Si les archives attestent de l’existence de la paroisse de Charenton-Saint-Maurice au XIe siècle, certains vestiges archéologiques laissent supposer qu’une installation humaine remonte bien au-delà de cette époque. Le toponyme de Charenton est ancien. Il est formé du mot indo-européen Kar ou Kal qui signifie pierre. Il désignerait la falaise de calcaire qui domine la Marne...
(image et extrait du site officiel de la commune... lire la suite)
Des trois petits fiefs groupés autour de l’église, Périgny-le-Grand et Montigny ne sont perceptibles qu’au début de l’époque moderne et seul Périgny-le-Petit apparaît, semble-t-il, sur des documents médiévaux. Sur le plan archéologique, des canalisations anciennes sont mentionnées dans le domaine de Périgny-le-Petit.
S’il risque fort d’être d’origine plus ancienne, le moulin sur l’Yerres n’est attesté qu’à l’époque moderne...
(source wikipedia)
Il existe plusieurs hypothèses quant à l’origine du nom de notre commune.
L’abbé Lebeuf adopte l’éthymologie latine du nom du romain Centenius, premier possesseur de cette terre, Santeny se serait alors appelé « Centeny ».
Mr Leseur (ancien Maire), dans ses notes historiques, propose d’autres origines :
Santeny aurait été le lieu de garnison d’une centurie romaine, cent soldats commandés par un Centurion...
(image et extrait du site officiel de la commune)
L'origine de ce village pratiquement intégré dans la banlieue parisienne est récente, elle remonte au moyen-âge. Le nom de Mandres dérive d'un mot latin qui signifie hutte, cabane.
Pendant des millénaires, la haute plaine de Mandres n'était occupée que par l'habitat temporaire des bergers qui suivaient, pendant l'été, les déplacements de leurs troupeaux à travers la forêt humide de la brie...
(image et extrait du site officiel de la commune)
En six siècles d'histoire, notre commune s'est peu transformée.
Du seigneur Griveu (XIIIème siècle) à Denis de Viole (XVIème siècle) en passant par Guillaume de Noiseau, et jusqu’au XVIIIème siècle, ce lieu a connu beaucoup de seigneurs mais peu de bouleversements majeurs...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Les origines du nom de la ville sont controversées.
Selon certains, il pourrait s’agir d’une évocation des forêts de Notre-Dame, déformation du substantif latin « materia » signifiant bois de construction (le verbe « materio » signifiant quant à lui construire avec des charpentes), à moins que ce ne soit la déformation de « mareil », du celtique « maras » : grand et « ialas » : clairière...
(image et extrait du site officiel de la commune)
A l’origine, on trouve une population vivant dans les bois et les marécages qui tire sans doute profit de la proximité de la Seine.
La première mention d’Ablon date du XIIe siècle. C’est un hameau qui dépend de la paroisse d’Athis tout comme la cité voisine de Mons. L’abbaye de Saint Victor y exerce son pouvoir...
(image et extrait du site officiel de la commune)
Ce village, connu depuis 1124, possédait une source abondante, dont les eaux étaient conduites à Paris par les aqueducs d'Arcueil et de Cachan. L'aqueduc Médicis qui est l'un des sous-ensembles de ces derniers, est un aqueduc souterrain dont la mise en service date de 1623.
L'abbaye Sainte-Geneviève de Paris est suzerain de Rungis de la période de Louis VI jusqu'à la Révolution française...
(source wikipedia)
C'est dans une donation faite, en 1097, à Corbeil, en faveur de l'Abbaye de Saint-Martin-des-Champs, qu'il est, pour la première fois, question d'un certain Waldricus, habitant de la Villa Crana, étymologiquement Le village aux huttes faites de branchages ; il n'y a pas de doute que les premières habitations de Villecresnes aient été construites dans les bois ou leur lisière...
(source wikipedia)
Aux XIIe et XIIIe siècles, le nom d’Amboile est porté vers 1140 par Jean d’AMBOILE, suzerain d’Hugues de Valenton, puis par Guy d’AMBOILE (1150). Par la suite, les terres d’Amboile n’appartiendront plus à une famille portant ce nom.
Du XIVe siècle à la fin du XIVe, elles changeront à plusieurs reprises de propriétaires, et c’est au XVIe siècle que la famille PICOT de SANTENY qui les possédait ...
(image et extrait du site officiel de la commune)
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