Situé à la lisière nord, sur le versant boisé de la grande butte de la forêt de Montmorency, Béthemont-la-Forêt apparait dans les registres dès le XIIe siècle. Il semble pourtant être bien plus ancien, puisqu'un centre de fabrication d'outils en grès y aurait existé à l'âge de pierre...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Construit sous le règne de Louis XIII, le chateau est formé de trois pavillons coiffés d’une haute toiture d’ardoise. Il est agrémenté d’un parc, comprenant une orangerie, créée par Louis Chevalier en 1704.
L’église Notre-Dame-de-l’Assomption (XIe-XVIe siècle) fut l’église du monastère bénédictin avant de devenir l’église du village...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le peuplement d’Ambleville remonte à l’époque préhistorique. De nombreux vestiges, pointes de flèches, haches de pierre polie et grattoirs attestent en effet la présence humaine à cette époque. Les armées de Jules César, qui envahissent toute la Gaule, auraient campé au mont Terrier, ou au mont Terrible.
En 1066, le seigneur du lieu, Eustache, accompagne Guillaume le Conquérant à la conquête de l’Angleterre...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le site est occupé dès l'époque néolithique comme l'atteste la découverte de sept sites sur son territoire. Plusieurs mégalithes et outils en silex ont été mis au jour. Le village dépend au Moyen Âge de la châtellenie de Luzarches jusqu'au XIIIe siècle, puis devient une seigneurie de Juvénal des Ursins, prévôt des marchands de Paris, et enfin des Molé au XVIIIe siècle.
La commune est adhérente du parc naturel régional Oise-Pays de France.
(source wikipedia)
Situé sur la chaussée Jules-César, voie romaine de Lutèce à Lillebonne (près du Havre), une petite agglomération se développe, sa population servant probablement de relais, avec quelques fermes. Son activité reste essentiellement agricole, et ce jusqu'au XIXe siècle.
Une petite activité industrielle s'y développe alors : une distillerie d'alcool de betterave qui n'a disparu que récemment, et une importante briqueterie, reconvertie de nos jours en fabrique de matériaux de construction...
(source wikipedia)
Pages à consulter :
_ Pont d’Aveny
- Moulin du Bas
- L'Eglise Saint-Denis
- Les outils
- Les lavoirs
- Les croix
- La Cavée et le Chemin des pêcheurs
- L'acqueduc - bief
_ L'allée couverte
- Copierres – Château et fontaine
- Autres lieux de patrimoine et touristiques
...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Dès septembre 768, le village est cité dans une charte de Pépin le Bref où le roi fait un don à l'abbaye de Saint-Denis. On le retrouve en 832 dans une charte de Louis le Débonnaire, dit aussi le Pieux, fils de Charlemagne. Une chapelle et une ferme au milieu des bois sous le vocable de Saint-Léger-des-Bois est évoquée dans un acte de 1060 qui fit du lieu une paroisse...
(source wikipedia)
Bien que situé au nord d’une ligne imaginaire qui irait de Meulan à la Roche-Guyon, Frémainville connaît peu son passé et semble ignorer le temps des querelles entre Normands et Francs ou Français qui leur succédèrent. En effet, rien de connu avant la construction de l’église au XIème siècle et d’un château qui dût être édifié très tôt. On reste dans l’expectative, considérant néanmoins que ce dernier dût être ordonné par un pouvoir supérieur pour s’inscrire dans le collège des places fortes dressées face aux envahisseurs normands...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L’étymologie de Génicourt est incertaine et peu connue.
Elle est donnée du nom germanique GISING et du latin CORTEM (domaine). Ce qui parait le plus admissible est « GENUS CURTUS » genre court, qui engendre peu. En effet, le chiffre de la population est resté stable assez longtemps : 214 habitants en 1790, 260 en 1840 date du rattachement de Gerocourt à Génicourt et seulement 228 habitants au début du siècle (document qui fait état de 81 électeurs et de 397 hectares 43 ares !)… peut-être une mise à jour qui n’a pas été faite lors du rattachement de Gérocourt...
(image et extrait du site officiel de la commune)
La Roche-Guyon (Rupes Guidonis) tire son nom de la situation géographique de son château : La Roche de Gui du nom des propriétaires successifs qui, du XIIe au XVe siècle, occupèrent la forteresse.
Du château original, il ne reste pratiquement rien : il était, nous dit Suger au XIIe siècle, “invisible à sa surface, creusé dans une haute roche“...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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