Un livre sur l'histoire de notre village et de son église a été écrit en 2015 par Roger DESCAMPS (que nous ne saurions trop remercier !), et publié par l'Association de sauvegarde et d'Animation de l'église Saint Clair d'Hérouville.
Celui-ci complète et corrige les documents dont nous disposions jusqu'à lors.
Ce document de 132 pages, en couleurs, est disponible au secrétariat de la Mairie au prix de 18.50€. Les bénéfices sont consacrés à la restauration de notre église...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Le site de la commune est occupé depuis l'époque celtique, comme en témoigne la sépulture collective au lieu-dit la Justice.
La terre de Nerville, exploitée à l'origine par les charbonniers, est donnée à l'abbaye de Saint-Denis en 997 par le roi Robert II. Elle ensuite dans le domaine royal au XIIIe siècle et entre dans l'apanage de plusieurs princes du sang dont le connétable de Montmorency, le duc d'Alençon, frère d'Henri III, et le prince de Conti qui revendit le comté en 1783 au comte de Provence, futur Louis XVIII...
(source wikipedia)
L'abbaye Saint-Martin de Pontoise perçoit la dîme dès le XIIIe siècle. Sur un acte de 1294, Mathieu IV de Montmorency, chambellan de France, cède six villages dont Villaines à l’abbaye de Saint-Denis, en échange du fief de Berneval-en-Caux. La seigneurie passe à Jean Guyard en 1476, puis à Jean de Vignolles au début du XVIe siècle, et à Guillaume de Verthamont et son épouse Denise Le Beau en 1597...
(source wikipedia)
La région subit les incursions des Normands qui remontent régulièrement la vallée de l'Oise jusqu'en 926. Au XIIIe siècle, la terre de Noisy est divisée en trois fiefs : Mortemer, les Aubains et Valdampierre. Durant la guerre de Cent Ans, toute la région passe sous domination anglaise jusqu'en 1440.
Pierre Ier de Maupeou (+1608) dut acquérir la terre de Noisy vers 1586, de Germain de Cerizy...
(source wikipedia)
A l'époque gallo-romaine Mareil n'était qu'un hameau de bûcherons, situé au nord-est de l'église actuelle...
Jusqu'en 1 793 la localité s'appelait Mareuil-en-France.
A l'époque gallo-romaine Mareil n'était qu'un hameau de bûcherons, situé au nord-est de l'église actuelle, à proximité de la voie romaine de Rome à Amiens (par Lyon, Lutèce, Saint-Denis, Sarcelles et dépendant de la ville romaine de Luzarches.)...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L’église Saint-Martin est parée pour affronter les siècles prochains après de nouveaux travaux de restauration réalisés en 2006...
Construite au xive siècle, l’ancienne église, située au lieu-dit Les Hazerets était un édifice gothique comprenant un chœur de trois travées et une nef de quatre travées. Un collatéral voûté d’ogives donnait sur une sacristie. Mais cet ancien édifice menaçant ruine, l’église Saint-Martin fut reconstruite entre 1768 et 1773...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands utilisèrent des carrières voisines pour le montage des fusées V1. Nucourt fut bombardée une première fois le 22 juin 1944, lors de l'Opération Crossbow, par 70 B17 et une seconde fois le 15 juillet 1944 par 47 Lancaster et 6 Mosquito pour tenter de détruire ces dépôts. Le village a alors été détruit à 80 %. Les carrières ont été murées depuis.
(source wikipedia)
Boisemont se trouve sur les hauteurs de l'Hautil. On sait que l'homme vivait ici dès la préhistoire comme l'atteste la découverte de silex taillés. Le premier seigneur est mentionné au 12e siècle, il est vraisemblablement apparenté aux vicomtes de Meulan.
Plusieurs seigneurs se succèderont. En 1886, le domaine est partagé par la vente du château d'une part et celle de la ferme seigneuriale et des terres labourables d'autre part...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Piscop est facilement accessible par la nationale 1 : la méridienne verte traverse le village. Vous pourrez au cours de votre promenade admirer l’église romane du XIe siècle partiellement restaurée. Elle est enclavée dans le domaine du Château Vert, fief d’une seigneurie parmi les plus anciennes de France. C’est dans ce domaine que vint se fixer Guyonne de Stuart, nièce de Marie Stuart d’Ecosse, accompagnée de son aumônier "Bishop". Ce nom aurait été déformé par les habitants en "Piscop"...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Pages à consulter :
- Monographie d'Avernes
- Découvrir Avernes
- La justice à Avernes
- Ferdinand de Caix, le dernier prieur d'Avernes 1735-1794
- Joseph Kessel
- l'incendie de 1836 ...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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