L’origine du nom d’Eybouleuf est incertaine et peut-être de formation gauloise. On le trouve sous la forme Harboleum en 1191 et, plus tard, écrit Esboulou, Esbouleu, Des Bouloux et même Eybouleou en 1507.
La traduction des ces termes pourrait être : « endroit planté d’arbres ou de bouleaux » ou « endroit planté d’herbe »ou encore « endroit planté de sureau ».
Cette dernière hypothèse attribuerait l’origine du nom d’Eybouleuf à la présence d’une plante, le sureau hièble (ou yèble), dont le nom latin est « Sambuscus Ebulus »...
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L’église fût construite au XII° siècle : elle a conservé le chœur et la façade ouest avec le clocher-mur à deux jours. En 1496, elle fût en partie reconstruite avec des voûtes sur croisées d’ogives et l’adjonction d’une chapelle au sud. L’église est inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1985. Cette église est éclairée par des vitraux de Francis Chigot (célèbre maître verrier limousin). On remarquera aussi le retable du XVIII° siècle. Le presbytère, accolé, est aussi un beau bâtiment du XVIII° siècle...
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La commanderie de Foulventour est l'une des cinq commanderies templières dépendantes de la commanderie de Paulhac (Creuse), commanderie principale, ou "maison" de Paulhac qui apparaît dans les textes en 1248.
Son moulin banal était situé sur la Brame à Dompierre-les-Églises, sur la rive gauche...
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De l'époque Gallo-romaine, car la localité fut, à n'en pas douter, un site romain; des vestiges, tuiles à rebord, bas-relief ont été retrouvés dans le village; Berneuil porta le nom Berreuil jusqu'en 1719, puis Barneuil jusqu'à l'époque de l'Intendant Turgot, où elle prendra son nom actuel...
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Le territoire communal actuel était le siège d'une seigneurie dite « du Dognon » (vers l'an 1000). Sa propriété revint vers 1137 aux chanoines de Saint Léonard. Le "Dognon" formait à l'époque féodale l'une des trois vicomtés de la Haute-Marche dont les deux autres étaient Aubusson et Chateauclos Il était donc une des seigneuries les plus hautement titrées de la Marche. Le Dognon est une corruption du mot Donjon...
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Le château de la Perrière, dont les origines remontent au xive siècle avec une tour carrée, fut construit après au xvie siècle. En 1750, année où il tomba en ruine, il était le centre d'une baronnie.
Jean de Seychaud, seigneur de la Perrière en 1450, fonda une vicairie en l'église d'Oradour Saint-Genest...
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En 1600, on la retrouve sous le nom de Saint-Genyeix, on y trouvait 180 feux (environ 700 habitants). L'agriculture y dominait, on y cultivait le froment, le seigle, la vigne et les châtaigneraies. Les seigneurs possédant la commune étaient messieurs de Sauveboeuf de Pierre-Buffière, l’évêque et les jésuites de Limoges ainsi que le seigneur de Valage.
En 1700, la famille Bégougne était la famille la plus importante de la commune, les villages de Fardissoux, Juniac et la Pauserie lui appartenaient...
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Roussac, Rossacus et Rociacus – cure de l’ancien archiprêtré de Rancon, sous le patronage de Saint Martial, apôtre, premier évêque de Limoges. L’abbé de Saint-Martial de Limoges y nommait de 1514 à 1770. En 1097, il y avait aussi une prévôté qui avait le même saint patron, et qui dépendait de ce même monastère de Saint-Martial. Elle fut unie à sa mense abbatiale en 1533. Parmi les prévôts de Roussac on remarque Eric Gaufredi de Chabrignac, qui fut élu abbé de Saint-Martial le 20 novembre 1311...
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Blanzac : Blanzacus vers 1315. Vient du nom d’homme latin Blandius : le domaine de Blandius.
Boines (les) : vient du cetique Bodina : borne, limite. Latin Bodina via : borne, qui rappelle la présence soit d’une borne routière romaine, soit d’une borne limite de territoire seigneurial.
Bordes (les) : vient du germanique Borda : chaumière, habitation rustique, petite exploitation agricole...
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L'actuelle commune de Meilhac est le produit de l'union en 1829 des anciennes communes et paroisses de Meilhac et Saint-Martinet. En fait depuis les environs de 1800, l'administration était commune aux deux, le décret royal de 1829 ne constituant que la régularisation d'une situation ancienne...
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