans les cartulaires (1)du Bas-Poitou, une charte du prieuré d’Aizenay datée de l’année 1050, indique que «dans la paroisse de La Chapelle Hermier, Arnoul, fils de Capella Airemari, personnage dont cette paroisse porte encore le nom, donne au prieuré d’Aizenay une terre appelée les Hersies (---).C’est le témoignage historique le plus ancien indiquant que le village de La Chapelle Hermier existe depuis au moins, le 11ème siècle...
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Vous serez sensible à son patrimoine bâti historique ancien, riche et parfois surprenant comme le sanctuaire de Notre Dame de la Salette. Les habitants de La Rabatelière se nomment les Rabastos...
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Avant la période historique, l’homme était certainement largement installé sur le territoire de la commune. Des silex taillés, des haches de pierre polie ont été trouvés en différents endroits.
De l’époque gauloise nous reste des statuettes en bronze trouvées à Puy-Chabot et surtout une magnifique statue d’Epona, déesse protectrice des chevaux, dont l’original se trouve au musée de Saint Germain-en-Laye...
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La découverte de nombreux objets taillés ou polis par les hommes du paléolitique et du néolitique, haches, couteaux, pointes de flèches, racloirs et autres lames, laisse à penser que l’occupation des lieux remonte à des temps très anciens.
Notre petite cité est traversée par une rivière, la Longèves, en latin « longua aqua »...
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Un habitat préhistorique a sûrement existé sur notre territoire.
Des découvertes nombreuses de haches néolithiques ont été faites sur le secteur des Aigrefeuilles et de la Maison Neuve,
dans la zone sud de la commune qu’occupe aussi une vaste zone restée boisée, le Bois-Neuf...
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Au début du XXème siècle, la Commune a été marquée par la découverte d’un des plus grands gisements d’antimoine de France. L’exploitation minière et la fonderie ont employé 150 personnes de 1926 à 1936. Dans le bourg, une maison ancienne en enduit et en pierre a conservé son porche vouté du XVIIIème siècle avec portail en bois, clous imposants et ferrures en forme de cercle...
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