Explication du blason de Laméac
"D'argent à l'alambic de sable,
au chef de sinople
chargé de trois escargots contournés d'or."
L’alambic : (Non ! les habitants de laméac ne sont pas des ivrognes…)
Ce n'est pas un blason seigneurial mais un blason corporatif créé en 1890
En 1886 un texte dit que LAMEAC a eu comme célébrité le nommé Montégut Jean Pierre né en 1776 mort en 1858 qui durant 60 ans a été le meilleur distillateur d'eau de vie de l'Armagnac et de la Bigorre et Languedoc...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
Aucun habitat aquitano-romain n'a jusqu'ici été trouvé sur le territoire de la commune de Laloubère. Il n'y a pas de toponymes d'origine romaine. Contrairement à une idée répandue, les archives prouvent que le village ne s'est jamais appelé Laloupbatère. Elles font mention de « La Lobeyra » à la fin du XIIe siècle, « La Lobere » en 1285,« Lalobera » en 1313 et 1429...
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Lafitole est une francisation de l'occitan gascon La Hitòla, diminutif de « hita » borne, limite de propriété, issu du latin « ficta ».
Le sobriquet des habitants de Lafitole est en occitan gascon « Eths tomassaires », les planteurs de tomates, qui se sont développés au début du xxe siècle à la suite du phylloxéra qui éradiqua les vignes qu'il y avait dans la commune..
(source wikipedia... lire la suite).
On dit que le village d 'Ardengost se fait apercevoir 11 fois depuis la route avant d'y acceder.C'est un petit village perché très ensoleillé où son église récemment restaurée et son presbytère font partie de sa richesse. Nous pouvons y voir de belles maisons du 17/18° siècles, la ferme Bourié et la ferme Jeannou...
(image et extrait du site vallees-aure-louron.fr... lire la suite)
L’Adour, fougueux torrent pyrénéen puisant source au-dessus de Campan, prend très vite la sage décision de se prélasser et de calmer son cours. Au fil des millénaires, le sillon et la plaine alluviale seront son œuvre.
Le Val d’Adour est né…
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Une hache préhistorique en pierre polie (minutieusement étudiée par R. COQUEREL), quelques pierres gravées, des sarcophages mérovingiens retrouvés, attestent bien d’une présence humaine précoce sur le site de la commune. Mais de ce passé ancien rien ne subsiste dans le patrimoine bâti actuel proprement dit. Hormis peut-être le nom de Juillan lui-même qui fait clairement référence à l’occupation romaine : JULIUS fut sans doute le nom de famille d’un notable qui avait établi ce que les Romains appelaient une «villa»...
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Il est une tradition qui fait dériver Ibos de deux mots latins, I, bos (va, bœuf) et encore n’est-on pas tout à fait d’accord sur le fait qui donna naissance à la tradition. Voici celui qui est adopté le plus communément : Jules César, dit-on, aurait donné ce nom de localité en l’entendant prononcer en leur langage par des bouviers qui cultivaient la plaine : « Ha, boéu » (va, boeuf) d’où Ibos…
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Autrefois les communes de Castelbajac (marquisat de Castelbajac en 1352) et de Houeydets (devenue commune autonome en 1865) étaient soudées au sein de la commune de Chatillon-en-Bigorre.
Houeydets fut créée par démembrement de la commune de Castelbajac en 1865...
(source wikipedia... lire la suite)
On ne peut guère dire comment était administrée cette commune avant 1789. depuis elle l'est par une municipalité, attendu qu'on trouve les actes de l'État civil signés par un agent municipal, soit par le maire.
On n'a conservé ni traditions, ni légendes.
Gayan n'a pas non plus donné naissance à des personnages célèbres. Dans la famille des Barons de Cardaillac, anciens propriétaires du château; aucun membre ne s'est illustré. Leur nom ne figure point sur l'histoire de la Bigorre...
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L'édification du château avoisine l'année 1760 suite à l’acquisition d'une belle maison de campagne par le Seigneur de Gardères, « Monsieur de DAY », le 12 septembre 1747.
Au début du XIX siècle, le château appartenait à Pierre-Joseph de DAY, baron de Gardères...
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