L'étymologie est en rapport avec la croix, pas forcément religieuse, mais désignant un croisement de routes. Cruzilla est un diminutif. En 1137, un texte évoque la "parofia de la crozilla (paroisse de La Croisille). La commune ... regroupait dans ses 62 écarts et son bourg 1850 habitants en 1936. Elle comptait vers 1940 : 13 cafés-buvettes, 13 hôtels-restaurants, 2 bouchers, 2 boulangers, 3 agents d'assurance, 2 garagistes, 7 couturières, 3 marchands de cycles et "tout un peuple d'artisans"...
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Le "circuit des étangs" emmène les marcheurs à la découverte des richesses de la commune :
Église pittoresque du XI°-XV° siècle (Romane et Gothique), croix classée, fontaines à dévotion, puits anciens, fours à pain, voie gallo-romaine, villages et maisons anciennes, ...
Sur ce site, vous pouvez accéder en un clic au descriptif détaillé de chaque village, lieudit ou écart :
A chaque village son histoire propre, son patrimoine, son identité...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
La Via Agrippa (Saintes-Lyon) fait partie d’un des quatre grands axes routiers du réseau d’Agrippa, établi par les Romains à partir de Lugdunum, l’antique capitale des Gaules, sous l’impulsion de Marcus Vipsanius Agrippa, général et gendre d’Auguste, à partir de 27 av. J.-C...
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Il y a trois caractéristiques faisant entrer Meuzac dans la catégorie des plus anciennes paroisses : sa superficie, son vocable et sa cuve baptismale.
Meuzac possède une église St Roch dédiée à Saint-Pierre-es-Liën. C’est une église fortifiée du XIIe siècle. De style roman, elle comporte deux clochers semblables...
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Les vestiges de la civilisation néolithique (4500-1800 av. J.C.) abondent dans les monts de Blond. L'érosion du granit a mis en valeur des blocs insolites devenus pierres à légendes...
La région regorge de sources mais la plus connue est la fontaine Saint Martin, située dans le bourg de Blond et sur les bords de l'Issoire...
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Si son nom, associé à Saint Médard, n’apparaît qu’au tout début du XIIème, les hommes de la préhistoire avaient déjà foulé ses terres puisqu’on a découvert un biface aux Farges et des éclats de silex au Grand Chalier. Le nom de Burgnac vient probablement de celui d’un grand propriétaire gallo-romain, Burnus ou Burnius, à moins qu’il ne soit tiré de Burgus...
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Paroisse faisant partie de l’archiprêtré de Saint-Junien, elle avait un prieuré de filles dépendant de l’Abbaye de la Règle à partir de 1412.
Les patrons de la commune sont Saint Antoine et la Sainte Vierge.
Le Prieur, qui était le plus souvent le curé de la paroisse, était nommé par l’Abbesse de la Règle de 1474 à la Révolution.
Il y avait 600 communiants pour environ 800 habitants à la fin du 18ème siècle...
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Nés en 2001, Les Amis de la Tour œuvrent chaque année pour la sauvegarde et la mise en valeur de la tour médiévale qui trône au sommet du bourg, seul vestige encore visible d'une forteresse commanditée par les vicomtes de Limoges aux XIIe-XIIIe siècles.
Notre but est aussi de valoriser le riche patrimoine archéologique disséminé sur cette commune rurale de 51 km² et un peu plus de 800 habitants...
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L’amateur d’histoire et de vieilles pierres pourra satisfaire sa curiosité. Les époques : préhistoire, gauloise, gallo-romaine et médiévale ont laissé de nombreux vestiges dans le paysage. Le plus visible et de loin se trouve au cœur du village sur la Place Haute, il s’agit de « La Tour », 32 m de haut ; elle fut construite au XI°-début XII° siècle, en bon état de conservation, elle est l’unique vestige du château d’autrefois...
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Il est impossible d’assigner une date, même approximative, à la fondation de La Jonchère. L’absence de documents d’une part, et d’autre part, les dévastations dont elle a fait l’objet rendent toute recherche difficile.
Ce qui est certain, c’est qu’elle était une des villes les plus anciennes de la Basse Marche, et qu’elle est une des rares qui figurent, avec Limoges, sur les cartes qui sont restées de l’époque gallo-romaine...
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